Le blog de Katiatrav26
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L’hôtel n’étant pas très loin, le trajet s’est vite terminé. Nous avons stationné à l’entrée, et avons rejoint notre chambre en compagnie de Jamal.
Nadia avait reboutonné son chemisier et demandé à Jamal de se montrer discret, ce qu’il a bien compris. Quelques minutes plus tard, nous arrivions à notre hôtel. Ma
femme invita Jamal à entrer et lui demanda de s’installer à côté d’elle.
— Jamal, je suis désolée mais le trajet en voiture nous a fait réfléchir et je préfère qu’on arrête là. Excuse-moi.
— Ah non, Nadia, tu ne peux pas arrêter tout comme ça ! Tu m’excites, tu me demandes de venir ici, et après tu me dis « Stop, c’est fini, rentre chez toi !
»
— Oui je sais, c’est ma faute…
— OK, OK, mais s’il te plaît, montre-moi encore tes seins une dernière fois.
Sophie me regarda comme pour chercher un conseil mais je fuis son regard.
— D’accord.
Elle se releva et retira son chemisier, passa les mains dans son dos pour défaire les attaches de son soutien-gorge quand Jamal demanda :
— Tu retires ton jean aussi ? Non ? Allez, s’il te plaît !
Du coup, elle garda son soutien-gorge puis défit les boutons du jean…
— Je le retire vraiment, Karim ?
— Oui, vas-y maintenant, tu n’en montres pas plus qu’à la plage.
Nadia fit glisser son pantalon sur ses cuisses puis le retira complètement. Elle avait un petit string en dentelle blanche assorti au soutien-gorge.
— Mummm, super sexy, Nadia, je recommence à bander… et je suis sûr que Karim aussi. Viens sur mes genoux.
Nadia s’approcha de Jamal puis s’assit sur ses genoux. Aussitôt, celui-ci commença à poser ses mains sur ses cuisses.
— Mumm, tu es super douce et chaude, ma coquine…
Ses grosses mains la tripotèrent de partout, de haut en bas, sur les cuisses, le ventre, les seins… Bien vite il défit le soutien-gorge, et je vis qu’à nouveau ma
femme avait les tétons complètement tendus, presque rouges. Pourtant elle gardait les cuisses serrées et lorsque Jamal tenta de glisser une main entre, elle lui fit comprendre qu’elle ne voulait
pas. Il n’insista pas.
— J’aimerais que tu me touches la queue, Nadia…
— D’accord, mais je te préviens, je ne suce pas.
— Oui, OK, je comprends.
Ils se levèrent tous les deux et Jamal commença à se déshabiller.
— Ça te dérange pas si je me mets tout nu ? Je préfère.
Rapidement il ne fut qu’en slip mais on devinait une grosse érection.
— Tu me retires le slip ?
Nadia s’approcha et posa sa main sur la bosse du slip…
— Elle est grosse…
Puis rapidement elle écarta le slip et le baissa à mi-cuisses. Le sexe de Jamal se redressa d’un coup.
— Oui, elle est vraiment grosse…
— Elle te plaît ?
— Hum oui, ça change de ce que je connais. Beaucoup plus large…
Entendre ce genre de chose, c’est toujours agréable… Mais voir que ma femme approchait sa bouche alors qu’elle ne me suce jamais, là, ça faisait encore plus mal.
Pourtant elle commença à embrasser le gland et à y passer la langue.
— Mumm oui, Nadia, continue comme ça…
Elle lécha avec de plus en plus d’appétit cette grosse verge. Sa langue se fit plus longue et bientôt elle prit le bout de la queue de Jamal dans sa bouche, puis
délicatement commença à le sucer.
— Hum quelle salope… Mummm petite pute, suce-moi bien, c’est bon…
Elle retira la queue de sa bouche. Des fils de bave autour des lèvres, elle sourit à Jamal :
— Tu trouves que ta petite salope te suce bien ?
— Oh oui, t’arrête pas, continue, c’est trop bon !
Elle était belle, à genoux, quasi-nue devant cet homme, occupée à lui donner le maximum de plaisir avec sa bouche. Mon sexe était au bord de l’explosion alors que
je ne m’étais même pas touché ; la force de la scène qui se déroulait devant moi suffisait à me mettre au bord du plaisir. J’avais envie de jouir là, de suite, pour participer au spectacle et en
devenir acteur. Je retirai rapidement mon tee-shirt, mon jean et mon boxer puis m’avançai vers Nadia. Elle tourna les yeux vers moi et prononça quelques mots que, vu sa bouche pleine, je ne
compris pas. — Approche, répéta-t-elle. Elle délaissa le sexe de Jamal et prit le mien dans sa bouche toute pleine de chaleur et de salive. Et là, je compris pourquoi Jamal était aux anges. Je
compris tout ce que je manquais puisque ma femme ne faisait jamais de fellation. C’était divin, cette chaleur et cette humidité autour de ma verge. Hélas, vu mon excitation, je sentis vite que je
n’allais pas tenir, et je prévins Nadia que ça allait venir. Elle sortit mon sexe de sa bouche et reprit celui de Jamal, mais garda la main autour du mien et le branla deux ou trois fois, puis
elle revint pour me reprendre en bouche au moment où je jouissais en soupirant très fort… Ma queue se contracta plusieurs fois à m’en faire mal. Un premier spasme me fit éjaculer dans sa bouche;
elle relâcha alors ma queue et les autres jets l’atteignirent sur le visage puis sur le cou et la poitrine.
— Eh bien chéri, c’était fort, on dirait…
La jouissance me coupa les jambes et je dus m’asseoir pour ne pas tomber. Dans un état second j’entendis Jamal :
— Reviens sur moi, salope, je vais venir aussi, mais je veux ta chatte.
Je me sentais complètement hébété, l’excitation retombait et la jalousie commença à me gagner à nouveau. Non, il n’allait quand même pas la prendre là, ici, devant
moi ! Elle allait refuser, sauver notre honneur ! Quoique pour le mien, j’avais été plutôt pitoyable…
Nadia lui demanda :
— As-tu un préservatif ?
— Non, je n’avais pas prévu…
— Alors non.
— Oh Nadia, tu ne peux pas me faire ça, j’ai trop envie de te prendre. Allez permets-moi juste de te pénétrer une fois ! Je n’ai pas de problème, je suis clean, tu
sais. Je ne jouirai pas en toi, je te promets !
Elle se releva et se plaqua contre Jamal. Il l’enlaça et plaça ses mains sur ses fesses et fit glisser ses doigts sur les côtés de son string, qu’il commença à
descendre. Nadia l’aida et doucement fit glisser son string sur ses cuisses jusqu’à ses chevilles, puis le retira. Elle était maintenant complètement nue… et consentante. Jamal s’assit et la
regarda nue devant lui.
— Tu es vraiment une belle salope… Humm ta chatte est belle.
Nadia est restée plutôt nature de ce côté-là.
Elle prit Jamal par la main et l’entraîna vers le lit. Elle croisa mon regard vide et me demanda :
— Tu viens aussi ? S’il te plaît…
Si je venais ? Oui, je pouvais la laisser seule, mais non, je voulais voir, je voulais entendre, et surtout pouvoir m’en souvenir plus tard. Après tout, c’était mon
fantasme que je vivais là, même si mon rôle n’était pas trop conforme à ce que j’avais imaginé. Mais les derniers instants avaient été si forts que mon esprit ne garderait qu’un souvenir plus
flou du final. Et après tout, l’important, c’était la progression, la montée des désirs et des émotions. Je n’avais pas pu résister, je n’avais pas pu suivre ma femme jusqu’au bout mais je ne
pouvais pas lui en vouloir. Mais pourrais-je revivre ces moments ? En aurais-je envie ?
Bisous