Le blog des amoureux du troisième sexe. Choix subjectifs de photos/vidéos du web sur le sujet. Vous êtes tous les bienvenus, si vous partagez mes goûts n'hésitez pas à laisser un petit commentaire ça fait toujours plaisir. Bonne visite!
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Cours de physique
Le tout est arrivé un vendredi après-midi alors que j'étais encore un étudiant en seconde. J'étais en plein exercice individuel dans mon cour de sciences physiques lorsque je levai la
main pour poser une question à mon professeur. Celui s'avança et se pencha au dessus de moi pour m'écouter, je commençai alors à lui faire part de ma question. Je le sentit inattentif à mon
problème, comme si quelques chose le distrayait alors que je lui parlait. Et puis je sentis qu'une main discrète redescendit le bas de mon chandail. Celui-ci avait remonté, laissant à découvert
le bas de mon dos ainsi que le haut de mes sous-vêtements. Puis mon professeur me demanda de recommencer ma question. Oh non!!! La honte totale!!!
Je dois d'abord vous expliquer ma situation, depuis mon jeune âge, j'ai une forte attirance pour les femmes et leur féminité. J'étais attiré par les allures, par leur démarches et surtout
par leur vêtements. Si bien que je pris goût, tout jeune, à emprunter les vêtements de ma mère et ma soeur pour les porter lorsque j'étais seul à la maison. Je tentais, avec une passion
démesurée, toutes sortes de nouvelles d'expériences. Mais maintenant, cette passion allait encore plus loin, je prenais un malin plaisir à mettre sous mes vêtements normaux, les dessous osées de
ma soeur, et aller à l'école ainsi habillé. Et cette journée j'avais eu cet envie.
Alors mon professeur répondit à ma question et repartit voir les autres élèves, comme s'il n'avait rien vu. Il ne me regarda pas du reste du cour et ne m'adressa pas la parole, moi je
voulais partir loin, très loin. La honte me donnait le goût de pleurer, j'étais paniqué. Puis tout à coup, le son de ma libération se fit entendre, la cloche sonna pour annoncer la fin du cour et
aussi celle de la journée. Quel soulagement, je ramassai mes choses à la vitesse de l'éclair et me lançai dans la horde d'étudiants qui essayaient de sortir du local en même temps et puis
j'entendis... Marc peux-tu venir me voir s'il-te-plait?? Mes jambes sont devenues molles, je me suis sentis faible, j'étais mort. Tout le monde allait savoir mon secret, j'allais me faire renier
par mes parents, mes amis....
Il me montra mon travail me dit qu'il y avait quelques chose qu'il ne comprenait pas et me demanda ce que j'avais écrit. Tout me paraissait très clair... il faisait tout simplement
diversion, le temps que tout le monde soit sorti. Puis, une fois seul dans le local, il me dit d'un ton très calme, qu'il avait remarqué mes sous-vêtements féminins. Je ne répondit rien, je
fixais le plancher, la tête basse, mort de honte. Il me rassura rapidement en disant qu'il ne dirait rien à personne mais que je devais faire attention car certains étudiants pourraient, eux
aussi, le remarquer et je pourrais ensuite subir leur foudre. Il avait un ton très rassurant, calme, j'aimai bien se prof, jeune homme mi vingtaine très près des étudiants... il se mit à me poser
différentes questions auxquels je répondis, mort de honte, seulement par oui ou non et seulement en hochant la tête.
Est-ce que tu fais ça souvent? oui
Tout les jours? non
Est-ce que tu aimes ça? oui
Est-ce que tu aimes les filles? oui
Est-ce que tu aimes le hommes? Je hocha les épaules pour ne pas me prononcer...
Il me dit qu'il comprenait très bien et que son frère était homosexuel alors il savait que tout le monde était différent. Puis il me mit la mais sur l'épaule en me disant de ne pas m'en
faire et il me dit d'un ton rieur qu'il avait trouver très joli ma culotte. Je souris et pour la première fois je croisai son regard. Il souriait lui aussi puis il continua à me poser des
questions. Un étrange sentiment de complicité s'empara tranquillement de moi...bizarre.
As-tu déjà eux des relations avec un autres garçons? non
as-tu déjà eux envie d'en avoir? heu oui....
Tu sais que pratiquement tout les garçons essaye au moins une fois? ah oui!
La discussion sur ma sexualité et sa grande ouverture m'avais terriblement excité, je rêvais depuis très longtemps d'expérimenter un sexe d'homme, et j'avoue que le sien m'avait intéressé
particulièrement. J'avais le regard fixé sur l'engin de mon prof que je pouvais distinguer à travers son pantalon. Après plusieurs question dans le genre, je fis un geste que je ne croyais jamais
faire, un geste d'instincts, un geste sans réfléchir, je mis ma main sur l'entre jambe de mon professeur assis sur sa chaise. Il sursauta et me pris le poignet rapidement et me regarda, très
surpris et inquiet, voir même tétanisé. Il me regardait, il ne disait rien, ma main était encore sur son entre jambe, il ne faisait que tenir mon bras, il ne l'avait pas enlevé. Il me regardait
dans les yeux, puis il regarda la porte comme pour voir si quelqu'un regardait...
Il me regardait encore puis il regardait encore la porte. Je sentais son sexe chaud et j'avais vraiment l'impression qu'il grossissait sous ma main, je crois que je lui plaisais, était-il
attirer par les jeunes garçons... avait-il aimé la vue de ma jolie culotte noir en dentelle. Wow quel sensation....
Je ne sais pas combien de temps nous sommes resté ainsi mais après un certain moment il mit sa mais par dessus la mienne et il serra...puis il enleva ma main en disant qu'il n'avait pas
le droit et il se dirigea vers la porte pour la fermer avant que quelqu'un nous voit et qu'il soit accusé de quelconque violation. Il me dit que ce n'était pas correct, qu'il n'avait pas le
droit... Je lui dit nerveusement "Je ne dirais rien..." il restait sur son opinion..."je ne peux pas" je lui redit que je dirais rien, que je ne voulais pas que le monde sache moi non plus. Je
n'étais plus moi même, normalement très timide, j'étais aussitôt rempli d'une envie folle d'avoir ma première relation sexuel. Je voulais enfin goûter à cet objet tant convoité, aucune morale,
aucune clarté d'esprit, aucune vison des conséquences ne pouvaient stopper cet envie. Il s'approcha de moi et me demanda de le lui jurer que je n'allait rien dire. J'eus à peine le temps de
parler qu'il m'entraîna aussitôt dans une petite pièce qui servait à entreposer les produits pour le cour, il ferma et barra la porte.
Incroyable, mon professeur de sciences physiques a envi de moi!! Je me tenais devant lui et il me regardait, son regard avait changé, je voyais dans ses yeux une envie folle, une passion
un désir flamboyant. Nous n'entendions que nos deux respirations allant tous deux à vives allures. Et voilà, il me demanda d'enlever mes pantalons, ce que je fis. Je le voyais se caresser
doucement l'entre-jambe à mesure que mon pantalon baissait. Je tremblais, un mélange de peur et de joie. Puis il poussa un WOW, il venait de voir non seulement ma culotte en dentelle, mais aussi
les bas filets noirs que je portais. Puis j'enlevai mon chandail et je me tiens devant lui. Il me regardait, moi dans une extase totale, je caressait doucement un corps svelte et pratiquement
imberbe.
Il me dit doucement de m'avancer vers lui...ce que je fis de la façon la plus osée et féminine possible, en me déhanchant, en faisant ce que j'avais toujours aimé chez une femme. Son
regard changeait encore. Il me pris fermement par le bras me fit faire 180 degrés et colla mes fesses contre son sexe. Sa respiration à l'oreille, je sentais sa main se promener sur mon corps,
touchant à la dentelle et au nylon. J'étais bandé comme jamais et je pouvais maintenant sentir que lui aussi. Tout en restant dos à lui, je pris en main son gros sexe à travers son pantalon, il
poussa un petit cri de joie. Moi je commençais à le masturber à travers le tissu. "Je ne te connaissait pas comme ça" dit-il. Il m'avanca un petit peu et me donna une claque sur une fesse. Je
poussai à mon tour un cri de jouissance, ce son sembla lui confirmer que j'étais prêt à tout. Il me dit à l'oreille: "tu aimes ça petite cochonne". Il me retourna et me dit que nous devions être
très silencieux en prenant bien le temps de me traiter de salope. Il commença à déboutonner son pantalon puis je pris la relève et je sortis enfin cette belle queue énorme. je mis en application
tout ce que les films érotiques m'avaient appris au cour des années.
Je commença à le masturber doucement, ensuite je pris mon autre mains pour jouer délicatement avec ses couilles. Il semblait adorer, je me suis amusé avec sa verge, grosse, chaude,
attirante, pendent quelques minutes, puis il m'a murmuré de le sucer. Doucement je me mis à lécher son gland. J'ai ensuite descendu doucement jusqu'aux testicules pour remonter et finalement
rentrer sa queue au plus profond de ma bouche. Et voilà ma première fellation, non pas en tant que l'homme mais bien en tant que femme. J'aimais tout: le goût, la chaleur, l'odeur... Je le suçai
du mieux que je pouvais, chaque sons qu'il émettait m'encourageait, je la sortais pour la lécher et puis je la récusait. Il était debout, la queue bien raide et moi, sa petite pute d'étudiante
perverse, j'étais à genoux, satisfaisant mon supérieur tout en jouant délicatement avec ma queue comprimée par le tissu de ma culotte. Il semblait commencer à être très excité, je l'entendais me
traiter de toute sorte de nom: "tu aimes ça salope" "tu n'est qu'une salle pute". Puis il me demanda de relever "mon beau petit cul", ce que je fis instantanément. Je me retrouva à 90 degrés
devant lui, les jambes bien droites. Il me caressa les fesses un instant, donnant quelques petites claques, puis il tassa doucement ma culotte pour délicatement jouer avec mon anus. Mon petit cri
de jouissance étouffé par l'énorme pénis dans ma bouche, lui donna l'autorisation d'y rentrer son doigt. Parfois je me doigtais seul à la maison, mais son doigt était plus gros que le mien et il
y allait avec beaucoup plus d'entrain que moi...Hummmm
Il continuait, alternant les vulgarités et le va et vient de son doigt. Moi je promenais ma langue de sa verge à ses testicules, je les mordillais. Puis soudainement, Il enleva son doigt
et le mis de force dans ma bouche en me disant de le sucer. Je ne résistais plus à rien, j'étais en transe. Je goûtais aux saveurs de mon anus tout en masturbant la queue de mon professeur.
J'entendis un râlement, il me dis " je vais venir.... continu à sucer mon doigt salope" Puis d'une de ses mains, il tenu ma tête collant ma joue sur le bout de son pénis que je continuait à
masturber à vive allure et voilà. Tout en suçant son doigt et en jouant avec ses testicules, je me fis baptiser sur la joue par mon professeur de sciences. Tout en entendant des râlements
étouffés, je sentis son liquide chaud s'accumuler sur ma joue et tranquillement descendre sur mon menton pour délicatement tomber, par petites goûtes sur mon torse...
J'étais officiellement devenu une femme. Quel plaisir de sentir que nous avons fais venir un homme...
Après quelques tremblements et quelques râlement, il recula contre le mur, il semblait revenir à la réalité tranquillement, il me regardait tranquillement se masturbant très doucement en
tentant de reprendre un rythme cardiaque acceptable. Mais moi, je n'avais pas terminer. j'étais à genoux sur le plancher du local et je masturbais la jolie queue que je venais de sortir de ma
culotte. Il me regardait, jouant encore tranquillement avec sa queue. Et il reprit de plus belle, "fais-toi venir petite salope" Après seulement quelques secondes j'éjaculai sans aucun contrôle,
ma semence vola sur mes bas et sur le plancher. Je me retournai vers lui, il me regardait disant: "oh, toi!!..." Je crois qu'il aimait sa vison: un petit étudiant, à genoux sur le sol, ne portant
rien d'autre qu'une culotte en dentelle et des bas filets, la joue et la jambe couvert de sperme, essayant de contenir sa respiration, complètement enivré.
Il me donna un rouleau de papier essuie-tout, reprit son calme et me disant qu'il avait bien aimé mais que tout ceci ne devais plus se reproduire et que surtout je devais ne rien dire à
personne. Je fis signe de la tête, la joue encore couverte de sperme. Il m'expliqua comment nous devions sortir de cet endroit sans éveiller les soupçons... puis je repris l'autobus pour revenir
à la maison avec rien d'autre que le goût du mélange de mon anus et de la belle queue de mon prof.
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Ce récit n'est pas de moi mais s'il y a une suite je vous en ferais profiter.
Promis