Je suis un homme de 51 ans mesurant 1 m 80 pour 85 kg.

Depuis l’âge de 16 ans, j’aime me travestir mais c’est surtout depuis l’âge de 40 ans où cela est devenu un besoin nécessaire à assouvir.

Pour cela, je possède plusieurs tenues avec jupe, corsage, soutien-gorge, petites culottes, porte-jarretelles, bas et chaussures à talons aiguilles.

Je suis toujours épilé : jambes, aisselles, sexe et anus.

C’est devenu un rituel, tous les samedis je me travestis en complétant mes tenues par des bijoux, une perruque et de temps en temps d’un maquillage.

Dans mon appartement, je déambule, croise et décroise mes jambes gainées de bas

En m’asseyant, je prends des positions existantes. Toutes ces petites exhibitions commencent à faire monter le plaisir dans mon petit string qui comprime mon sexe.

Je me prends en photo et j’essaye quelles soient le plus sexe pour exciter mes futurs voyeurs.

Tout ce petit jeu, fait que, à un moment, je retourne dans la chambre. Sur le lit se trouve toute ma collection de godemichés. J’en possède de différentes grosseurs et, à chaque séance, ils me donnent le plaisir que j’en attends.

Le plaisir de la sodomie est devenu également un besoin nécessaire à assouvir. Je peux le faire de trois à quatre fois dans la journée. Elle me procure de meilleurs orgasmes anaux qui s’accompagnent par des écoulements de mon sexe de sperme que je récupère pour le mettre sur ma langue. J’adore le goût de mon foutre en bouche.

Je m’étends sur le lit, ma main passe sous ma jupe et je commence par me caresser à travers l’étoffe de mon string. Mon sexe gonfle de plus en plus de plaisir.

Je prends un godemiché et je commence à lui prodiguer une fellation. Je m’imagine en compagnie d’un homme qui me tendrait son sexe pour que je lui suce. Je continue à sucer mon godemiché et ma main passe dans mon string pour attraper mon sexe et  commencer à me masturber. Cette caresse me fait gémir. Ce gémissement est étouffé par la bite en plastique qui se trouve dans ma bouche.   

Je retire mon étoffe de tissu, et je me mets en position de levrette. J’enduis un godemiché de petite taille de gel et le présente à l’entrée de mon œillet. Je commence à me pénétrer et assez rapidement, mon petit cul étant bien dilaté à force de me goder, il me pénètre. Je fais aller de plus rapidement ce sexe dans mon petit cul qui me tire des gémissements que je n’essaye de taire. Après quelques minutes, je change de bite et j’en prends une un peu plus grosse. Et, après l’avoir bien lubrifié, je me sodomise avec. Peu d’efforts sont nécessaires pour qu’elle rentre entre mes fesses.

Dans ce moment-là, j’aime utiliser des mots crus. Je suis une salope, une petite pute aimant se faire défoncer comme une chienne par des bites. Et je m’imagine avec des hommes faisant une tournante avec mon petit trou qui, à force de coups de bites, reste ouvert entre chaque changement de partenaires.

J’essaye de faire durer ces moments le plus longtemps possible. Il peut m’arriver de me sodomiser pendant 45 minutes.

Mais le plaisir devenant très intense, je jouis en émettant un râle et mon sperme jaillit de ma bite sur mon ventre. Après quelques instants, j’émerge suite à l’orgasme que j’ai eu. J’étale le foutre sur mon ventre puis porte mes doigts à ma bouche que je lèche.

Je me lève, essuie mon ventre du sperme restant et je réajuste ma tenue. Je rectifie mon maquillage et je vais vers mon salon où je m’assois sur le canapé et je regarde le film que j’ai mis dans le lecteur DVD. C’est un film porno avec des transsexuels. Dans quelques temps, je serais de nouveau excité et une nouvelle séance de baisse de mon petit trou pourra recommencer.

A bientôt pour d’autres confidences.