Le blog de Katiatrav26
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lailatvx - le 27/10/2010 à 09h01
belle queue, je lui aurais bien présenté mon cul, mais as t'il joui ?
très belle viséo, dommage que j'ai pas vue, l'ejaculationTamia - le 27/10/2010 à 09h02
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lailatvx - le 27/10/2010 à 09h03
A QUATRE PATTES
A quatre pattes, j’avance vers toi, me fais chatte partant en chasse, te regarde d'en bas. Mes yeux dans tes yeux. Envieuse. Amoureuse.
A quatre pattes, je me traîne tout en bas, en bas de toi. Animale, je cambre ma croupe, passe ma tête entre tes cuisses, y observe les stalactites, tends ma langue vers les sommets.
A quatre pattes, je lèche tes pieds, dessine des arabesques le long de tes mollets, j’escalade, m'agrippe... à toi. Mes mains sur tes cuisses, devant, derrière ; mes mains sur tes fesses ; mes mains qui caressent, pincent, pétrissent.
A genoux, je m'agrippe à toi. J’enfouis ma langue dans le nombril de ton monde. Je cogne mon nez à ton clito dressé !
Tu me dis alors : « A genoux, baisse la tête, salue-moi ! Fais ta prière mains jointes autour de toi ! Fais-moi rouler sous tes doigts. Pose-moi sur tes papilles. Baise mon sexe de haut en bas. Suis la direction donnée à l'aiguille de ma boussole: escalade encore. Accroche-toi à mon pic, ne le lâche pas. Debout. Chatouille mes joues sur ton torse. Agace mes tétons entre tes dents, passe ton menton à la douceur de mes épaules. Respire mon cou, mordille le lobe de mon oreille. Debout, prends mon visage entre tes mains, plonge ton regard dans le mien, approche-toi ! ».
Debout, je frôle de la bouche la commissure de tes lèvres. Je frotte mes lèvres aux tiennes. Je n'en finis pas. Debout, je passe ma langue à la recherche de la tienne. Je ferme les yeux. Je lape, happe ta bouche, aspire, mordille tes lèvres. « Laila, lèche-moi, goûte-moi, tète, avale mon souffle, mêle et emmêle nos langues dans un interminable baiser ! ».
A quatre pattes, j’avance vers toi, me fais chatte partant en chasse, te regarde d'en bas. Mes yeux dans tes yeux. Envieuse. Amoureuse.
A quatre pattes, je me traîne tout en bas, en bas de toi. Animale, je cambre ma croupe, passe ma tête entre tes cuisses, y observe les stalactites, tends ma langue vers les sommets.
A quatre pattes, je lèche tes pieds, dessine des arabesques le long de tes mollets, j’escalade, m'agrippe... à toi. Mes mains sur tes cuisses, devant, derrière ; mes mains sur tes fesses ; mes mains qui caressent, pincent, pétrissent.
A genoux, je m'agrippe à toi. J’enfouis ma langue dans le nombril de ton monde. Je cogne mon nez à ton clito dressé !
Tu me dis alors : « A genoux, baisse la tête, salue-moi ! Fais ta prière mains jointes autour de toi ! Fais-moi rouler sous tes doigts. Pose-moi sur tes papilles. Baise mon sexe de haut en bas. Suis la direction donnée à l'aiguille de ma boussole: escalade encore. Accroche-toi à mon pic, ne le lâche pas. Debout. Chatouille mes joues sur ton torse. Agace mes tétons entre tes dents, passe ton menton à la douceur de mes épaules. Respire mon cou, mordille le lobe de mon oreille. Debout, prends mon visage entre tes mains, plonge ton regard dans le mien, approche-toi ! ».
Debout, je frôle de la bouche la commissure de tes lèvres. Je frotte mes lèvres aux tiennes. Je n'en finis pas. Debout, je passe ma langue à la recherche de la tienne. Je ferme les yeux. Je lape, happe ta bouche, aspire, mordille tes lèvres. « Laila, lèche-moi, goûte-moi, tète, avale mon souffle, mêle et emmêle nos langues dans un interminable baiser ! ».
lailatvx - le 27/10/2010 à 09h07
Les animaux connaissent bien le bruit
Mais pas le son
La foule connaît bien le son
Mais pas la musique
Seul un esprit noble
Est capable
De comprendre la musique
(Proverbe chinois)
Mais pas le son
La foule connaît bien le son
Mais pas la musique
Seul un esprit noble
Est capable
De comprendre la musique
(Proverbe chinois)
lailatvx - le 27/10/2010 à 09h08
J’avais 17 ans, j’étais interne dans un lycée à Rabat (Maroc), « il » m’avait fait découvrir une partie de moi que je ne connaissais pas. Parfois, j’assumais des permanences de nuit et de Week-end
comme aide surveillant général d’internat.
Un surveillant nouvellement affecté, 50 ans, bien bâti et sportif, s’était vu confier la responsabilité de la surveillance du pavillon où je dormais. Il était directif et assez tranchant. D’autre part, il s’intéressait à ce que je faisais, a mes cours, au fait que j’occupais mon temps à apprendre, à découvrir ce qui m’entourait. Nous parlions de plus en plus, de chose et d’autre. Il me demanda un jour si mon envie d’apprendre se limitait à des domaines intellectuels, je lui répondis, c’est sur, avec mon physique, je ne risque pas de faire haltérophilie. Ca l’a fait rire de bon cœur. Et il me dit «il n’y a pas que cela, tu fais du sport ? ». Je lui répondis que oui. Assez vite, il s’est fait assez proche Au bout de quelques semaines, nos rapports étaient devenus très fluides, il était devenu très sympathique. Un soir, il était différent qu’a l’habitude, lorsqu’il rentra du tour de garde, je m’en souviens bien, c’était un samedi, il vint derrière moi, me dit « alors ça avance ta formation ? ». Je lui répondis, « ça avance, ça avance ». Et il me dit, « il va falloir que je te forme à d’autres choses, plus physique, tu vas te ramollir à rester assis tout le temps et plongé dans tes cours ». Il faisait chaud, il alla s’asseoir en face de moi, sur une banquette que nous avions. Il s’était mis en short. Je lui répondis « Ah quoi tu veux me former ? ». Il répondit «On va voir, On va voir». De son cartable, il sortit des revus pornos et les posa devant lui, sur la table. Moi j’avais rougi. Sa voix se fit plus posée, plus amicale. Je me levais et allais m’installer dans le fauteuil et feuillette les Pages. Les images qui défilaient sous mes yeux ajoutaient à la chaleur la tension. Des femmes nues dans plusieurs positions. Je finis de feuilleter, je repose la revue. Je n’ose en prendre une autre. Je crois qu’il le comprend. Il se penche sur la table et en prend une bien précise et me la tend. C’est une revue en Allemand. Dans celle-ci, Il y avait comme une histoire, très diversifiée. Un strip-tease. A mesure des pages, des femmes, des couples, des hommes étaient de plus en plus nus. Puis un homme, le sexe imposant et dressé. La page d’après, une femme était prise en levrette par l’homme de la page d’avant. A la page d’après, un 2éme homme est dans la bouche de la femme, elle était en sandwich. La page suivante fut pour moi d’une très grande surprise, l’homme qui était dans la bouche de la femme y était resté, l’autre au sexe imposant, était derrière l’homme, le sexe tendu, dirigé vers les fesses de celui qui se faisait faire une pipe, je tourne la page. Et là, l’homme toujours dans la bouche de la femme est en train de se faire enculer par l’étalon. J’étais subjugué par la scène. Je finis par tourner la page et là, la totalité du zob avait disparu dans le cul de celui qui se faisait sucer, l’angle de la photo ne laisse pas de doute sur la totale pénétration. C’est la première fois que je voyais une scène pareille, je la regardais avec insistance. Je me demandais comment, un tel sexe pouvait être englouti par un passage aussi étroit. Le surveillant général se leva et passa derrière moi. Une de ses mains se posa sur mon épaule. Regardant la page ouverte, il me demanda si j’aimais. Je ne répondis rien, rouge d’excitation et de honte. Il me dit « drôle, Non ». Je lui dis «c’est truqué, c’est pas possible ». Il me répondit « tu crois, moi je sais que c’est tout à fait faisable ». J’ai très chaud, je ne réponds rien. Je demande si je peux aller prendre une douche. Il me dit, «Bien sûr, il fait tellement chaud». Sans attendre je me dirige vers les douches. C’est une pièce ou il y a trois douches individuelles sans porte. Je me déshabille, allume l’eau et me mets dessous. L’eau me fait du bien. J’ai très chaud et je bande irrésistiblement. J’entends la porte s’ouvrir, je ne me retourne pas. Il me dit, moi aussi j’ai chaud. Il se déshabille, je tourne doucement mais irrésistiblement la tête, sa bite est conséquente. Il me regarde, ne se détourne pas, et entre dans la douche d’a côté. Je ne l’entends plus, mis à part l’eau qui coule. Je reste comme cela un moment, je me savonne, avec une envie incroyable de baiser. Je me sens épié mais je ne me retourne pas, je reste à la vision de sa bite. Puis; j’ai senti deux mains se poser sur mos dos. Et j’entends, « je vais t’aider » il me frotte le dos, je sursaute. Je le sens de plus en plus près, il me caresse le dos de plus en plus, de haut en bas. Je sens une de ses mains quitter mon dos et passer jusqu’à mon ventre, elle descend et me prend la bite. La sienne effleure mon cul. Je suis statufié, je ne bouge pas d’un pouce, je ne sais pas ce qu’il va m’arriver. De l’autre main, il prend mon poignet gauche et le tire derrière moi. Il me fait prendre son sexe, plus gros et plus long que le mien. Je le branle. Je le sens se durcir totalement, je ne sais plus quoi faire… tout se bouscule dans ma têtes, j’arrête de le branler, il me serre de près. Sa queue touche régulièrement mes fesses. Il soulève mes bras au dessus de ma tête et me les fait poser contre le mur qui est devant moi. J’essaie mollement de bouger, je ne pense plus, je ne sais rien à ce qui est en train de se passer. J’ai tout juste 17 ans. Il se frotte contre moi, je sens son zob glisser plus bas entre mes fesses. J’essaie de me dégager, impossible. Il me serre de plus près, je ne peux plus faire de mouvement. Il me dit « arrête de bouger ». Le ton est tranchant. Il dépose quelque chose de gras entre mes fesses et sur sa bite. Il recule légèrement, sa bite s’insinue ente mes fesses, il pousse en me tenant par le ventre et m’empêche d’avancer ou de me dégager. Dans l’agitation et avec cette cambrure, il trouve son ouverture, je le sens me forer, mon entrée finit par céder, je ressens une grande douleur. Sous une plus forte poussée, sa bite glissa en s’enfonçant en moi. La douleur me plie en 2, il en profite pour m’enculer un peu plus. J’ai très mal, j’ai peur et je me mets à pleurer. Sans m’entendre ni lâcher la pression, il continue à me prendre, je le sens respirer de plus en plus fort, et s’enfoncer de plus en plus en moi. Chaque mouvement de sa part me déflore un peu plus. Il me dit sans arrêt « T’aimes ça » J’ai l’impression que ça dure longtemps. Je le sens profondément en moi. Il me fait mal, mais ne ralentit pas. A chaque coup de boutoir je me sens défoncé un peu plus, mon cul est en feu. Avec une voix de dominateur, il me dit «tu vois que c’est possible de se faire enculer par une grosse queue ». Je sens son ventre claquer contre mes fesses. La douleur est violente. Puis il est secoué de soubresauts. Je me demande ce qui arrive, C’est ma fête, au mauvais sens du terme. Il finit par arrêter, reste comme ça planté au fond de moi, sans bouger. Je me sens pendu sur ce pieu, mes pieds touchant à peine par terre. Finalement, il me quitte aussi brutalement qu’il est entré et disparaît. Mes jambes ne me portent plus, je tombe. Je me sens écartelé. Je continue à pleurer sous la douche.
Je me lave et comprends pourquoi il s’est secoué de la sorte, son liquide quitte mon corps. Je n’ose pas revenir dans la pièce de garde. Au bout d’un très long moment, il faut bien que j’y retourne. Il est là habillé, il ne me regarde pas, il a l’air très gêné. Je ne dis rien. Je vais dans un coin de la pièce sans rien dire. Je ne pense qu’a ce qui vient d’arriver, je ne me suis pas débattu, je suis resté passif. La journée suivante s’écoule difficilement. Nous ne nous parlons pas. 2 nuits plus tard, je rêve de ce qui s’est passé. Ca me perturbe beaucoup, il me fait peur ce rêve, je l’ai ressenti comme un fantasme, je pense sans arrêt à ce qui s’est passé et qu’il recommence. Le Week-end d’après, il fait très chaud, les livres sont là. Je n’y touche pas, je lui dis que je vais prendre une douche. Il me dit OK. En entrant sous la douche, je me mets à bander et ne pense qu’à ce qui s’est produit la semaine précédente. Je me sens angoissé, palpitant, très inquiet, je ne sais plus ou j’en suis. 5 minutes plus tard, je l’entends qui pousse la porte. Il me dit « j’ai aussi envie de prendre une douche ». Je ne bouge pas, Il enlève son vêtement devant moi. Mon regard croise cette bite dressée et ambitieuse. Il laisse tomber son vêtement par terre. Rouge de honte, je retourne sous l’eau. Je ferme les yeux. J’entends l’eau de l’autre douche se mettre à couler. Je reste là, comme sculpté, je me disais qu’il fallait que je parte, je ne l’ai pas fait. Un moment se passe. Je sens une caresse sur mes reins, je sursaute en restant face au mur, celle-ci descend. Cette fois je réussis à dire « pas ça, pas ça » mais au lieu de me retourner et partir, je reste là comme un idiot. Il me met les 2 mains à plat sur le mur. J’étais très perturbé. Il me prend par la taille et se frotte contre moi. Il se penche vers moi et me dit très convaincu « c’est ça que tu veux ? ». Il se frotte de plus en plus, je sens sa queue contre mes fesses. Je lui réponds « pas ça, pas ça ». Il me serre contre lui. Je sens sa bite, dressée, conquérante et très grasse. Il la place entre mes fesses, je lui dis « non ». Il appuie plus et commence ses mouvements Mon entrée cède doucement et il entre. Il me lime en longs mouvements, il me possède. Son membre imposant prend possessi
Un surveillant nouvellement affecté, 50 ans, bien bâti et sportif, s’était vu confier la responsabilité de la surveillance du pavillon où je dormais. Il était directif et assez tranchant. D’autre part, il s’intéressait à ce que je faisais, a mes cours, au fait que j’occupais mon temps à apprendre, à découvrir ce qui m’entourait. Nous parlions de plus en plus, de chose et d’autre. Il me demanda un jour si mon envie d’apprendre se limitait à des domaines intellectuels, je lui répondis, c’est sur, avec mon physique, je ne risque pas de faire haltérophilie. Ca l’a fait rire de bon cœur. Et il me dit «il n’y a pas que cela, tu fais du sport ? ». Je lui répondis que oui. Assez vite, il s’est fait assez proche Au bout de quelques semaines, nos rapports étaient devenus très fluides, il était devenu très sympathique. Un soir, il était différent qu’a l’habitude, lorsqu’il rentra du tour de garde, je m’en souviens bien, c’était un samedi, il vint derrière moi, me dit « alors ça avance ta formation ? ». Je lui répondis, « ça avance, ça avance ». Et il me dit, « il va falloir que je te forme à d’autres choses, plus physique, tu vas te ramollir à rester assis tout le temps et plongé dans tes cours ». Il faisait chaud, il alla s’asseoir en face de moi, sur une banquette que nous avions. Il s’était mis en short. Je lui répondis « Ah quoi tu veux me former ? ». Il répondit «On va voir, On va voir». De son cartable, il sortit des revus pornos et les posa devant lui, sur la table. Moi j’avais rougi. Sa voix se fit plus posée, plus amicale. Je me levais et allais m’installer dans le fauteuil et feuillette les Pages. Les images qui défilaient sous mes yeux ajoutaient à la chaleur la tension. Des femmes nues dans plusieurs positions. Je finis de feuilleter, je repose la revue. Je n’ose en prendre une autre. Je crois qu’il le comprend. Il se penche sur la table et en prend une bien précise et me la tend. C’est une revue en Allemand. Dans celle-ci, Il y avait comme une histoire, très diversifiée. Un strip-tease. A mesure des pages, des femmes, des couples, des hommes étaient de plus en plus nus. Puis un homme, le sexe imposant et dressé. La page d’après, une femme était prise en levrette par l’homme de la page d’avant. A la page d’après, un 2éme homme est dans la bouche de la femme, elle était en sandwich. La page suivante fut pour moi d’une très grande surprise, l’homme qui était dans la bouche de la femme y était resté, l’autre au sexe imposant, était derrière l’homme, le sexe tendu, dirigé vers les fesses de celui qui se faisait faire une pipe, je tourne la page. Et là, l’homme toujours dans la bouche de la femme est en train de se faire enculer par l’étalon. J’étais subjugué par la scène. Je finis par tourner la page et là, la totalité du zob avait disparu dans le cul de celui qui se faisait sucer, l’angle de la photo ne laisse pas de doute sur la totale pénétration. C’est la première fois que je voyais une scène pareille, je la regardais avec insistance. Je me demandais comment, un tel sexe pouvait être englouti par un passage aussi étroit. Le surveillant général se leva et passa derrière moi. Une de ses mains se posa sur mon épaule. Regardant la page ouverte, il me demanda si j’aimais. Je ne répondis rien, rouge d’excitation et de honte. Il me dit « drôle, Non ». Je lui dis «c’est truqué, c’est pas possible ». Il me répondit « tu crois, moi je sais que c’est tout à fait faisable ». J’ai très chaud, je ne réponds rien. Je demande si je peux aller prendre une douche. Il me dit, «Bien sûr, il fait tellement chaud». Sans attendre je me dirige vers les douches. C’est une pièce ou il y a trois douches individuelles sans porte. Je me déshabille, allume l’eau et me mets dessous. L’eau me fait du bien. J’ai très chaud et je bande irrésistiblement. J’entends la porte s’ouvrir, je ne me retourne pas. Il me dit, moi aussi j’ai chaud. Il se déshabille, je tourne doucement mais irrésistiblement la tête, sa bite est conséquente. Il me regarde, ne se détourne pas, et entre dans la douche d’a côté. Je ne l’entends plus, mis à part l’eau qui coule. Je reste comme cela un moment, je me savonne, avec une envie incroyable de baiser. Je me sens épié mais je ne me retourne pas, je reste à la vision de sa bite. Puis; j’ai senti deux mains se poser sur mos dos. Et j’entends, « je vais t’aider » il me frotte le dos, je sursaute. Je le sens de plus en plus près, il me caresse le dos de plus en plus, de haut en bas. Je sens une de ses mains quitter mon dos et passer jusqu’à mon ventre, elle descend et me prend la bite. La sienne effleure mon cul. Je suis statufié, je ne bouge pas d’un pouce, je ne sais pas ce qu’il va m’arriver. De l’autre main, il prend mon poignet gauche et le tire derrière moi. Il me fait prendre son sexe, plus gros et plus long que le mien. Je le branle. Je le sens se durcir totalement, je ne sais plus quoi faire… tout se bouscule dans ma têtes, j’arrête de le branler, il me serre de près. Sa queue touche régulièrement mes fesses. Il soulève mes bras au dessus de ma tête et me les fait poser contre le mur qui est devant moi. J’essaie mollement de bouger, je ne pense plus, je ne sais rien à ce qui est en train de se passer. J’ai tout juste 17 ans. Il se frotte contre moi, je sens son zob glisser plus bas entre mes fesses. J’essaie de me dégager, impossible. Il me serre de plus près, je ne peux plus faire de mouvement. Il me dit « arrête de bouger ». Le ton est tranchant. Il dépose quelque chose de gras entre mes fesses et sur sa bite. Il recule légèrement, sa bite s’insinue ente mes fesses, il pousse en me tenant par le ventre et m’empêche d’avancer ou de me dégager. Dans l’agitation et avec cette cambrure, il trouve son ouverture, je le sens me forer, mon entrée finit par céder, je ressens une grande douleur. Sous une plus forte poussée, sa bite glissa en s’enfonçant en moi. La douleur me plie en 2, il en profite pour m’enculer un peu plus. J’ai très mal, j’ai peur et je me mets à pleurer. Sans m’entendre ni lâcher la pression, il continue à me prendre, je le sens respirer de plus en plus fort, et s’enfoncer de plus en plus en moi. Chaque mouvement de sa part me déflore un peu plus. Il me dit sans arrêt « T’aimes ça » J’ai l’impression que ça dure longtemps. Je le sens profondément en moi. Il me fait mal, mais ne ralentit pas. A chaque coup de boutoir je me sens défoncé un peu plus, mon cul est en feu. Avec une voix de dominateur, il me dit «tu vois que c’est possible de se faire enculer par une grosse queue ». Je sens son ventre claquer contre mes fesses. La douleur est violente. Puis il est secoué de soubresauts. Je me demande ce qui arrive, C’est ma fête, au mauvais sens du terme. Il finit par arrêter, reste comme ça planté au fond de moi, sans bouger. Je me sens pendu sur ce pieu, mes pieds touchant à peine par terre. Finalement, il me quitte aussi brutalement qu’il est entré et disparaît. Mes jambes ne me portent plus, je tombe. Je me sens écartelé. Je continue à pleurer sous la douche.
Je me lave et comprends pourquoi il s’est secoué de la sorte, son liquide quitte mon corps. Je n’ose pas revenir dans la pièce de garde. Au bout d’un très long moment, il faut bien que j’y retourne. Il est là habillé, il ne me regarde pas, il a l’air très gêné. Je ne dis rien. Je vais dans un coin de la pièce sans rien dire. Je ne pense qu’a ce qui vient d’arriver, je ne me suis pas débattu, je suis resté passif. La journée suivante s’écoule difficilement. Nous ne nous parlons pas. 2 nuits plus tard, je rêve de ce qui s’est passé. Ca me perturbe beaucoup, il me fait peur ce rêve, je l’ai ressenti comme un fantasme, je pense sans arrêt à ce qui s’est passé et qu’il recommence. Le Week-end d’après, il fait très chaud, les livres sont là. Je n’y touche pas, je lui dis que je vais prendre une douche. Il me dit OK. En entrant sous la douche, je me mets à bander et ne pense qu’à ce qui s’est produit la semaine précédente. Je me sens angoissé, palpitant, très inquiet, je ne sais plus ou j’en suis. 5 minutes plus tard, je l’entends qui pousse la porte. Il me dit « j’ai aussi envie de prendre une douche ». Je ne bouge pas, Il enlève son vêtement devant moi. Mon regard croise cette bite dressée et ambitieuse. Il laisse tomber son vêtement par terre. Rouge de honte, je retourne sous l’eau. Je ferme les yeux. J’entends l’eau de l’autre douche se mettre à couler. Je reste là, comme sculpté, je me disais qu’il fallait que je parte, je ne l’ai pas fait. Un moment se passe. Je sens une caresse sur mes reins, je sursaute en restant face au mur, celle-ci descend. Cette fois je réussis à dire « pas ça, pas ça » mais au lieu de me retourner et partir, je reste là comme un idiot. Il me met les 2 mains à plat sur le mur. J’étais très perturbé. Il me prend par la taille et se frotte contre moi. Il se penche vers moi et me dit très convaincu « c’est ça que tu veux ? ». Il se frotte de plus en plus, je sens sa queue contre mes fesses. Je lui réponds « pas ça, pas ça ». Il me serre contre lui. Je sens sa bite, dressée, conquérante et très grasse. Il la place entre mes fesses, je lui dis « non ». Il appuie plus et commence ses mouvements Mon entrée cède doucement et il entre. Il me lime en longs mouvements, il me possède. Son membre imposant prend possessi
lailatvx - le 27/10/2010 à 09h10
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lailatvx - le 27/10/2010 à 11h36
Totalement soumise à mon Maître black depuis près de 6 mois, celui-ci me convoque 2 à 3 fois par semaine pour parfaire mon dressage ; lorsque j'ai répondu à son annonce, je voulais satisfaire un
fantasme entretenu dès que j'ai commencé à m'habiller en femme... quand il m'a appelée quelques jours plus tard, il s'est montré de suite si autoritaire et directif que j'acceptais son rendez-vous,
le soir même !!!
A l'heure convenue, je sonnais chez lui et, à genoux sur son paillasson, les mains dans le dos, j'ai attendu qu'il ouvre sa porte...
Quand il est apparu devant moi, j'ai été fascinée par son crâne rasé, son visage sévère et son imposante musculature d'autant qu'il ne portait qu'un slip blanc ! Pendant qu'il accroche à mon cou un collier de chien, il en profite pour frotter son paquet contre mon visage et, c'est à 4 pattes, tirée par une laisse que je le suis jusqu'à son salon.
Avant de s'installer dans son fauteuil, il retrousse ma minijupe sur le dos, pelote mes fesses et me demande le gode que j'avais bricolé (sur son ordre), juste avant de venir. Je sors donc de mon sac un superbe phallus artificiel de couleur noire puis, il me noue un bandeau sur les yeux :
- fais-toi jouir en imaginant que je suis en train de te baiser... Si tu me fais bander, je te prends en main dès ce soir !
Alors, je me remets en mémoire les termes de son annonce « Maître black, 35 ans, TBM, cherche travesti soumise, cérébrale, aimant les mots crus et voulant devenir femme à blacks ».
Alors, je prends le sexe en plastique et, sans la moindre difficulté, je me l'enfonce profondément :
« oh ! Comme c'est bon d'écarter les fesses pour son Maître black ! Vas-y, salaud, baise-moi, tronche-moi, nique-moi ; tu le sais que je suis accro à ton gros zob et que tu peux me demander tout ce que tu veux... Depuis si longtemps, j'avais besoin d'être la femelle d'un noir et qu'il m'apprenne à jouir du cul comme une vraie femme ! Mes fesses, ma bouche, mes mains et mon corps sont à toi ; tu peux en faire ce que tu veux pour toi et, même tes potes si tu le désires...
Touche mes tétons et regarde comme je suis excitée ; jamais, je ne me suis sentie aussi femelle avec un mec... Oh! Je sens tes couilles qui claquent contre mes fesses ; tes couilles pleines de jus... Oui, jouis sur mon visage » Et je remarque que sans avoir eu d'érection, ma petite culotte de dentelles est inondée ; je tremble de partout... J'attends sa réponse...
Il se lève, ôte mon bandeau et m'entraîne dans les toilettes :
- tiens ma bite quand je pisse... Je baisse son slip et je prends en mains son énorme zob turgescent et le dirige vers la cuvette ; pour les dernières gouttes, j'agite lentement afin de ne rien salir et, quand il estime que "le travail est bien fait", il s'essuie dans les boucles de ma perruque !
Il me ramène au salon, me promène dans la pièce et me fait avancer avec des petits coups de laisse sur les fesses ; de temps en temps, il enfonce un peu plus le gode. Il retourne s'asseoir et retire la fine étoffe qui emprisonne son imposante virilité ; il me cale entre ses jambes écartées et commence d'abord par me gifler les joues avec son zob !
Puis, il me prend par le cou et force ma bouche : - allez, connasse, fais ton boulot de suceuse ! Tu veux de la bite noire : tu vas en avoir... Tu veux te faire défoncer : tu te feras défoncer... Par moi, par mes potes, par des inconnus ! Tu deviendras vite mon esclave sexuelle et tu me supplieras à genoux ; tu seras à ma disposition la plus complète... Compris, lopette ?
Je lève les yeux pour lui signifier mon accord d'autant qu'il vient de me faire comprendre qu'il me prend à son service... Alors, je m'applique à sucer et à lécher ce gros sexe noir dont je commençais déjà à être folle...
- Avant que je te fasse l'honneur de te posséder, je vais t'apprendre à être une vraie suceuse ; je crois que tu peux être douée... Passe ta langue mieux que ça, pouffiasse ! Une bite de noir, c'est au moins 25 centimètres : c'est vrai aussi que ça ne se pompe pas comme une petite queue de blanc ! Tu aimes ça, hein, petite blanche vicieuse ? Tu vas adorer te faire défoncer la bouche par des bites noires quand tu seras MA femelle : tu es d'accord, ma pute à nègres ?
Ce dernier qualificatif nous fait exploser tous les 2 en même temps ; il se vide sur mon visage en une douzaine d'éjaculations abondantes... Aussitôt, il prend son Polaroïd et immortalise cette première pipe, avec gros plan sur son sexe et sur les traînées de foutre blanc... Très complice, il me les montre et me dit au passage :
- tu es prête à vivre totalement ce que tu souhaites ?
Le "OUIIIIII " de ma réponse, les yeux dans les yeux, a valeur d'accord définitif... Jusqu'au petit matin, je l'ai pompé encore 5 fois ; copieusement insultée, injuriée, rabaissée, je prenais plaisir à être humiliée de la sorte ; chaque fois qu'il me godait, il m'arrachait mes confidences les plus secrètes, mes aveux les plus hard et ma soumission la plus totale... Il savait que j'allais lui appartenir, que j'accepterai tout de lui, que je serai heureuse de mon rôle de femelle inférieure devant la supériorité de la race noire... En rentrant chez moi, j'avais envie de hurler à chaque passant que j'appartenais à un Maître black et que j'allais, enfin, être la femelle de mes rêves...
Allongée sur le canapé du salon, je rêvassais les yeux fermés ; certaines images sont restées gravées dans ma mémoire, comme un film longtemps attendu... La scène de la première fellation me fait frissonner et je ne peux résister au besoin d'aller chercher un autre gode noir, dans la salle de bains ; au passage, j'en profite pour admirer dans le miroir le visage de cette femme épanouie et heureuse parce qu'elle a fait jouir un homme. La jambe gauche posée sur la baignoire, je m'enfile ce sexe artificiel, surprise q'il puisse entrer aussi facilement malgré la grosseur et la longueur de l'engin ! Je suis sur le point de me laisser aller au plaisir lorsque le téléphone sonne : je refuse de répondre mais l'insistance m'oblige à décrocher, dans un halètement que n'importe quelle personne attentive peut déceler même si je peux prétendre que j'ai couru pour prendre la communication...
- Oui, bonjour ! Silence au bout du fil...
- Oui, bonjour ; je vous écoute !
- Alors, petite salope blanche, contente de ta première nuit d'esclave ?
Le rouge me monte aux joues, je bafouille :
- Oui Maître, merci pour tout... Je voulais vous di...
Il me coupe brutalement et son ton devient plus autoritaire :
- ta gueule, connasse ; je suis certain que tu dois déjà être en train de te goder : avoue, pouffiasse, avoue !
A-t-il envie de faire l'amour par téléphone ?? Après tout, l'idée me séduit :
- oui, Maître ! Encore une fois, vous avez raison... Je suis assise dessus et je pense humblement à Vous, à votre sexe, à la façon dont vous m'avez traitée...
Il éclate de rire :
- eh bien, ça tombe bien parce que je suis en bas de chez toi ! Laisse la porte entr'ouverte et, le temps que je prenne l'ascenseur, change-toi, mets-toi une nuisette et attends-moi dans ton lit !! Ah, j'oubliais : garde le gode...
Docilement, après m'être changée, je me couche vêtue d'un déshabillé rouge des plus sexy ! J'ai beau me dire que je suis folle de me comporter de la sorte mais, en même temps, je suis profondément ravie qu'un homme me prenne en mains ! Je venais à peine de poser un CD de musique classique dans le lecteur qu'il est apparu dans l'encoignure de la porte : son regard est profond, sa chemise ouverte jusqu'au torse ; il portait un jean moulant avec un gros ceinturon et, autour du cou, la laisse qui avait servi à mon initiation. Il me fixe, s'approche de moi et me cingle les fesses avec la lanière en cuir torsadé :
- je t'avais dit de te coucher... J'ai horreur que l'on me désobéisse...
Tête basse et penaude, je me réfugie entre les draps pendant qu'il se déshabille : le salaud, il prend son temps avant de me rejoindre ! Aussitôt, il me tourne sur le côté et empoigne immédiatement le gode et le ressort :
- eh ben, ma salope, gourmande en plus ! Il me claque les fesses et retrousse le déshabillé :
- quel bon cul de pouffiasse ! Il faudra bien le rôder pour en faire un vrai garage à bites noires ! Dis-le, chuchote-le, hurle-le que tu veux cette vie de femelle ! Allez, fais ce que te demande ton Maître... Et, sans la moindre préparation, il me l'enfonce au maximum :
- Oh oui, Maître ! Je suis prête à vivre cette vie d'esclave sexuelle, de me soumettre à un Black autoritaire et vicieux, qui me traitera comme la vraie femelle blanche soumise que je suis... C'est trop bon de donner ma chatte de travesti à un vrai Homme comme vous !
Il se surélève sur les coussins et, m'attrapant par le cou, il frotte son bas-ventre sur mon visage :
- je sais que tu es déjà accro à la bite noire ! Enlève mon slip avec les dents...
Son odeur m'enivre, je suis comme une petite chienne en chaleur, en demande et en manque ; finalement, j'arrive à baisser son slip et, lui, se positionne derrière moi : je palpite, j'ai peur mais je me laisse faire... Il positionne son gland contre l'entrée de ma chatte et, dans un coup de reins puissant, il s'enfonce en moi :
- Voila, tu es une véritable femelle, à présent !!!
Ces simples mots chuchotés à mon oreille résonnaient comme un compliment, comme la certitude d'avoir choisi le bon chemin. Chaque coup de reins me remplit d'adrénaline et, cambrée comme je ne l'ai jamais été, je m'offre à lui sans pudeur ni retenue. Maître black me tient si fort par les hanches que je m
A l'heure convenue, je sonnais chez lui et, à genoux sur son paillasson, les mains dans le dos, j'ai attendu qu'il ouvre sa porte...
Quand il est apparu devant moi, j'ai été fascinée par son crâne rasé, son visage sévère et son imposante musculature d'autant qu'il ne portait qu'un slip blanc ! Pendant qu'il accroche à mon cou un collier de chien, il en profite pour frotter son paquet contre mon visage et, c'est à 4 pattes, tirée par une laisse que je le suis jusqu'à son salon.
Avant de s'installer dans son fauteuil, il retrousse ma minijupe sur le dos, pelote mes fesses et me demande le gode que j'avais bricolé (sur son ordre), juste avant de venir. Je sors donc de mon sac un superbe phallus artificiel de couleur noire puis, il me noue un bandeau sur les yeux :
- fais-toi jouir en imaginant que je suis en train de te baiser... Si tu me fais bander, je te prends en main dès ce soir !
Alors, je me remets en mémoire les termes de son annonce « Maître black, 35 ans, TBM, cherche travesti soumise, cérébrale, aimant les mots crus et voulant devenir femme à blacks ».
Alors, je prends le sexe en plastique et, sans la moindre difficulté, je me l'enfonce profondément :
« oh ! Comme c'est bon d'écarter les fesses pour son Maître black ! Vas-y, salaud, baise-moi, tronche-moi, nique-moi ; tu le sais que je suis accro à ton gros zob et que tu peux me demander tout ce que tu veux... Depuis si longtemps, j'avais besoin d'être la femelle d'un noir et qu'il m'apprenne à jouir du cul comme une vraie femme ! Mes fesses, ma bouche, mes mains et mon corps sont à toi ; tu peux en faire ce que tu veux pour toi et, même tes potes si tu le désires...
Touche mes tétons et regarde comme je suis excitée ; jamais, je ne me suis sentie aussi femelle avec un mec... Oh! Je sens tes couilles qui claquent contre mes fesses ; tes couilles pleines de jus... Oui, jouis sur mon visage » Et je remarque que sans avoir eu d'érection, ma petite culotte de dentelles est inondée ; je tremble de partout... J'attends sa réponse...
Il se lève, ôte mon bandeau et m'entraîne dans les toilettes :
- tiens ma bite quand je pisse... Je baisse son slip et je prends en mains son énorme zob turgescent et le dirige vers la cuvette ; pour les dernières gouttes, j'agite lentement afin de ne rien salir et, quand il estime que "le travail est bien fait", il s'essuie dans les boucles de ma perruque !
Il me ramène au salon, me promène dans la pièce et me fait avancer avec des petits coups de laisse sur les fesses ; de temps en temps, il enfonce un peu plus le gode. Il retourne s'asseoir et retire la fine étoffe qui emprisonne son imposante virilité ; il me cale entre ses jambes écartées et commence d'abord par me gifler les joues avec son zob !
Puis, il me prend par le cou et force ma bouche : - allez, connasse, fais ton boulot de suceuse ! Tu veux de la bite noire : tu vas en avoir... Tu veux te faire défoncer : tu te feras défoncer... Par moi, par mes potes, par des inconnus ! Tu deviendras vite mon esclave sexuelle et tu me supplieras à genoux ; tu seras à ma disposition la plus complète... Compris, lopette ?
Je lève les yeux pour lui signifier mon accord d'autant qu'il vient de me faire comprendre qu'il me prend à son service... Alors, je m'applique à sucer et à lécher ce gros sexe noir dont je commençais déjà à être folle...
- Avant que je te fasse l'honneur de te posséder, je vais t'apprendre à être une vraie suceuse ; je crois que tu peux être douée... Passe ta langue mieux que ça, pouffiasse ! Une bite de noir, c'est au moins 25 centimètres : c'est vrai aussi que ça ne se pompe pas comme une petite queue de blanc ! Tu aimes ça, hein, petite blanche vicieuse ? Tu vas adorer te faire défoncer la bouche par des bites noires quand tu seras MA femelle : tu es d'accord, ma pute à nègres ?
Ce dernier qualificatif nous fait exploser tous les 2 en même temps ; il se vide sur mon visage en une douzaine d'éjaculations abondantes... Aussitôt, il prend son Polaroïd et immortalise cette première pipe, avec gros plan sur son sexe et sur les traînées de foutre blanc... Très complice, il me les montre et me dit au passage :
- tu es prête à vivre totalement ce que tu souhaites ?
Le "OUIIIIII " de ma réponse, les yeux dans les yeux, a valeur d'accord définitif... Jusqu'au petit matin, je l'ai pompé encore 5 fois ; copieusement insultée, injuriée, rabaissée, je prenais plaisir à être humiliée de la sorte ; chaque fois qu'il me godait, il m'arrachait mes confidences les plus secrètes, mes aveux les plus hard et ma soumission la plus totale... Il savait que j'allais lui appartenir, que j'accepterai tout de lui, que je serai heureuse de mon rôle de femelle inférieure devant la supériorité de la race noire... En rentrant chez moi, j'avais envie de hurler à chaque passant que j'appartenais à un Maître black et que j'allais, enfin, être la femelle de mes rêves...
Allongée sur le canapé du salon, je rêvassais les yeux fermés ; certaines images sont restées gravées dans ma mémoire, comme un film longtemps attendu... La scène de la première fellation me fait frissonner et je ne peux résister au besoin d'aller chercher un autre gode noir, dans la salle de bains ; au passage, j'en profite pour admirer dans le miroir le visage de cette femme épanouie et heureuse parce qu'elle a fait jouir un homme. La jambe gauche posée sur la baignoire, je m'enfile ce sexe artificiel, surprise q'il puisse entrer aussi facilement malgré la grosseur et la longueur de l'engin ! Je suis sur le point de me laisser aller au plaisir lorsque le téléphone sonne : je refuse de répondre mais l'insistance m'oblige à décrocher, dans un halètement que n'importe quelle personne attentive peut déceler même si je peux prétendre que j'ai couru pour prendre la communication...
- Oui, bonjour ! Silence au bout du fil...
- Oui, bonjour ; je vous écoute !
- Alors, petite salope blanche, contente de ta première nuit d'esclave ?
Le rouge me monte aux joues, je bafouille :
- Oui Maître, merci pour tout... Je voulais vous di...
Il me coupe brutalement et son ton devient plus autoritaire :
- ta gueule, connasse ; je suis certain que tu dois déjà être en train de te goder : avoue, pouffiasse, avoue !
A-t-il envie de faire l'amour par téléphone ?? Après tout, l'idée me séduit :
- oui, Maître ! Encore une fois, vous avez raison... Je suis assise dessus et je pense humblement à Vous, à votre sexe, à la façon dont vous m'avez traitée...
Il éclate de rire :
- eh bien, ça tombe bien parce que je suis en bas de chez toi ! Laisse la porte entr'ouverte et, le temps que je prenne l'ascenseur, change-toi, mets-toi une nuisette et attends-moi dans ton lit !! Ah, j'oubliais : garde le gode...
Docilement, après m'être changée, je me couche vêtue d'un déshabillé rouge des plus sexy ! J'ai beau me dire que je suis folle de me comporter de la sorte mais, en même temps, je suis profondément ravie qu'un homme me prenne en mains ! Je venais à peine de poser un CD de musique classique dans le lecteur qu'il est apparu dans l'encoignure de la porte : son regard est profond, sa chemise ouverte jusqu'au torse ; il portait un jean moulant avec un gros ceinturon et, autour du cou, la laisse qui avait servi à mon initiation. Il me fixe, s'approche de moi et me cingle les fesses avec la lanière en cuir torsadé :
- je t'avais dit de te coucher... J'ai horreur que l'on me désobéisse...
Tête basse et penaude, je me réfugie entre les draps pendant qu'il se déshabille : le salaud, il prend son temps avant de me rejoindre ! Aussitôt, il me tourne sur le côté et empoigne immédiatement le gode et le ressort :
- eh ben, ma salope, gourmande en plus ! Il me claque les fesses et retrousse le déshabillé :
- quel bon cul de pouffiasse ! Il faudra bien le rôder pour en faire un vrai garage à bites noires ! Dis-le, chuchote-le, hurle-le que tu veux cette vie de femelle ! Allez, fais ce que te demande ton Maître... Et, sans la moindre préparation, il me l'enfonce au maximum :
- Oh oui, Maître ! Je suis prête à vivre cette vie d'esclave sexuelle, de me soumettre à un Black autoritaire et vicieux, qui me traitera comme la vraie femelle blanche soumise que je suis... C'est trop bon de donner ma chatte de travesti à un vrai Homme comme vous !
Il se surélève sur les coussins et, m'attrapant par le cou, il frotte son bas-ventre sur mon visage :
- je sais que tu es déjà accro à la bite noire ! Enlève mon slip avec les dents...
Son odeur m'enivre, je suis comme une petite chienne en chaleur, en demande et en manque ; finalement, j'arrive à baisser son slip et, lui, se positionne derrière moi : je palpite, j'ai peur mais je me laisse faire... Il positionne son gland contre l'entrée de ma chatte et, dans un coup de reins puissant, il s'enfonce en moi :
- Voila, tu es une véritable femelle, à présent !!!
Ces simples mots chuchotés à mon oreille résonnaient comme un compliment, comme la certitude d'avoir choisi le bon chemin. Chaque coup de reins me remplit d'adrénaline et, cambrée comme je ne l'ai jamais été, je m'offre à lui sans pudeur ni retenue. Maître black me tient si fort par les hanches que je m
lailatvx - le 27/10/2010 à 11h40
Cette jeune pouliche
Montée par un noir cavalier
Pousse de petites plaintes
Signe d'une jouissance exaltée.
Montée par un noir cavalier
Pousse de petites plaintes
Signe d'une jouissance exaltée.
colette - le 27/10/2010 à 12h01
vêtu d'un sg, d'un pj, de bas noirs, j'ai connu cette etreinte, j'ai connu cette éjaculation longue, en vague rythmant un orgasme eternel. Sa semence en moi qui, chaude, brûlante me remonte les
entrailles.
eon28 - le 27/10/2010 à 15h52