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Dimanche 31 octobre 7 31 /10 /Oct 09:36

J’éprouve un réel plaisir à me maquiller et à porter des sous vêtements féminins.
Le matin, quand je m’habille, je mets toujours des sous vêtements féminins, culottes, strings ou tangas ainsi qu’un soutien gorge mais dont je laisse les bonnets vides.
Ce que j’apprécie tout particulièrement, c’est le contact de la matière sur mon corps et la finesse des détails, des broderies, ou tout simplement la coupe.
J’adore porter des strings et sentir mon sexe compressé dedans. Il n’est d’ailleurs pas rare que j’aie une érection qui survienne dès que j’enlève le string !
Quand je me masturbe, c’est avec ces sous vêtements. Je commence à me masturber à travers eux. J’aime sentir ce contact de la matière sur ma peau.
Je joue même parfois avec le soutien gorge en le nouant autour de mon sexe et ou en éjaculant dans les bonnets. Personne ne connaît mes tendances.
Mais j’aimerais bien trouver un homme qui partage le même intérêt que moi pour le travestisme.
Quant au maquillage, je le mets mais relativement discret. On m’a déjà fait plusieurs fois la remarque que je mettais du maquillage, mais honteux je dis qu’il s’agit de maquillage pour homme et que c’est pour me donner un style.
Je me masturbe aussi comme si j’étais une femme, considérant mon pénis comme un clitoris et mon anus comme vagin.
Je prends du plaisir à jouer à être femme, pour autant je n’ai aucunement envie de changer de sexe. Je vis cela seulement comme un jeu, un plaisir, un enchantement.

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Par Katiatrav26 - Publié dans : Travs
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Dimanche 31 octobre 7 31 /10 /Oct 09:26

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Par Katiatrav26 - Publié dans : Travs - Communauté : melany_travesti_soumise
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Samedi 30 octobre 6 30 /10 /Oct 09:40

Totalement soumise à mon Maître black depuis près de 6 mois, celui-ci me convoque 2 à 3 fois par semaine pour parfaire mon dressage ; lorsque j'ai répondu à son annonce, je voulais satisfaire un fantasme entretenu dès que j'ai commencé à m'habiller en femme... quand il m'a appelée quelques jours plus tard, il s'est montré de suite si autoritaire et directif que j'acceptais son rendez-vous, le soir même !!!
A l'heure convenue, je sonnais chez lui et, à genoux sur son paillasson, les mains dans le dos, j'ai attendu qu'il ouvre sa porte...
Quand il est apparu devant moi, j'ai été fascinée par son crâne rasé, son visage sévère et son imposante musculature d'autant qu'il ne portait qu'un slip blanc ! Pendant qu'il accroche à mon cou un collier de chien, il en profite pour frotter son paquet contre mon visage et, c'est à 4 pattes, tirée par une laisse que je le suis jusqu'à son salon.
Avant de s'installer dans son fauteuil, il retrousse ma minijupe sur le dos, pelote mes fesses et me demande le gode que j'avais bricolé (sur son ordre), juste avant de venir. Je sors donc de mon sac un superbe phallus artificiel de couleur noire puis, il me noue un bandeau sur les yeux :
- fais-toi jouir en imaginant que je suis en train de te baiser... Si tu me fais bander, je te prends en main dès ce soir !
Alors, je me remets en mémoire les termes de son annonce « Maître black, 35 ans, TBM, cherche travesti soumise, cérébrale, aimant les mots crus et voulant devenir femme à blacks ».
Alors, je prends le sexe en plastique et, sans la moindre difficulté, je me l'enfonce profondément :
« oh ! Comme c'est bon d'écarter les fesses pour son Maître black ! Vas-y, salaud, baise-moi, tronche-moi, nique-moi ; tu le sais que je suis accro à ton gros zob et que tu peux me demander tout ce que tu veux... Depuis si longtemps, j'avais besoin d'être la femelle d'un noir et qu'il m'apprenne à jouir du cul comme une vraie femme ! Mes fesses, ma bouche, mes mains et mon corps sont à toi ; tu peux en faire ce que tu veux pour toi et, même tes potes si tu le désires...
Touche mes tétons et regarde comme je suis excitée ; jamais, je ne me suis sentie aussi femelle avec un mec... Oh! Je sens tes couilles qui claquent contre mes fesses ; tes couilles pleines de jus... Oui, jouis sur mon visage » Et je remarque que sans avoir eu d'érection, ma petite culotte de dentelles est inondée ; je tremble de partout... J'attends sa réponse...
Il se lève, ôte mon bandeau et m'entraîne dans les toilettes :
- tiens ma bite quand je pisse... Je baisse son slip et je prends en mains son énorme zob turgescent et le dirige vers la cuvette ; pour les dernières gouttes, j'agite lentement afin de ne rien salir et, quand il estime que "le travail est bien fait", il s'essuie dans les boucles de ma perruque !
Il me ramène au salon, me promène dans la pièce et me fait avancer avec des petits coups de laisse sur les fesses ; de temps en temps, il enfonce un peu plus le gode. Il retourne s'asseoir et retire la fine étoffe qui emprisonne son imposante virilité ; il me cale entre ses jambes écartées et commence d'abord par me gifler les joues avec son zob !
Puis, il me prend par le cou et force ma bouche : - allez, connasse, fais ton boulot de suceuse ! Tu veux de la bite noire : tu vas en avoir... Tu veux te faire défoncer : tu te feras défoncer... Par moi, par mes potes, par des inconnus ! Tu deviendras vite mon esclave sexuelle et tu me supplieras à genoux ; tu seras à ma disposition la plus complète... Compris, lopette ?
Je lève les yeux pour lui signifier mon accord d'autant qu'il vient de me faire comprendre qu'il me prend à son service... Alors, je m'applique à sucer et à lécher ce gros sexe noir dont je commençais déjà à être folle...
- Avant que je te fasse l'honneur de te posséder, je vais t'apprendre à être une vraie suceuse ; je crois que tu peux être douée... Passe ta langue mieux que ça, pouffiasse ! Une bite de noir, c'est au moins 25 centimètres : c'est vrai aussi que ça ne se pompe pas comme une petite queue de blanc ! Tu aimes ça, hein, petite blanche vicieuse ? Tu vas adorer te faire défoncer la bouche par des bites noires quand tu seras MA femelle : tu es d'accord, ma pute à nègres ?
Ce dernier qualificatif nous fait exploser tous les 2 en même temps ; il se vide sur mon visage en une douzaine d'éjaculations abondantes... Aussitôt, il prend son Polaroïd et immortalise cette première pipe, avec gros plan sur son sexe et sur les traînées de foutre blanc... Très complice, il me les montre et me dit au passage :
- tu es prête à vivre totalement ce que tu souhaites ?
Le "OUIIIIII " de ma réponse, les yeux dans les yeux, a valeur d'accord définitif... Jusqu'au petit matin, je l'ai pompé encore 5 fois ; copieusement insultée, injuriée, rabaissée, je prenais plaisir à être humiliée de la sorte ; chaque fois qu'il me godait, il m'arrachait mes confidences les plus secrètes, mes aveux les plus hard et ma soumission la plus totale... Il savait que j'allais lui appartenir, que j'accepterai tout de lui, que je serai heureuse de mon rôle de femelle inférieure devant la supériorité de la race noire... En rentrant chez moi, j'avais envie de hurler à chaque passant que j'appartenais à un Maître black et que j'allais, enfin, être la femelle de mes rêves...
Allongée sur le canapé du salon, je rêvassais les yeux fermés ; certaines images sont restées gravées dans ma mémoire, comme un film longtemps attendu... La scène de la première fellation me fait frissonner et je ne peux résister au besoin d'aller chercher un autre gode noir, dans la salle de bains ; au passage, j'en profite pour admirer dans le miroir le visage de cette femme épanouie et heureuse parce qu'elle a fait jouir un homme. La jambe gauche posée sur la baignoire, je m'enfile ce sexe artificiel, surprise q'il puisse entrer aussi facilement malgré la grosseur et la longueur de l'engin ! Je suis sur le point de me laisser aller au plaisir lorsque le téléphone sonne : je refuse de répondre mais l'insistance m'oblige à décrocher, dans un halètement que n'importe quelle personne attentive peut déceler même si je peux prétendre que j'ai couru pour prendre la communication...
- Oui, bonjour ! Silence au bout du fil...
- Oui, bonjour ; je vous écoute !
- Alors, petite salope blanche, contente de ta première nuit d'esclave ?
Le rouge me monte aux joues, je bafouille :
- Oui Maître, merci pour tout... Je voulais vous di...
Il me coupe brutalement et son ton devient plus autoritaire :
- ta gueule, connasse ; je suis certain que tu dois déjà être en train de te goder : avoue, pouffiasse, avoue !
A-t-il envie de faire l'amour par téléphone ?? Après tout, l'idée me séduit :
- oui, Maître ! Encore une fois, vous avez raison... Je suis assise dessus et je pense humblement à Vous, à votre sexe, à la façon dont vous m'avez traitée...
Il éclate de rire :
- eh bien, ça tombe bien parce que je suis en bas de chez toi ! Laisse la porte entr'ouverte et, le temps que je prenne l'ascenseur, change-toi, mets-toi une nuisette et attends-moi dans ton lit !! Ah, j'oubliais : garde le gode...
Docilement, après m'être changée, je me couche vêtue d'un déshabillé rouge des plus sexy ! J'ai beau me dire que je suis folle de me comporter de la sorte mais, en même temps, je suis profondément ravie qu'un homme me prenne en mains ! Je venais à peine de poser un CD de musique classique dans le lecteur qu'il est apparu dans l'encoignure de la porte : son regard est profond, sa chemise ouverte jusqu'au torse ; il portait un jean moulant avec un gros ceinturon et, autour du cou, la laisse qui avait servi à mon initiation. Il me fixe, s'approche de moi et me cingle les fesses avec la lanière en cuir torsadé :
- je t'avais dit de te coucher... J'ai horreur que l'on me désobéisse...
Tête basse et penaude, je me réfugie entre les draps pendant qu'il se déshabille : le salaud, il prend son temps avant de me rejoindre ! Aussitôt, il me tourne sur le côté et empoigne immédiatement le gode et le ressort :
- eh ben, ma salope, gourmande en plus ! Il me claque les fesses et retrousse le déshabillé :
- quel bon cul de pouffiasse ! Il faudra bien le rôder pour en faire un vrai garage à bites noires ! Dis-le, chuchote-le, hurle-le que tu veux cette vie de femelle ! Allez, fais ce que te demande ton Maître... Et, sans la moindre préparation, il me l'enfonce au maximum :
- Oh oui, Maître ! Je suis prête à vivre cette vie d'esclave sexuelle, de me soumettre à un Black autoritaire et vicieux, qui me traitera comme la vraie femelle blanche soumise que je suis... C'est trop bon de donner ma chatte de travesti à un vrai Homme comme vous !
Il se surélève sur les coussins et, m'attrapant par le cou, il frotte son bas-ventre sur mon visage :
- je sais que tu es déjà accro à la bite noire ! Enlève mon slip avec les dents...
Son odeur m'enivre, je suis comme une petite chienne en chaleur, en demande et en manque ; finalement, j'arrive à baisser son slip et, lui, se positionne derrière moi : je palpite, j'ai peur mais je me laisse faire... Il positionne son gland contre l'entrée de ma chatte et, dans un coup de reins puissant, il s'enfonce en moi :
- Voila, tu es une véritable femelle, à présent !!!
Ces simples mots chuchotés à mon oreille résonnaient comme un compliment, comme la certitude d'avoir choisi le bon chemin. Chaque coup de reins me remplit d'adrénaline et, cambrée comme je ne l'ai jamais été, je m'offre à lui sans pudeur ni retenue.

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Par Katiatrav26 - Publié dans : Travs
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Jeudi 28 octobre 4 28 /10 /Oct 09:09

Je suis à la Fac et j'ai une piaule dans une cité universitaire à Rabat (Maroc). Au début de l'année, j'ai eu la visite d'un voisin super gentil, très amusant qui frappe et me demande si je peux
lui prêter un peu de shampooing qu'il a oublié d'acheter en allant en ville. Volontiers, je le fais entrer, nous discutons de nos études et de notre avenir, puis je me lève et lui donne le flacon
demandé.
Une demie heure après, il revient torse nu, en short, me rapporter le shampooing.
Je ne pensais pas qu'il reviendrait le même soir et j'étais en slip sur mon lit révisant les cours de la journée. Il entre sans frapper et me voit affalé sur le lit, les jambes écartées lisant les
polycopies du jour.
Ouah ! Me dit il, tu es un vaillant toi ! Le flacon dans la main, il me demande où le poser et prend un siège et s'assoit face à moi. Son short est court mais je devine qu'il est nu dessous... Dans
la discussion, comme il bougeait sur son siège, je vis le bout de son sexe dépasser par l'entrejambe. Sa peau était claire mais le peu que j'ai pu voir paraissait beaucoup plus foncé. Il vit que
mon regard était attiré par l'échancrure de son short, et il en abusait ce qui déclara chez moi une belle érection. Une belle érection que j'essayais de dissimuler à ma nouvelle connaissance, mais
en vain car je vis que mon excitation avait excité mon interlocuteur. Il se leva comme pour me dire au revoir et je vis le short tendu pointant en avant.
-Tu as vu dans quel état tu m'as mis, me dit-il
Je rougis tout en matant son short et lui répondis :
- Tu me fais le même effet et en étendant les jambes je lui faisais voir mon slip pointant également.
Il baissa son short et je vis son zob pointant face à lui. Magnifique !
Je m'assis sur le lit et me retrouvai le visage à cinq centimètres de son zob. Je sortis ma langue et je commençais à lui lécher le gland et avalai la petite goutte qui venait de perler de son
méat... Puis j'ouvris grand la bouche et happai d'abord son gland entre mes lèvres et lui avança son bassin, ce qui fit que tout son sexe pénétra dans ma bouche. Je le tenais avec mes mains par les
hanches et contrôlais ses va et vient. Je sentais son excitation grandissante et je vis qu'il montait sur la pointe des pieds, il allait éjaculer...j'enfournais le maximum de son sexe dans ma
bouche et le retenais par les fesses. Il lâcha plusieurs jets de sperme au goût salé dans mon palais que je bus aussitôt avec délice jusqu'à la dernière goutte.
Son sexe reprit sa taille originale et il se dégagea pour remonter son short.
- Toi tu es un sacré suceur, je ne me suis pas trompé quand je t'ai vu.
Il me salua et sortit.
Je répondis à son salut avant qu'il ne disparaisse par la porte.
J'étais heureux d'avoir sucé cette belle queue et d'avoir goûté son bon jus mais je restais sur ma faim car je bandais toujours... Quelques minutes après, la masturbation me vida de mes excès et je
pus reprendre l'étude de mes polycopies normalement.
Le lendemain, j'eus la visite d'un autre étudiant habitant l'immeuble. Il frappa à ma porte et me demanda si je pouvais lui prêter un livre que j'étais susceptible d'avoir.
Je le fis entrer, il était vêtu d'un survêtement ample. Je le fis asseoir lançant ma recherche dans la pile de livres que je possédais. En attendant, il s'était assis sur une chaise et me regardait
dans tous mes déplacements. Comme je ne le trouvais pas, il me dit "tant pis, je repasserais"
Je me rassis sur mon lit, désolé de n'avoir pas pu lui rendre service et quand il se leva, je vis son bas de survêtement pointant en avant. Mon regard ne pouvait s'en détacher. Il resta immobile sa
bosse pointant vers moi. Je tendis la main et commençai à caresser cette bosse lentement. Elle était dure comme du bois et mes doigts devinaient bien les contours d'un zob bien fait. Il baissa son
pantalon de survêt' et son sexe me sauta à la figure comme un ressort de son piège. Ma main finit de le décalotter et je commençais à le sucer délicieusement. Ses râles me firent comprendre qu'il
appréciait la caresse buccale que je lui prodiguais. Son membre de bonne taille allait et venait dans ma bouche bien lubrifiée par ma salive. Je le branlais et suçais en aspirant légèrement quand
un flot de jus éclata entre mes lèvres. Il hurla de plaisir et se vida complètement. Puis, une fois sa queue dégonflée, il remonta son pantalon de survêt', me remercia du plaisir donné et après
m'avoir salué sortit de ma chambre.
Le soir d'après, un autre étudiant, un africain cette fois, frappa à ma porte, J'ouvris, lui demandant ce qu'il voulait et il me dit "je voudrais te parler"
Je le fis entrer et il m'avoua qu'il connaissait les deux autres, venus précédemment, et qu'il aurait bien aimé avoir les mêmes satisfactions.
Je m'assieds sur mon lit, l'invitant à prendre la chaise derrière lui, mais avant de s'asseoir il dégrafa son jeans et sortit son sexe d'ébène déjà raide. Un engin énorme décalotté avec un gland
rond et très gros. Je n'avais jamais vu ça mais j'admirais... je finis par le sucer jusqu'à ce qu'il me crache un flot de sperme qui remplit ma bouche à l'en faire déborder. Je le vidais
complètement le branlant en même temps. Son sperme avait bon goût et j'étais comblé.
Il prit un accent de petit nègre et me dit "tu suces bien petit blanc"

Laila

Par Katiatrav26 - Publié dans : Travs
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Jeudi 28 octobre 4 28 /10 /Oct 09:00

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Par Katiatrav26 - Publié dans : Travs - Communauté : melany_travesti_soumise
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Jeudi 28 octobre 4 28 /10 /Oct 08:46

 

Par Katiatrav26 - Publié dans : Travs - Communauté : melany_travesti_soumise
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Mercredi 27 octobre 3 27 /10 /Oct 11:51

J’avais 17 ans, j’étais interne dans un lycée à Rabat (Maroc), « il » m’avait fait découvrir une partie de moi que je ne connaissais pas. Parfois, j’assumais des permanences de nuit et de Week-end
comme aide surveillant général d’internat.
Un surveillant nouvellement affecté, 50 ans, bien bâti et sportif, s’était vu confier la responsabilité de la surveillance du pavillon où je dormais. Il était directif et assez tranchant. D’autre
part, il s’intéressait à ce que je faisais, a mes cours, au fait que j’occupais mon temps à apprendre, à découvrir ce qui m’entourait. Nous parlions de plus en plus, de chose et d’autre. Il me
demanda un jour si mon envie d’apprendre se limitait à des domaines intellectuels, je lui répondis, c’est sur, avec mon physique, je ne risque pas de faire haltérophilie. Ca l’a fait rire de bon
cœur. Et il me dit «il n’y a pas que cela, tu fais du sport ? ». Je lui répondis que oui. Assez vite, il s’est fait assez proche Au bout de quelques semaines, nos rapports étaient devenus très
fluides, il était devenu très sympathique. Un soir, il était différent qu’a l’habitude, lorsqu’il rentra du tour de garde, je m’en souviens bien, c’était un samedi, il vint derrière moi, me dit «
alors ça avance ta formation ? ». Je lui répondis, « ça avance, ça avance ». Et il me dit, « il va falloir que je te forme à d’autres choses, plus physique, tu vas te ramollir à rester assis tout
le temps et plongé dans tes cours ». Il faisait chaud, il alla s’asseoir en face de moi, sur une banquette que nous avions. Il s’était mis en short. Je lui répondis « Ah quoi tu veux me former ? ».
Il répondit «On va voir, On va voir». De son cartable, il sortit des revus pornos et les posa devant lui, sur la table. Moi j’avais rougi. Sa voix se fit plus posée, plus amicale. Je me levais et
allais m’installer dans le fauteuil et feuillette les Pages. Les images qui défilaient sous mes yeux ajoutaient à la chaleur la tension. Des femmes nues dans plusieurs positions. Je finis de
feuilleter, je repose la revue. Je n’ose en prendre une autre. Je crois qu’il le comprend. Il se penche sur la table et en prend une bien précise et me la tend. C’est une revue en Allemand. Dans
celle-ci, Il y avait comme une histoire, très diversifiée. Un strip-tease. A mesure des pages, des femmes, des couples, des hommes étaient de plus en plus nus. Puis un homme, le sexe imposant et
dressé. La page d’après, une femme était prise en levrette par l’homme de la page d’avant. A la page d’après, un 2éme homme est dans la bouche de la femme, elle était en sandwich. La page suivante
fut pour moi d’une très grande surprise, l’homme qui était dans la bouche de la femme y était resté, l’autre au sexe imposant, était derrière l’homme, le sexe tendu, dirigé vers les fesses de celui
qui se faisait faire une pipe, je tourne la page. Et là, l’homme toujours dans la bouche de la femme est en train de se faire enculer par l’étalon. J’étais subjugué par la scène. Je finis par
tourner la page et là, la totalité du zob avait disparu dans le cul de celui qui se faisait sucer, l’angle de la photo ne laisse pas de doute sur la totale pénétration. C’est la première fois que
je voyais une scène pareille, je la regardais avec insistance. Je me demandais comment, un tel sexe pouvait être englouti par un passage aussi étroit. Le surveillant général se leva et passa
derrière moi. Une de ses mains se posa sur mon épaule. Regardant la page ouverte, il me demanda si j’aimais. Je ne répondis rien, rouge d’excitation et de honte. Il me dit « drôle, Non ». Je lui
dis «c’est truqué, c’est pas possible ». Il me répondit « tu crois, moi je sais que c’est tout à fait faisable ». J’ai très chaud, je ne réponds rien. Je demande si je peux aller prendre une
douche. Il me dit, «Bien sûr, il fait tellement chaud». Sans attendre je me dirige vers les douches. C’est une pièce ou il y a trois douches individuelles sans porte. Je me déshabille, allume l’eau
et me mets dessous. L’eau me fait du bien. J’ai très chaud et je bande irrésistiblement. J’entends la porte s’ouvrir, je ne me retourne pas. Il me dit, moi aussi j’ai chaud. Il se déshabille, je
tourne doucement mais irrésistiblement la tête, sa bite est conséquente. Il me regarde, ne se détourne pas, et entre dans la douche d’a côté. Je ne l’entends plus, mis à part l’eau qui coule. Je
reste comme cela un moment, je me savonne, avec une envie incroyable de baiser. Je me sens épié mais je ne me retourne pas, je reste à la vision de sa bite. Puis; j’ai senti deux mains se poser sur
mos dos. Et j’entends, « je vais t’aider » il me frotte le dos, je sursaute. Je le sens de plus en plus près, il me caresse le dos de plus en plus, de haut en bas. Je sens une de ses mains quitter
mon dos et passer jusqu’à mon ventre, elle descend et me prend la bite. La sienne effleure mon cul. Je suis statufié, je ne bouge pas d’un pouce, je ne sais pas ce qu’il va m’arriver. De l’autre
main, il prend mon poignet gauche et le tire derrière moi. Il me fait prendre son sexe, plus gros et plus long que le mien. Je le branle. Je le sens se durcir totalement, je ne sais plus quoi
faire… tout se bouscule dans ma têtes, j’arrête de le branler, il me serre de près. Sa queue touche régulièrement mes fesses. Il soulève mes bras au dessus de ma tête et me les fait poser contre le
mur qui est devant moi. J’essaie mollement de bouger, je ne pense plus, je ne sais rien à ce qui est en train de se passer. J’ai tout juste 17 ans. Il se frotte contre moi, je sens son zob glisser
plus bas entre mes fesses. J’essaie de me dégager, impossible. Il me serre de plus près, je ne peux plus faire de mouvement. Il me dit « arrête de bouger ». Le ton est tranchant. Il dépose quelque
chose de gras entre mes fesses et sur sa bite. Il recule légèrement, sa bite s’insinue ente mes fesses, il pousse en me tenant par le ventre et m’empêche d’avancer ou de me dégager. Dans
l’agitation et avec cette cambrure, il trouve son ouverture, je le sens me forer, mon entrée finit par céder, je ressens une grande douleur. Sous une plus forte poussée, sa bite glissa en
s’enfonçant en moi. La douleur me plie en 2, il en profite pour m’enculer un peu plus. J’ai très mal, j’ai peur et je me mets à pleurer. Sans m’entendre ni lâcher la pression, il continue à me
prendre, je le sens respirer de plus en plus fort, et s’enfoncer de plus en plus en moi. Chaque mouvement de sa part me déflore un peu plus. Il me dit sans arrêt « T’aimes ça » J’ai l’impression
que ça dure longtemps. Je le sens profondément en moi. Il me fait mal, mais ne ralentit pas. A chaque coup de boutoir je me sens défoncé un peu plus, mon cul est en feu. Avec une voix de
dominateur, il me dit «tu vois que c’est possible de se faire enculer par une grosse queue ». Je sens son ventre claquer contre mes fesses. La douleur est violente. Puis il est secoué de
soubresauts. Je me demande ce qui arrive, C’est ma fête, au mauvais sens du terme. Il finit par arrêter, reste comme ça planté au fond de moi, sans bouger. Je me sens pendu sur ce pieu, mes pieds
touchant à peine par terre. Finalement, il me quitte aussi brutalement qu’il est entré et disparaît. Mes jambes ne me portent plus, je tombe. Je me sens écartelé. Je continue à pleurer sous la
douche.

Lailalailatvx4

Par Katiatrav26 - Publié dans : Travs - Communauté : Homme aimant se travestir
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Mardi 26 octobre 2 26 /10 /Oct 10:51

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Par Katiatrav26 - Publié dans : Travs - Communauté : melany_travesti_soumise
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Lundi 25 octobre 1 25 /10 /Oct 12:17

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Up!

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Down!

Par Katiatrav26 - Publié dans : Travs - Communauté : melany_travesti_soumise
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Lundi 25 octobre 1 25 /10 /Oct 12:16

L’histoire qui suit m’est arrivée à mon 18e anniversaire, j’étais à la campagne dans une région rurale pas loin de Rabat (Maroc).

En me baladant pas très loin, je rencontre Nasser un travailleur qui bosse comme ouvrier agricole chez des voisins pas très loin de chez moi, il vit tout seul environ 8 mois de l’année ici et
retrouve sa famille les 4 mois d’hiver, il vit dans une petite baraque perdue dans la campagne, il a à peut prés 40 ans c’est un gars robuste et costaud.
Je lui dis bonjour.
Il me répond : Je voudrais te montrer quelque chose, ce n’est pas ton chat la pauvre bête morte, je l’ai trouvé la.
- non, je n’ai pas de chat monsieur.
Et puis on a commencé à parler il avait fini sa journée, il était tout en sueur, il me propose de boire un coup
je lui dis, c’est pas facile la vie ici, sans rien, pendant tous ces longs mois.
- j’ai fini par prendre l’habitude me dit il
- moi je ne pourrais pas être privé de tout
Et puis tout en discutant sans savoir pourquoi je commençais à imaginer ce bonhomme tout seul sans femme comment faisait-il, il y avait une sorte d’excitation en moi, j’aurai voulu l’aider, je suis
un garçon et sans être très efféminé, j’ai un aspect plutôt gentillet entre guillemets, les cheveux longs, un visage assez fin, et je me lance :
- sans femme ici ce doit être dur, vous devez y penser
- et oui des fois ça me chatouille un peu mais pas plus, je suis tout seul et les femmes ici elles aiment les immigrés.
- pourtant vous êtes encore drôlement baraqué. Faudrait en trouver une qui veuille bien d’un homme vigoureux comme vous, vous êtes un vrai colosse viril.
- Malgré ce que tu dis j’ai pas trouvé de femme qui veuille bien de moi, (un temps d’arrêt) mais y pas que les femmes.
La je commençais à me demander mais il fait allusion aux hommes, j’étais à nouveau excité, j’avais besoin d’aller plus loin, je bois encore une gorgée de thé tellement j’avais la gorge sèche.
- vous voulez dire qu’avec une femme ou un homme c’est pareil
- pour moi c’est mieux la femme, mais si y pas de femme on prend ce qui reste, des fois des jeunes garçons y sont un peu comme les femmes.
C’est fou, je commençais à me trouver tout chose, et en plus en le regardant continuer à parler tout en se levant il m’a semblé qu’il bandait, puis il me dit si tu n’es pas pressé je vais me laver
un peu parce que j’ai beaucoup transpiré et après on discute encore un peu ça me fait plaisir de parler avec toi.
(Moi de plus en plus bizarre dans cette situation équivoque)
- oui je suis pas pressé allez y je vous attends la dehors.
Je me faisais tout un cinéma dans ma tête, j’étais en train sans m’en rendre compte d’aguicher un gars que je connaissais à peine,
J’entendais l’eau couler, je regardais un peu autour de moi, nul doute j’étais excité par cet homme, qu’allait il se passer ?
Puis quelques instants plus tard en me retournant je l’aperçois furtivement il est nu le temps de prendre ses affaires, j’ai eu le temps de voir en une seconde son sexe au repos, une grosse bite
pendante, j’ai tout de suite imaginé cette même queue en érection en me disant c’est pas possible, à part un cheval je vois pas autre chose.
Le temps d’enfiler son pantalon il finit par arriver torse nu.
Ça fait du bien me dit il
Il doit me sentir bizarre, parce que je le suis, il est vraiment baraqué, si j’étais une femme il m’exciterait, je n’en suis pas une mais la, je ressens ce qu’une femme pourrait ressentir.
Mon allure est plutôt fluette avec mes cheveux, je dois plus lui faire penser à une femme plutôt qu’à un homme.
Puis la conversation reprend.
- c’est gentil que tu me parles, moi je ne parle pas souvent aux gens d’ici
- mais ça me fait plaisir de parler avec vous, je suis content d’être la, pour vous faire passer un moment, je vous trouve vraiment sympathique et en plus qu’est ce que vous êtes costaud, (je fais
le geste)
- j’ai beaucoup de force, j’ai toujours de la force
- moi j’aime les hommes musclés
Il se lève et fait quelques mouvements comme en ferait un culturiste.
Je regarde à hauteur de son sexe en imaginant ce que j’ai aperçu tout à l’heure, je fais mine de pas trop insister, mais apparemment son regard sur moi commence à changer, il sourit tout en me
montrant ses biceps.
- moi par contre je n’ai pas de muscle, je ressemble plus à une fille,
- si tu ressembles à une fille, tu fais aussi la fille
La un cap est franchi, je me sens comme une femelle en rut, j’ai vraiment envie maintenant de voir si je peux faire bander ce colosse.
Je me lance, et lui dis avec un petit sourire :
- quelque fois, quand l’homme est comme vous très fort ça m’excite, est ce que je vous fais bander ?
- Bien sur, tu me fais bander, j’aime ton petit corps, toi tu veux que je te montre ma queue
- Oui j’aimerais bien la sucer
Il me fait signe de rentrer dans sa petite baraque, une petite pièce, avec un lit une table, un lavabo sans robinet.
Une fois dedans je commence à me dandiner à tourner du cul devant lui, il commence tout en me regardant dans les yeux à dégrafer son pantalon, de mon coté, je sors ma langue pour lui montrer que je
suis impatient de voir sa grosse bite, et d’un seul coup, son sexe apparaît pas totalement en érection mais à sa vue, je reste sans voix.
- ça te plait ma bite
- je n’en ai jamais vu d’aussi grosse, la mienne est beaucoup plus petite
Il me fait signe avec sa main gauche de m’approcher pendant que sa main droite décalotte lentement cette bite de cheval, son gros gland me fait craquer, j’en tremble presque, il me caresse les
cheveux et appuie légèrement sur ma tête pour me faire comprendre que je dois m’agenouiller, je suis hypnotisé par ce sexe énorme qui est maintenant totalement en érection, je regarde encore un
instant ce sexe prodigieux, lui il sourit en me voyant si impressionné, je commence à l’engouffrer dans ma bouche, et je suce, tout en branlant à deux mains ce gourdin,
- c’est bon suce mon petit, me dit il, après je vais te mettre ça dans ton petit cul, tu vas jouir, vas y encore, c’est bon,
maintenant déshabille toi, enlève ton pantalon.
Je m’exécute aussitôt
- Laisse moi admirer cette queue encore un instant après tu pourras m’enculer
- Oui je vais te la mettre toute entière, tu vas crier de plaisir c’est sur, tous les jeunes garçons que j’ai déjà enculés criaient de joie.
Il commence à me prendre le cul mettant beaucoup de salive sur mon anus, et puis son pieu commence à me pénétrer tout doucement, lentement. Puis enfin je poussais des cris rauques, enroués. Sa bite
était en moi mais pas entièrement. Elle ne pouvait pas aller plus loin !
- Je vais te défoncer mon joli, tu ne vas pas le croire.
C’était bon, on a continué comme ça jusqu’à ce qu’il décharge violemment en moi, j’étais aux anges et lui aussi.

Voila, Nasser m’a fait vivre une sacrée expérience !

lailatvx2

Par Katiatrav26 - Publié dans : Travs - Communauté : Open sexe
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  • : 03/02/2009

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