Le blog de Katiatrav26
J’avais 17 ans, j’étais interne dans un lycée à Rabat (Maroc), « il » m’avait fait découvrir une partie de moi que je ne connaissais pas. Parfois,
j’assumais des permanences de nuit et de Week-end
comme aide surveillant général d’internat.
Un surveillant nouvellement affecté, 50 ans, bien bâti et sportif, s’était vu confier la responsabilité de la surveillance du pavillon où je dormais. Il
était directif et assez tranchant. D’autre
part, il s’intéressait à ce que je faisais, a mes cours, au fait que j’occupais mon temps à apprendre, à découvrir ce qui m’entourait. Nous parlions de plus
en plus, de chose et d’autre. Il me
demanda un jour si mon envie d’apprendre se limitait à des domaines intellectuels, je lui répondis, c’est sur, avec mon physique, je ne risque pas de faire
haltérophilie. Ca l’a fait rire de bon
cœur. Et il me dit «il n’y a pas que cela, tu fais du sport ? ». Je lui répondis que oui. Assez vite, il s’est fait assez proche Au bout de quelques
semaines, nos rapports étaient devenus très
fluides, il était devenu très sympathique. Un soir, il était différent qu’a l’habitude, lorsqu’il rentra du tour de garde, je m’en souviens bien, c’était un
samedi, il vint derrière moi, me dit «
alors ça avance ta formation ? ». Je lui répondis, « ça avance, ça avance ». Et il me dit, « il va falloir que je te forme à d’autres choses, plus physique,
tu vas te ramollir à rester assis tout
le temps et plongé dans tes cours ». Il faisait chaud, il alla s’asseoir en face de moi, sur une banquette que nous avions. Il s’était mis en short. Je lui
répondis « Ah quoi tu veux me former ? ».
Il répondit «On va voir, On va voir». De son cartable, il sortit des revus pornos et les posa devant lui, sur la table. Moi j’avais rougi. Sa voix se fit
plus posée, plus amicale. Je me levais et
allais m’installer dans le fauteuil et feuillette les Pages. Les images qui défilaient sous mes yeux ajoutaient à la chaleur la tension. Des femmes nues
dans plusieurs positions. Je finis de
feuilleter, je repose la revue. Je n’ose en prendre une autre. Je crois qu’il le comprend. Il se penche sur la table et en prend une bien précise et me la
tend. C’est une revue en Allemand. Dans
celle-ci, Il y avait comme une histoire, très diversifiée. Un strip-tease. A mesure des pages, des femmes, des couples, des hommes étaient de plus en plus
nus. Puis un homme, le sexe imposant et
dressé. La page d’après, une femme était prise en levrette par l’homme de la page d’avant. A la page d’après, un 2éme homme est dans la bouche de la femme,
elle était en sandwich. La page suivante
fut pour moi d’une très grande surprise, l’homme qui était dans la bouche de la femme y était resté, l’autre au sexe imposant, était derrière l’homme, le
sexe tendu, dirigé vers les fesses de celui
qui se faisait faire une pipe, je tourne la page. Et là, l’homme toujours dans la bouche de la femme est en train de se faire enculer par l’étalon. J’étais
subjugué par la scène. Je finis par
tourner la page et là, la totalité du zob avait disparu dans le cul de celui qui se faisait sucer, l’angle de la photo ne laisse pas de doute sur la totale
pénétration. C’est la première fois que
je voyais une scène pareille, je la regardais avec insistance. Je me demandais comment, un tel sexe pouvait être englouti par un passage aussi étroit. Le
surveillant général se leva et passa
derrière moi. Une de ses mains se posa sur mon épaule. Regardant la page ouverte, il me demanda si j’aimais. Je ne répondis rien, rouge d’excitation et de
honte. Il me dit « drôle, Non ». Je lui
dis «c’est truqué, c’est pas possible ». Il me répondit « tu crois, moi je sais que c’est tout à fait faisable ». J’ai très chaud, je ne réponds rien. Je
demande si je peux aller prendre une
douche. Il me dit, «Bien sûr, il fait tellement chaud». Sans attendre je me dirige vers les douches. C’est une pièce ou il y a trois douches individuelles
sans porte. Je me déshabille, allume l’eau
et me mets dessous. L’eau me fait du bien. J’ai très chaud et je bande irrésistiblement. J’entends la porte s’ouvrir, je ne me retourne pas. Il me dit, moi
aussi j’ai chaud. Il se déshabille, je
tourne doucement mais irrésistiblement la tête, sa bite est conséquente. Il me regarde, ne se détourne pas, et entre dans la douche d’a côté. Je ne
l’entends plus, mis à part l’eau qui coule. Je
reste comme cela un moment, je me savonne, avec une envie incroyable de baiser. Je me sens épié mais je ne me retourne pas, je reste à la vision de sa bite.
Puis; j’ai senti deux mains se poser sur
mos dos. Et j’entends, « je vais t’aider » il me frotte le dos, je sursaute. Je le sens de plus en plus près, il me caresse le dos de plus en plus, de haut
en bas. Je sens une de ses mains quitter
mon dos et passer jusqu’à mon ventre, elle descend et me prend la bite. La sienne effleure mon cul. Je suis statufié, je ne bouge pas d’un pouce, je ne sais
pas ce qu’il va m’arriver. De l’autre
main, il prend mon poignet gauche et le tire derrière moi. Il me fait prendre son sexe, plus gros et plus long que le mien. Je le branle. Je le sens se
durcir totalement, je ne sais plus quoi
faire… tout se bouscule dans ma têtes, j’arrête de le branler, il me serre de près. Sa queue touche régulièrement mes fesses. Il soulève mes bras au dessus
de ma tête et me les fait poser contre le
mur qui est devant moi. J’essaie mollement de bouger, je ne pense plus, je ne sais rien à ce qui est en train de se passer. J’ai tout juste 17 ans. Il se
frotte contre moi, je sens son zob glisser
plus bas entre mes fesses. J’essaie de me dégager, impossible. Il me serre de plus près, je ne peux plus faire de mouvement. Il me dit « arrête de bouger ».
Le ton est tranchant. Il dépose quelque
chose de gras entre mes fesses et sur sa bite. Il recule légèrement, sa bite s’insinue ente mes fesses, il pousse en me tenant par le ventre et m’empêche
d’avancer ou de me dégager. Dans
l’agitation et avec cette cambrure, il trouve son ouverture, je le sens me forer, mon entrée finit par céder, je ressens une grande douleur. Sous une plus
forte poussée, sa bite glissa en
s’enfonçant en moi. La douleur me plie en 2, il en profite pour m’enculer un peu plus. J’ai très mal, j’ai peur et je me mets à pleurer. Sans m’entendre ni
lâcher la pression, il continue à me
prendre, je le sens respirer de plus en plus fort, et s’enfoncer de plus en plus en moi. Chaque mouvement de sa part me déflore un peu plus. Il me dit sans
arrêt « T’aimes ça » J’ai l’impression
que ça dure longtemps. Je le sens profondément en moi. Il me fait mal, mais ne ralentit pas. A chaque coup de boutoir je me sens défoncé un peu plus, mon
cul est en feu. Avec une voix de
dominateur, il me dit «tu vois que c’est possible de se faire enculer par une grosse queue ». Je sens son ventre claquer contre mes fesses. La douleur est
violente. Puis il est secoué de
soubresauts. Je me demande ce qui arrive, C’est ma fête, au mauvais sens du terme. Il finit par arrêter, reste comme ça planté au fond de moi, sans bouger.
Je me sens pendu sur ce pieu, mes pieds
touchant à peine par terre. Finalement, il me quitte aussi brutalement qu’il est entré et disparaît. Mes jambes ne me portent plus, je tombe. Je me sens
écartelé. Je continue à pleurer sous la
douche.
Laila
va sur mon blog lire mon dépucelage ma puce...
bisous
Laure de la Marne
Mes potes savent que je suis cocu, ils ont tous baisé ma femme mais pas devant moi.
Ma femme Nadia fait 1m68, elle a 24 ans, mince, brune, avec de très gros seins (100 bonnet D), et c’est ça qui met tous les mecs en rut : deux seins énormes, droits comme des obus, qu’elle met en valeur chaque fois qu’elle le peut. Elle m’aime bien aussi, elle savait avant notre mariage que je suis nul au lit, mais il y a beaucoup d’affection entre nous, et je n’ai jamais fait la gueule quand des mecs la draguent devant moi. En général les vrais machos sentent immédiatement que la voie est libre et que je ne suis pas un obstacle sérieux pour eux s’ils ont envie de la grimper ; ça se voit dans leur regard qu’ils le comprennent immédiatement, ça les fait toujours sourire. Et je pense que Nadia apprécie aussi mon attitude.
J’avais pas mal hésité par rapport à Karim ; 25 ans, beau gosse, grand (1m85) et large d’épaules, sportif, gros baiseur, avec une queue de 23 cm super large (j’avais vu les photos …) et une vraie mentalité de macho dominant, il me parlait toujours avec mépris sur le net, me disait qu’il allait niquer ma femme dans mon lit, ça m’excitait mais j’avais peur de la réaction de Nadia si je lui présentais un mec moi-même, qu’elle se vexe et me quitte. Un jour il m’a appelé, j’étais au boulot, il m’a traité de mytho, qu’il en avait marre d’attendre, alors j’ai craqué, je lui ai dit de venir la semaine suivante dormir chez nous, que je le présenterai comme un ami qui vient passer quelques jours. On fixe la date, et Karim me force à lui donner le numéro de portable de ma femme, pour l’appeler au cas où j’annule au dernier moment, pour tout lui dire. En plus, je lui donne le vrai numéro, pour bien me sentir en son pouvoir. Le soir, j’explique à Nadia que mon ami Karim vient passer une nuit à Rabat et qu’on va l’héberger. Je lui glisse que c’est un gros macho et j’invente que le surnom qu’il a dans la boîte à Yahoo c’est « bite de cheval » ; il n’en faut pas plus pour qu’elle se mette à fantasmer en douce …
Karim arrive le jour convenu, en début de soirée. Je lui avais dit que je cherchais à être cocu et surtout à me faire humilier, à ce qu’enfin un vrai mec me rabaisse comme je le mérite, et à ce que ma situation de cocu soit enfin connue d’un maximum de personnes. Karim m’avait répondu que ça n’est pas à moi de fixer les conditions, que je dois fermer ma gueule, mais qu’il avait lui aussi super envie aussi de m’humilier en public.
On arrive à l’appart, je présente Karim à mon épouse Nadia, il sourit de toutes ses dents, apparemment elle lui plaît à mort. Elle aussi a l’air émoustillée devant ce beau mâle (même si elle ne sait pas que je l’ai invité dans un but précis), et visiblement elle sent tout de suite que c’est un homme à femmes. Elle est habillée normalement, jupe mi-cuisses et tee-shirt clair, et Karim est en jean et en tee-shirt (un tee-shirt qui laisse bien voir qu’il a un super torse de sportif et des épaules larges, pas comme moi). D’entrée de jeu, Karim fait comme s’il était chez lui, il s’installe sur le canapé sans attendre que je l’y invite, il a l’air hyper à l’aise, il ne quitte pas ma femme des yeux, il la caresse du regard, ses seins, ses jambes, ses cuisses, tout y passe, et il n’arrête pas de lui sourire. Je lui sers un verre, on s’assied, et on commence à discuter, il me répond à peine, il parle surtout avec elle, lui pose des questions sur son boulot, ce qu’elle aime etc … A plusieurs reprises, il m’envoie des petites vannes, il laisse entendre qu’il me trouve un peu nul, à un moment il me traite de maladroit parce que je fais tomber un verre.
Puis on passe à table et pendant le repas, ça continue, je parle à peine, lui fait comme si je n’étais pas là, il la drague ouvertement devant moi. Alors que penser de cette situation qui, avant, était excitante pour moi, en fait la vivre en vrai est très humiliant, et j’ai presque envie de tout arrêter, mais c’est trop tard, de toute façon il me tient. A chaque fois que ma femme se lève pour aller à la cuisine, Karim la suit pour l’aider ; la troisième fois qu’il la suit, ils restent un moment (5 à 10 minutes) tous les deux dans la cuisine, et je n’entends aucune parole (Karim m’a raconté ensuite que c’est à ce moment-là qu’il l’a embrassée et caressée, et qu’elle s’est laissée faire après s’être très mollement défendue). Quand ils reviennent dans le salon, Karim a compris qu’il allait se taper ma femme sans problème.
Après le dessert, on reste un moment sur le canapé, il continue de la draguer devant moi, à un moment il lui dit même « tu me plais vraiment, tu sais », elle sourit, je ferme ma gueule, de temps en temps il me lance des regards à la fois méprisants et narquois, mon attitude le fait bien marrer. Moi je fais un peu la gueule, quand même, bien que tout ça soit organisé avec moi au départ. Puis, voulant les laisser seuls, je leur dis que je suis fatigué, même s’il n’est que 21 heures, que je vais me coucher. Karim me dit bonsoir avec un grand sourire aux lèvres, Nadia me dit bonsoir aussi. J’en oublie de dire à Karim que je lui ai préparé un lit dans la chambre d’amis. Après m’être mis au lit, je me mets à gamberger, en me disant que je suis en train de faire une très grosse connerie, j’ai l’impression de ne plus arriver à réfléchir, je perds un peu la tête. Au bout d’un quart d’heure, je me relève et je reviens doucement vers le salon, pieds nus, le cœur battant, espérant que Karim n’arrive pas à ses fins. Bien sûr, la porte est poussée, et par l’entrebâillement je vois Karim en jean, torse nu, et ma femme déjà à califourchon sur ses genoux, elle n’a plus sa jupe. Il lui caresse les cuisses en lui souriant, il regarde son tee-shirt au niveau de ses seins, et tout d’un coup elle enlève son tee-shirt, il se retrouve avec ses deux seins dans le soutien-gorge sous ses yeux, il crie « putain, t’es bonne !! » il lui arrache presque son soutien-gorge et saisit un sein dans une main et se met à lécher l’autre sein, à le dévorer presque, puis il passe sur l’autre sein, il est vraiment en rut. Après quelques minutes, il dit « j’en peux plus, y’a ma grosse queue qui me fait mal ! » et il l’attrape par la taille, la couche sur le canapé, lui écarte les cuisses, relève sa jupe et lui vire sa culotte, le tout en quelques secondes, et il plonge sa tête entre ses cuisses et il sort sa langue et se met à lui lécher la chatte. En même temps, elle se met à se malaxer ses gros seins et lui, pour ne pas manquer ce spectacle, lève les yeux sur ses seins tout en lui broutant le minou. C’est à ce moment-là qu’il m’aperçoit dans l’entrebâillement de la porte ; il continue alors à lui laper la chatte, tout en posant ses yeux alternativement sur ses deux seins qu’elle caresse, et sur moi. Quand il me regarde, je le vois sourire. A un moment, ma femme gémit « il ne faut pas faire trop de bruit pour pas réveiller mon mari… » Et là ça fait franchement rigoler Karim, il lui dit « t’inquiète pas, ma belle » en me regardant et il se remet à lui bouffer la chatte comme un affamé, en lui malaxant les cuisses et les fesses.
Tout d’un coup, il arrête de la lécher, il se met à genoux sur le canapé, entre les cuisses de ma femme, et il commence à ouvrir son jean qui dissimule mal une énorme bosse sous la toile tendue à craquer ; Nadia pousse un petit gémissement, devinant ce qu’il va lui arriver. Karim sort une bite monstrueuse, il regarde ma femme dans les yeux, il me regarde ; elle n’a toujours pas compris que je suis derrière elle. Il s’installe bien entre ses cuisses, prend sa grosse queue dans sa main et la pose entre les lèvres de la chatte de ma femme ; puis il commence à la pénétrer, assez fermement, pendant qu’elle se remet à gémir, sentant ce gourdin qui lui entre dans le vagin. Il lui dit « elle est bonne, ta chatte, salope », et il relève de nouveau la tête pour me regarder en souriant. Il a l’air très fier de lui, ce jeune salaud, et il continue à la limer, en donnant de grands coups de reins entre ses cuisses. Il se couche sur elle, je vois son cul qui monte et qui descend. Il a un visage très concentré, il la pilonne, il fait son boulot de queutard qui lime une chatte de femme mariée. Puis il se met à pilonner plus vite, il accélère le rythme, ma femme se met à haleter, et là il ralentit le mouvement, recommence à donner de grands coups de queue au fond de son vagin, il regarde ses seins, lui caresse les hanches et les cuisses, lui roule une pelle, lui lèche le cou, tout en continuant à