Le blog des amoureux du troisième sexe. Choix subjectifs de photos/vidéos du web sur le sujet. Vous êtes tous les bienvenus, si vous partagez mes goûts n'hésitez pas à laisser un petit commentaire ça fait toujours plaisir. Bonne visite!
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L’histoire qui suit m’est arrivée à mon 18e anniversaire, j’étais à la campagne dans une région rurale pas loin de Rabat (Maroc).
En me baladant pas très loin, je rencontre Nasser un travailleur qui bosse comme ouvrier agricole chez des voisins pas très loin de chez moi, il vit tout seul environ 8 mois de l’année
ici et
retrouve sa famille les 4 mois d’hiver, il vit dans une petite baraque perdue dans la campagne, il a à peut prés 40 ans c’est un gars robuste et costaud.
Je lui dis bonjour.
Il me répond : Je voudrais te montrer quelque chose, ce n’est pas ton chat la pauvre bête morte, je l’ai trouvé la.
- non, je n’ai pas de chat monsieur.
Et puis on a commencé à parler il avait fini sa journée, il était tout en sueur, il me propose de boire un coup
je lui dis, c’est pas facile la vie ici, sans rien, pendant tous ces longs mois.
- j’ai fini par prendre l’habitude me dit il
- moi je ne pourrais pas être privé de tout
Et puis tout en discutant sans savoir pourquoi je commençais à imaginer ce bonhomme tout seul sans femme comment faisait-il, il y avait une sorte d’excitation en moi, j’aurai voulu
l’aider, je suis
un garçon et sans être très efféminé, j’ai un aspect plutôt gentillet entre guillemets, les cheveux longs, un visage assez fin, et je me lance :
- sans femme ici ce doit être dur, vous devez y penser
- et oui des fois ça me chatouille un peu mais pas plus, je suis tout seul et les femmes ici elles aiment les immigrés.
- pourtant vous êtes encore drôlement baraqué. Faudrait en trouver une qui veuille bien d’un homme vigoureux comme vous, vous êtes un vrai colosse viril.
- Malgré ce que tu dis j’ai pas trouvé de femme qui veuille bien de moi, (un temps d’arrêt) mais y pas que les femmes.
La je commençais à me demander mais il fait allusion aux hommes, j’étais à nouveau excité, j’avais besoin d’aller plus loin, je bois encore une gorgée de thé tellement j’avais la gorge
sèche.
- vous voulez dire qu’avec une femme ou un homme c’est pareil
- pour moi c’est mieux la femme, mais si y pas de femme on prend ce qui reste, des fois des jeunes garçons y sont un peu comme les femmes.
C’est fou, je commençais à me trouver tout chose, et en plus en le regardant continuer à parler tout en se levant il m’a semblé qu’il bandait, puis il me dit si tu n’es pas pressé je vais
me laver
un peu parce que j’ai beaucoup transpiré et après on discute encore un peu ça me fait plaisir de parler avec toi.
(Moi de plus en plus bizarre dans cette situation équivoque)
- oui je suis pas pressé allez y je vous attends la dehors.
Je me faisais tout un cinéma dans ma tête, j’étais en train sans m’en rendre compte d’aguicher un gars que je connaissais à peine,
J’entendais l’eau couler, je regardais un peu autour de moi, nul doute j’étais excité par cet homme, qu’allait il se passer ?
Puis quelques instants plus tard en me retournant je l’aperçois furtivement il est nu le temps de prendre ses affaires, j’ai eu le temps de voir en une seconde son sexe au repos, une
grosse bite
pendante, j’ai tout de suite imaginé cette même queue en érection en me disant c’est pas possible, à part un cheval je vois pas autre chose.
Le temps d’enfiler son pantalon il finit par arriver torse nu.
Ça fait du bien me dit il
Il doit me sentir bizarre, parce que je le suis, il est vraiment baraqué, si j’étais une femme il m’exciterait, je n’en suis pas une mais la, je ressens ce qu’une femme pourrait
ressentir.
Mon allure est plutôt fluette avec mes cheveux, je dois plus lui faire penser à une femme plutôt qu’à un homme.
Puis la conversation reprend.
- c’est gentil que tu me parles, moi je ne parle pas souvent aux gens d’ici
- mais ça me fait plaisir de parler avec vous, je suis content d’être la, pour vous faire passer un moment, je vous trouve vraiment sympathique et en plus qu’est ce que vous êtes costaud,
(je fais
le geste)
- j’ai beaucoup de force, j’ai toujours de la force
- moi j’aime les hommes musclés
Il se lève et fait quelques mouvements comme en ferait un culturiste.
Je regarde à hauteur de son sexe en imaginant ce que j’ai aperçu tout à l’heure, je fais mine de pas trop insister, mais apparemment son regard sur moi commence à changer, il sourit tout
en me
montrant ses biceps.
- moi par contre je n’ai pas de muscle, je ressemble plus à une fille,
- si tu ressembles à une fille, tu fais aussi la fille
La un cap est franchi, je me sens comme une femelle en rut, j’ai vraiment envie maintenant de voir si je peux faire bander ce colosse.
Je me lance, et lui dis avec un petit sourire :
- quelque fois, quand l’homme est comme vous très fort ça m’excite, est ce que je vous fais bander ?
- Bien sur, tu me fais bander, j’aime ton petit corps, toi tu veux que je te montre ma queue
- Oui j’aimerais bien la sucer
Il me fait signe de rentrer dans sa petite baraque, une petite pièce, avec un lit une table, un lavabo sans robinet.
Une fois dedans je commence à me dandiner à tourner du cul devant lui, il commence tout en me regardant dans les yeux à dégrafer son pantalon, de mon coté, je sors ma langue pour lui
montrer que je
suis impatient de voir sa grosse bite, et d’un seul coup, son sexe apparaît pas totalement en érection mais à sa vue, je reste sans voix.
- ça te plait ma bite
- je n’en ai jamais vu d’aussi grosse, la mienne est beaucoup plus petite
Il me fait signe avec sa main gauche de m’approcher pendant que sa main droite décalotte lentement cette bite de cheval, son gros gland me fait craquer, j’en tremble presque, il me
caresse les
cheveux et appuie légèrement sur ma tête pour me faire comprendre que je dois m’agenouiller, je suis hypnotisé par ce sexe énorme qui est maintenant totalement en érection, je regarde
encore un
instant ce sexe prodigieux, lui il sourit en me voyant si impressionné, je commence à l’engouffrer dans ma bouche, et je suce, tout en branlant à deux mains ce gourdin,
- c’est bon suce mon petit, me dit il, après je vais te mettre ça dans ton petit cul, tu vas jouir, vas y encore, c’est bon,
maintenant déshabille toi, enlève ton pantalon.
Je m’exécute aussitôt
- Laisse moi admirer cette queue encore un instant après tu pourras m’enculer
- Oui je vais te la mettre toute entière, tu vas crier de plaisir c’est sur, tous les jeunes garçons que j’ai déjà enculés criaient de joie.
Il commence à me prendre le cul mettant beaucoup de salive sur mon anus, et puis son pieu commence à me pénétrer tout doucement, lentement. Puis enfin je poussais des cris rauques,
enroués. Sa bite
était en moi mais pas entièrement. Elle ne pouvait pas aller plus loin !
- Je vais te défoncer mon joli, tu ne vas pas le croire.
C’était bon, on a continué comme ça jusqu’à ce qu’il décharge violemment en moi, j’étais aux anges et lui aussi.
Voila, Nasser m’a fait vivre une sacrée expérience !
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Colette
Tout le mérite en reviens à Laila
Une demie heure après, il revient torse nu, en short, me rapporter le shampooing.
Je ne pensais pas qu'il reviendrait le même soir et j'étais en slip sur mon lit révisant les cours de la journée. Il entre sans frapper et me voit affalé sur le lit, les jambes écartées lisant les polycopies du jour.
Ouah ! Me dit il, tu es un vaillant toi ! Le flacon dans la main, il me demande où le poser et prend un siège et s'assoit face à moi. Son short est court mais je devine qu'il est nu dessous... Dans la discussion, comme il bougeait sur son siège, je vis le bout de son sexe dépasser par l'entrejambe. Sa peau était claire mais le peu que j'ai pu voir paraissait beaucoup plus foncé. Il vit que mon regard était attiré par l'échancrure de son short, et il en abusait ce qui déclara chez moi une belle érection. Une belle érection que j'essayais de dissimuler à ma nouvelle connaissance, mais en vain car je vis que mon excitation avait excité mon interlocuteur. Il se leva comme pour me dire au revoir et je vis le short tendu pointant en avant.
-Tu as vu dans quel état tu m'as mis, me dit-il
Je rougis tout en matant son short et lui répondis :
- Tu me fais le même effet et en étendant les jambes je lui faisais voir mon slip pointant également.
Il baissa son short et je vis son zob pointant face à lui. Magnifique !
Je m'assis sur le lit et me retrouvai le visage à cinq centimètres de son zob. Je sortis ma langue et je commençais à lui lécher le gland et avalai la petite goutte qui venait de perler de son méat... Puis j'ouvris grand la bouche et happai d'abord son gland entre mes lèvres et lui avança son bassin, ce qui fit que tout son sexe pénétra dans ma bouche. Je le tenais avec mes mains par les hanches et contrôlais ses va et vient. Je sentais son excitation grandissante et je vis qu'il montait sur la pointe des pieds, il allait éjaculer...j'enfournais le maximum de son sexe dans ma bouche et le retenais par les fesses. Il lâcha plusieurs jets de sperme au goût salé dans mon palais que je bus aussitôt avec délice jusqu'à la dernière goutte.
Son sexe reprit sa taille originale et il se dégagea pour remonter son short.
- Toi tu es un sacré suceur, je ne me suis pas trompé quand je t'ai vu.
Il me salua et sortit.
Je répondis à son salut avant qu'il ne disparaisse par la porte.
J'étais heureux d'avoir sucé cette belle queue et d'avoir goûté son bon jus mais je restais sur ma faim car je bandais toujours... Quelques minutes après, la masturbation me vida de mes excès et je pus reprendre l'étude de mes polycopies normalement.
Le lendemain, j'eus la visite d'un autre étudiant habitant l'immeuble. Il frappa à ma porte et me demanda si je pouvais lui prêter un livre que j'étais susceptible d'avoir.
Je le fis entrer, il était vêtu d'un survêtement ample. Je le fis asseoir lançant ma recherche dans la pile de livres que je possédais. En attendant, il s'était assis sur une chaise et me regardait dans tous mes déplacements. Comme je ne le trouvais pas, il me dit "tant pis, je repasserais"
Je me rassis sur mon lit, désolé de n'avoir pas pu lui rendre service et quand il se leva, je vis son bas de survêtement pointant en avant. Mon regard ne pouvait s'en détacher. Il resta immobile sa bosse pointant vers moi. Je tendis la main et commençai à caresser cette bosse lentement. Elle était dure comme du bois et mes doigts devinaient bien les contours d'un zob bien fait. Il baissa son pantalon de survêt' et son sexe me sauta à la figure comme un ressort de son piège. Ma main finit de le décalotter et je commençais à le sucer délicieusement. Ses râles me firent comprendre qu'il appréciait la caresse buccale que je lui prodiguais. Son membre de bonne taille allait et venait dans ma bouche bien lubrifiée par ma salive. Je le branlais et suçais en aspirant légèrement quand un flot de jus éclata entre mes lèvres. Il hurla de plaisir et se vida complètement. Puis, une fois sa queue dégonflée, il remonta son pantalon de survêt', me remercia du plaisir donné et après m'avoir salué sortit de ma chambre.
Le soir d'après, un autre étudiant, un africain cette fois, frappa à ma porte, J'ouvris, lui demandant ce qu'il voulait et il me dit "je voudrais te parler"
Je le fis entrer et il m'avoua qu'il connaissait les deux autres, venus précédemment, et qu'il aurait bien aimé avoir les mêmes satisfactions.
Je m'assieds sur mon lit, l'invitant à prendre la chaise derrière lui, mais avant de s'asseoir il dégrafa son jeans et sortit son sexe d'ébène déjà raide. Un engin énorme décalotté avec un gland rond et très gros. Je n'avais jamais vu ça mais j'admirais... je finis par le sucer jusqu'à ce qu'il me crache un flot de sperme qui remplit ma bouche à l'en faire déborder. Je le vidais complètement le branlant en même temps. Son sperme avait bon goût et j'étais comblé.
Il prit un accent de petit nègre et me dit "tu suces bien petit blanc"
J'étais devenu la petite pute de ce trio où venait s'accompagner quelques autres de leurs camarades. Ils venaient la plupart en short sans rien dessous et à peine entrés, ils me
Les beaux jours étant arrivés, je voyais toutes les femmes avec des nus pieds et surtout leurs petits ongles vernis. J'ai toujours aimé cela et dès que je le pouvais, je ne manquais pas de me vernir mes petits orteils. C'est donc ainsi que je suis allé au collège avec une paire d'espadrille, ne pouvant hélas pas porter des nus pieds. J'avais l'habitude de faire le trajet avec Tahar, très bon copain. Alors que nous traversions le jardin public, je me suis tordu la cheville et j'ai perdu une de mes espadrilles. Tahar l'a ramassée et contrairement à ce que je pensais, il l'a gardée. Il m'a souri en regardant mes orteils et sur un ton autoritaire que je ne lui connaissais pas, il m'a dit que si je voulais la récupérer, il fallait que je lui fasse une gâterie. Il me prit par la main et m'emmena derrière un grand sapin. Il me fit mettre à genou et me dit:
— J'ai toujours su que t'étais une petite salope. Dégrafe-moi et suce!
— Rends moi ma chaussure, dis je en pleurant.
Il sortit sa queue et me dit de lui lécher sinon tout le monde saurait pour le vernis à ongles.
Résigné, je commençais à le sucer du mieux que je pouvais car c’était la première fois. Je sentais sa bite au fond de ma gorge et manquai plusieurs fois de vomir, mais il me maintenait fermement par la nuque. Tahar accéléra le mouvement et éjacula dans ma bouche. Je recrachais tout, manquant de m'étrangler. Il me fit nettoyer son sexe avec ma langue. Il se rhabilla et m'embrassa sur la bouche. Il me dit que j'étais une bonne petite suceuse et qu'il était sûr que si un jour, il me voyait habillé complètement en femme, il m'enculerait car j'avais un cul de gonzesse très mignon. Il me rendit mon espadrille et régulièrement, j'étais obligé de me plier à son caprice. Il me dit que je suçais mieux que les filles, ce qui me flattait intérieurement.
Deux mois après cela, Tahar vint à la maison pour m’aider en math et moi en français. Ma mère le fit monter dans ma chambre. Il entra sans frapper alors que j'étais penché en train de me faire les ongles. Il trouva ma position très sensuelle et me flatta la croupe pour la première fois. La chambre de ma soeur étant en travaux, toutes ses affaires étaient déménagées dans la mienne. Il commença à regarder les robes suspendues, fouiller dans les tiroirs de sa commode où il n'y avait que bas, culottes... Il en sortit une paire de DIM UP couleur chair, un déshabillé rose ainsi qu'une paire de mule. Il me dit d'un ton autoritaire:
— Si tu ne veux pas que j'appelle ta mère pour voir tes petits pieds, à poil et enfile ça!
Je m'exécutais n'ayant pas le choix. Il m'embrassa, me disant que j'étais craquante. Il m'appuya sur les épaules et je dus le sucer. Contrairement aux autres fois il ne m'éjacula pas dans la bouche. Il me releva, m'embrassa et me demanda à l'oreille si je me rappelais ce qu'il me ferait le jour où il me verrait en jupe. Je tentai de me débattre mais il me jeta sur le lit. Je tombai à plat ventre. Il releva mon déshabillé, s'assit sur moi et commença à me titiller l'anus avec ses doigts. Il me dit à l'oreille que j'allais y passer de gré ou de force. Vaincu, je lui dis que je ne résisterais pas.
Il se mit à me lécher l'anus, puis y introduisit 1 puis 2 puis 3 doigts. Me sentant prête, il pointa son gland et poussa. Cela me fit mal et je me mis à pleurer, lui demandant d'arrêter. Il se mit à me murmurer des mots doux à l'oreille et alors que je ne m'y attendais pas, il entra d'un coup, me faisant crier. Il attendit que ma rondelle se détende bien et me baisa lentement en me claquant le cul. Après cette douleur, je trouvais ça très agréable. Il éjacula en moi. Aussitôt après, c'est moi qui éjaculais sans même me masturber ou caresser mon zizi !
Après cela, Tahar a commencé à m'offrir des petites culottes et des collants qu'il piquait à sa sœur aînée et qu'il m'obligeait à porter sous mes pantalons. C'est ainsi habillé qu'il me sodomisait régulièrement au point que je suis devenu accro à la bite ou aux différents objets avec lesquels je me godais seul dans ma chambre !
2-prénom:
3-âge:
4-profession:
5-taille:
6-poids :
7-situation familiale :
8-fruits préférés :
9-ce que tu aimes manger :
10-ce que tu n’aimes pas manger :
11-ce que tu aimes voir à la télé :
12-ce que tu détestes voir à la télé :
13-genre de films que tu aimes :
14-chanteurs et chanteuses préférés :
15-acteurs et actrices préférés :
16-les pratiques sexuelles que tu adores :
17-es-tu soumise ou dominante :
18-préfères-tu le sexe avec les femmes, les hommes ou les deux :
19-la 1ère chose que tu fais quand tu rentres chez toi :
20-ton fantasme le plus inavoué :
21-ta voiture préférée :
22-le ou les pays où tu voudrais vivre :
23-combien de fois fais-tu l’amour par mois :
24-ce que tu aimes qu’une femme te fasse au lit :
25-ce que tu refuses qu’elle te fasse au lit :
26-ce que tu aimes qu’un homme te fasse au lit :
27-ce que tu refuses qu’il te fasse au lit :
28-tes loisirs :
29-tes qualités :
30-tes défauts :
vous n'êtes pas obligé de répondre à toutes les questions !