Le blog de Katiatrav26
de ton avis tres belle
romain57 - le 20/10/2010 à 11h34
Elle tient dans son poignet
Comme un trophée
Le glaive
Qui la soulage.
Comme un trophée
Le glaive
Qui la soulage.
colette - le 20/10/2010 à 11h53
Qu'elle beauté!!!!
Lola - le 20/10/2010 à 12h27
Mignonne tout plein !
Gigi - le 21/10/2010 à 21h08
L’histoire qui suit m’est arrivée à mon 18e anniversaire, j’étais à la campagne dans une région rurale pas loin de Rabat (Maroc).
En me baladant pas très loin, je rencontre Nasser un travailleur qui bosse comme ouvrier agricole chez des voisins pas très loin de chez moi, il vit tout seul environ 8 mois de l’année ici et retrouve sa famille les 4 mois d’hiver, il vit dans une petite baraque perdue dans la campagne, il a à peut prés 40 ans c’est un gars robuste et costaud.
Je lui dis bonjour.
Il me répond : Je voudrais te montrer quelque chose, ce n’est pas ton chat la pauvre bête morte, je l’ai trouvé la.
- non, je n’ai pas de chat monsieur.
Et puis on a commencé à parler il avait fini sa journée, il était tout en sueur, il me propose de boire un coup
je lui dis, c’est pas facile la vie ici, sans rien, pendant tous ces longs mois.
- j’ai fini par prendre l’habitude me dit il
- moi je ne pourrais pas être privé de tout
Et puis tout en discutant sans savoir pourquoi je commençais à imaginer ce bonhomme tout seul sans femme comment faisait-il, il y avait une sorte d’excitation en moi, j’aurai voulu l’aider, je suis un garçon et sans être très efféminé, j’ai un aspect plutôt gentillet entre guillemets, les cheveux longs, un visage assez fin, et je me lance :
- sans femme ici ce doit être dur, vous devez y penser
- et oui des fois ça me chatouille un peu mais pas plus, je suis tout seul et les femmes ici elles aiment les immigrés.
- pourtant vous êtes encore drôlement baraqué. Faudrait en trouver une qui veuille bien d’un homme vigoureux comme vous, vous êtes un vrai colosse viril.
- Malgré ce que tu dis j’ai pas trouvé de femme qui veuille bien de moi, (un temps d’arrêt) mais y pas que les femmes.
La je commençais à me demander mais il fait allusion aux hommes, j’étais à nouveau excité, j’avais besoin d’aller plus loin, je bois encore une gorgée de thé tellement j’avais la gorge sèche.
- vous voulez dire qu’avec une femme ou un homme c’est pareil
- pour moi c’est mieux la femme, mais si y pas de femme on prend ce qui reste, des fois des jeunes garçons y sont un peu comme les femmes.
C’est fou, je commençais à me trouver tout chose, et en plus en le regardant continuer à parler tout en se levant il m’a semblé qu’il bandait, puis il me dit si tu n’es pas pressé je vais me laver un peu parce que j’ai beaucoup transpiré et après on discute encore un peu ça me fait plaisir de parler avec toi.
(Moi de plus en plus bizarre dans cette situation équivoque)
- oui je suis pas pressé allez y je vous attends la dehors.
Je me faisais tout un cinéma dans ma tête, j’étais en train sans m’en rendre compte d’aguicher un gars que je connaissais à peine,
J’entendais l’eau couler, je regardais un peu autour de moi, nul doute j’étais excité par cet homme, qu’allait il se passer ?
Puis quelques instants plus tard en me retournant je l’aperçois furtivement il est nu le temps de prendre ses affaires, j’ai eu le temps de voir en une seconde son sexe au repos, une grosse bite pendante, j’ai tout de suite imaginé cette même queue en érection en me disant c’est pas possible, à part un cheval je vois pas autre chose.
Le temps d’enfiler son pantalon il finit par arriver torse nu.
Ça fait du bien me dit il
Il doit me sentir bizarre, parce que je le suis, il est vraiment baraqué, si j’étais une femme il m’exciterait, je n’en suis pas une mais la, je ressens ce qu’une femme pourrait ressentir.
Mon allure est plutôt fluette avec mes cheveux, je dois plus lui faire penser à une femme plutôt qu’à un homme.
Puis la conversation reprend.
- c’est gentil que tu me parles, moi je ne parle pas souvent aux gens d’ici
- mais ça me fait plaisir de parler avec vous, je suis content d’être la, pour vous faire passer un moment, je vous trouve vraiment sympathique et en plus qu’est ce que vous êtes costaud, (je fais le geste)
- j’ai beaucoup de force, j’ai toujours de la force
- moi j’aime les hommes musclés
Il se lève et fait quelques mouvements comme en ferait un culturiste.
Je regarde à hauteur de son sexe en imaginant ce que j’ai aperçu tout à l’heure, je fais mine de pas trop insister, mais apparemment son regard sur moi commence à changer, il sourit tout en me montrant ses biceps.
- moi par contre je n’ai pas de muscle, je ressemble plus à une fille,
- si tu ressembles à une fille, tu fais aussi la fille
La un cap est franchi, je me sens comme une femelle en rut, j’ai vraiment envie maintenant de voir si je peux faire bander ce colosse.
Je me lance, et lui dis avec un petit sourire :
- quelque fois, quand l’homme est comme vous très fort ça m’excite, est ce que je vous fais bander ?
- Bien sur, tu me fais bander, j’aime ton petit corps, toi tu veux que je te montre ma queue
- Oui j’aimerais bien la sucer
Il me fait signe de rentrer dans sa petite baraque, une petite pièce, avec un lit une table, un lavabo sans robinet.
Une fois dedans je commence à me dandiner à tourner du cul devant lui, il commence tout en me regardant dans les yeux à dégrafer son pantalon, de mon coté, je sors ma langue pour lui montrer que je suis impatient de voir sa grosse bite, et d’un seul coup, son sexe apparaît pas totalement en érection mais à sa vue, je reste sans voix.
- ça te plait ma bite
- je n’en ai jamais vu d’aussi grosse, la mienne est beaucoup plus petite
Il me fait signe avec sa main gauche de m’approcher pendant que sa main droite décalotte lentement cette bite de cheval, son gros gland me fait craquer, j’en tremble presque, il me caresse les cheveux et appuie légèrement sur ma tête pour me faire comprendre que je dois m’agenouiller, je suis hypnotisé par ce sexe énorme qui est maintenant totalement en érection, je regarde encore un instant ce sexe prodigieux, lui il sourit en me voyant si impressionné, je commence à l’engouffrer dans ma bouche, et je suce, tout en branlant à deux mains ce gourdin,
- c’est bon suce mon petit, me dit il, après je vais te mettre ça dans ton petit cul, tu vas jouir, vas y encore, c’est bon,
maintenant déshabille toi, enlève ton pantalon.
Je m’exécute aussitôt
- Laisse moi admirer cette queue encore un instant après tu pourras m’enculer
- Oui je vais te la mettre toute entière, tu vas crier de plaisir c’est sur, tous les jeunes garçons que j’ai déjà enculés criaient de joie.
Il commence à me prendre le cul mettant beaucoup de salive sur mon anus, et puis son pieu commence à me pénétrer tout doucement, lentement. Puis enfin je poussais des cris rauques, enroués. Sa bite était en moi mais pas entièrement. Elle ne pouvait pas aller plus loin !
- Je vais te défoncer mon joli, tu ne vas pas le croire.
C’était bon, on a continué comme ça jusqu’à ce qu’il décharge violemment en moi, j’étais aux anges et lui aussi.
Voila, Nasser m’a fait vivre une sacrée expérience !
En me baladant pas très loin, je rencontre Nasser un travailleur qui bosse comme ouvrier agricole chez des voisins pas très loin de chez moi, il vit tout seul environ 8 mois de l’année ici et retrouve sa famille les 4 mois d’hiver, il vit dans une petite baraque perdue dans la campagne, il a à peut prés 40 ans c’est un gars robuste et costaud.
Je lui dis bonjour.
Il me répond : Je voudrais te montrer quelque chose, ce n’est pas ton chat la pauvre bête morte, je l’ai trouvé la.
- non, je n’ai pas de chat monsieur.
Et puis on a commencé à parler il avait fini sa journée, il était tout en sueur, il me propose de boire un coup
je lui dis, c’est pas facile la vie ici, sans rien, pendant tous ces longs mois.
- j’ai fini par prendre l’habitude me dit il
- moi je ne pourrais pas être privé de tout
Et puis tout en discutant sans savoir pourquoi je commençais à imaginer ce bonhomme tout seul sans femme comment faisait-il, il y avait une sorte d’excitation en moi, j’aurai voulu l’aider, je suis un garçon et sans être très efféminé, j’ai un aspect plutôt gentillet entre guillemets, les cheveux longs, un visage assez fin, et je me lance :
- sans femme ici ce doit être dur, vous devez y penser
- et oui des fois ça me chatouille un peu mais pas plus, je suis tout seul et les femmes ici elles aiment les immigrés.
- pourtant vous êtes encore drôlement baraqué. Faudrait en trouver une qui veuille bien d’un homme vigoureux comme vous, vous êtes un vrai colosse viril.
- Malgré ce que tu dis j’ai pas trouvé de femme qui veuille bien de moi, (un temps d’arrêt) mais y pas que les femmes.
La je commençais à me demander mais il fait allusion aux hommes, j’étais à nouveau excité, j’avais besoin d’aller plus loin, je bois encore une gorgée de thé tellement j’avais la gorge sèche.
- vous voulez dire qu’avec une femme ou un homme c’est pareil
- pour moi c’est mieux la femme, mais si y pas de femme on prend ce qui reste, des fois des jeunes garçons y sont un peu comme les femmes.
C’est fou, je commençais à me trouver tout chose, et en plus en le regardant continuer à parler tout en se levant il m’a semblé qu’il bandait, puis il me dit si tu n’es pas pressé je vais me laver un peu parce que j’ai beaucoup transpiré et après on discute encore un peu ça me fait plaisir de parler avec toi.
(Moi de plus en plus bizarre dans cette situation équivoque)
- oui je suis pas pressé allez y je vous attends la dehors.
Je me faisais tout un cinéma dans ma tête, j’étais en train sans m’en rendre compte d’aguicher un gars que je connaissais à peine,
J’entendais l’eau couler, je regardais un peu autour de moi, nul doute j’étais excité par cet homme, qu’allait il se passer ?
Puis quelques instants plus tard en me retournant je l’aperçois furtivement il est nu le temps de prendre ses affaires, j’ai eu le temps de voir en une seconde son sexe au repos, une grosse bite pendante, j’ai tout de suite imaginé cette même queue en érection en me disant c’est pas possible, à part un cheval je vois pas autre chose.
Le temps d’enfiler son pantalon il finit par arriver torse nu.
Ça fait du bien me dit il
Il doit me sentir bizarre, parce que je le suis, il est vraiment baraqué, si j’étais une femme il m’exciterait, je n’en suis pas une mais la, je ressens ce qu’une femme pourrait ressentir.
Mon allure est plutôt fluette avec mes cheveux, je dois plus lui faire penser à une femme plutôt qu’à un homme.
Puis la conversation reprend.
- c’est gentil que tu me parles, moi je ne parle pas souvent aux gens d’ici
- mais ça me fait plaisir de parler avec vous, je suis content d’être la, pour vous faire passer un moment, je vous trouve vraiment sympathique et en plus qu’est ce que vous êtes costaud, (je fais le geste)
- j’ai beaucoup de force, j’ai toujours de la force
- moi j’aime les hommes musclés
Il se lève et fait quelques mouvements comme en ferait un culturiste.
Je regarde à hauteur de son sexe en imaginant ce que j’ai aperçu tout à l’heure, je fais mine de pas trop insister, mais apparemment son regard sur moi commence à changer, il sourit tout en me montrant ses biceps.
- moi par contre je n’ai pas de muscle, je ressemble plus à une fille,
- si tu ressembles à une fille, tu fais aussi la fille
La un cap est franchi, je me sens comme une femelle en rut, j’ai vraiment envie maintenant de voir si je peux faire bander ce colosse.
Je me lance, et lui dis avec un petit sourire :
- quelque fois, quand l’homme est comme vous très fort ça m’excite, est ce que je vous fais bander ?
- Bien sur, tu me fais bander, j’aime ton petit corps, toi tu veux que je te montre ma queue
- Oui j’aimerais bien la sucer
Il me fait signe de rentrer dans sa petite baraque, une petite pièce, avec un lit une table, un lavabo sans robinet.
Une fois dedans je commence à me dandiner à tourner du cul devant lui, il commence tout en me regardant dans les yeux à dégrafer son pantalon, de mon coté, je sors ma langue pour lui montrer que je suis impatient de voir sa grosse bite, et d’un seul coup, son sexe apparaît pas totalement en érection mais à sa vue, je reste sans voix.
- ça te plait ma bite
- je n’en ai jamais vu d’aussi grosse, la mienne est beaucoup plus petite
Il me fait signe avec sa main gauche de m’approcher pendant que sa main droite décalotte lentement cette bite de cheval, son gros gland me fait craquer, j’en tremble presque, il me caresse les cheveux et appuie légèrement sur ma tête pour me faire comprendre que je dois m’agenouiller, je suis hypnotisé par ce sexe énorme qui est maintenant totalement en érection, je regarde encore un instant ce sexe prodigieux, lui il sourit en me voyant si impressionné, je commence à l’engouffrer dans ma bouche, et je suce, tout en branlant à deux mains ce gourdin,
- c’est bon suce mon petit, me dit il, après je vais te mettre ça dans ton petit cul, tu vas jouir, vas y encore, c’est bon,
maintenant déshabille toi, enlève ton pantalon.
Je m’exécute aussitôt
- Laisse moi admirer cette queue encore un instant après tu pourras m’enculer
- Oui je vais te la mettre toute entière, tu vas crier de plaisir c’est sur, tous les jeunes garçons que j’ai déjà enculés criaient de joie.
Il commence à me prendre le cul mettant beaucoup de salive sur mon anus, et puis son pieu commence à me pénétrer tout doucement, lentement. Puis enfin je poussais des cris rauques, enroués. Sa bite était en moi mais pas entièrement. Elle ne pouvait pas aller plus loin !
- Je vais te défoncer mon joli, tu ne vas pas le croire.
C’était bon, on a continué comme ça jusqu’à ce qu’il décharge violemment en moi, j’étais aux anges et lui aussi.
Voila, Nasser m’a fait vivre une sacrée expérience !
lailatvx - le 25/10/2010 à 11h55
belle histoire
Katiatrav26
les photos, on peut tous en avoir par milliers !
place des vidéos, c plus intéressant !!!!!!!!!!!!!!!!!!!
place des vidéos, c plus intéressant !!!!!!!!!!!!!!!!!!!
lailatvx - le 25/10/2010 à 13h28
Je tiendrais compte de ta remarque
Katiatrav26
http://www.ashemaletube.com/videos/2690/ebony-dude-fucks-slim-tranny.html
lailatvx - le 25/10/2010 à 13h29
http://www.ashemaletube.com/videos/6117/horny-dude-riding-a-tranny-on-his-rod.html
lailatvx - le 25/10/2010 à 13h30
Oui, ma douce épouse et tendre chérie
Tu peux à n’importe quel moment
De la journée
De jour comme de nuit
Rejoindre tes amants
Tes amants chéris
Moi, je reste sagement à la maison
Tranquillement dans mon logement
Imaginant ces bites énormes
Ces zobs démesurés
Qui te dilatent
Qui t’engraissent
Qui t’épaississent
Qui te labourent
Qui te parcourent
Et quand tu seras complètement repue
Totalement gavée
Entièrement comblée
Tu me reviendras
Très tôt le matin
Souillée, suintant la sueur
Le sperme et tes propres jouissances
Devant la porte d’entrée
Je m’agenouille à tes pieds
J’embrasse tes orteils un par un
Et te remercie
De n’avoir pas oublié
De m’apporter
De m’offrir
Ma dose de sperme
De semence
Des restes du passage de tes amants
Passionnés et engoués
Exaltés et enflammés
Je renifle dans tes recoins les plus intimes
Ta fente malmenée toute la nuit
Je palpe ta rosette déformée, tes seins triturés
Ton string dégoulinant de sperme
Tu te plais à me raconter
Tes turpitudes longuement avec détails
Tu me décris tes ébats sexuels
Leurs longues bites
Que tu compares à des gourdins
Qui n’ont pas la taille du mien
Pourtant il y a peu de temps
Tu étais la femme d'un seul homme
Tes seins, tes reins, ta jolie petite chatte
N’avaient connu que moi
Tu peux à n’importe quel moment
De la journée
De jour comme de nuit
Rejoindre tes amants
Tes amants chéris
Moi, je reste sagement à la maison
Tranquillement dans mon logement
Imaginant ces bites énormes
Ces zobs démesurés
Qui te dilatent
Qui t’engraissent
Qui t’épaississent
Qui te labourent
Qui te parcourent
Et quand tu seras complètement repue
Totalement gavée
Entièrement comblée
Tu me reviendras
Très tôt le matin
Souillée, suintant la sueur
Le sperme et tes propres jouissances
Devant la porte d’entrée
Je m’agenouille à tes pieds
J’embrasse tes orteils un par un
Et te remercie
De n’avoir pas oublié
De m’apporter
De m’offrir
Ma dose de sperme
De semence
Des restes du passage de tes amants
Passionnés et engoués
Exaltés et enflammés
Je renifle dans tes recoins les plus intimes
Ta fente malmenée toute la nuit
Je palpe ta rosette déformée, tes seins triturés
Ton string dégoulinant de sperme
Tu te plais à me raconter
Tes turpitudes longuement avec détails
Tu me décris tes ébats sexuels
Leurs longues bites
Que tu compares à des gourdins
Qui n’ont pas la taille du mien
Pourtant il y a peu de temps
Tu étais la femme d'un seul homme
Tes seins, tes reins, ta jolie petite chatte
N’avaient connu que moi
lailatvx - le 25/10/2010 à 13h33
Je viens d'être baisé. Somptueusement. Profondément.
Je viens d'être sodomisé, enculé au plus profond de moi. J'ai reçu dans mes entrailles un zob long et large. Il a joui en moi, son sperme dégouline de mon anus distendu, ouvert, qui porte la marque évasée de la puissante queue qui vient de me défoncer divinement. Je suis heureux, épuisé, pantelant, allongé à plat ventre sur le matelas, les cuisses écartées, le cul bien ouvert. Et ce sperme qui coule sur mes couilles, poursuit sa course pour s'étaler en flaque blanche sur les draps. Je suis offert au regard de mon amant et j'en suis conscient.
Je suis offert à mon amant et j'aime ça. Je veux qu'il me pénètre à nouveau. Qu'il m'encule encore et encore. Je veux sentir son sperme, son foutre chaud gicler dans mes entrailles. Je me découvre totalement passif dans les bras d'un homme.
Il me découvre tel qu'il m'a laissé, cuisses écartées, cul offert, l'anus gluant de sperme. Il ne peut pas résister à cette vision d'un jeune minou qui n'aspire qu'à une seule chose à cet instant présent : se faire prendre. Je le sens, il s'approche, il se place à genoux. Je pressens son sexe à quelques centimètres de mon trou, ouvert, je ressasse en moi cette vision de mon cul, « my hole » comme disent les Américains. J'en frémis de désir. La sodomie, l'enculage est affaire de psychologie pour celui qui se fait mettre. Il y a le plaisir de la pénétration, bien entendu, évidente, mais aussi de la pose, de l'enculé attitude : Etre là, cuisses ouvertes, cul offert, anus évasé par la queue qui l'a pénétré, dégoulinant de foutre blanc et gluant, dans l'attente d'être repris.
Bien à plat sur les draps, épousant bien le matelas ou à quatre pattes, en levrette ou la tête enfouie dans les oreillers, le cul relevé, bien cambré, pour une enculade qui devra être puissante, une montée à crue, croupe enserrée dans les cuisses de l'amant, chevauché rudement, sailli avec bonheur. Je découvre ce plaisir d'être offert, prêt à être sodomisé. Il se place sur moi, bras arqués autour de mes épaules, son sexe s'approche, rentre en moi, glisse jusqu'à la garde, bien lubrifié par le jus qui me graisse mon délicieux conduit anal. Je me contracte pour mieux le sentir, l'appréhender.
Mes muqueuses le massent, sa bite m'électrise, il s'écroule sur moi, lourdement. Il m'embrasse la nuque, ses baisers me procurent d'étonnants frissons, j'adore cette position où je me sens écrasé, où je ressens toute sa force. Sa queue entre et ressort totalement avant de replonger au plus profond de moi. Il accélère le rythme, sa queue grossit, élargit encore plus le fourreau anal, je me contracte de plaisir, mes spasmes le fusillent, l'enserrent dans des crispations bienfaisantes, il ne peut plus se retenir, son sperme gicle en moi, à jets puissants.
Dieu que c'est bon, ce foutre qui envahit mes intestins. J'éjacule longuement, sans me toucher, un autre plaisir m'envahit, je jouis du cul, je suis en transe, le cul ondulant, trémoussant, aspirant cette queue encore en moi, tendue, pour aspirer ses dernières gouttes de foutre. Il reste en moi, allongé sur mon corps, durant de longues minutes. Il reprend vie, je contracte les muscles pour mieux l'enserrer. Il grossit en moi, distend mes chairs et reprend son va-et-vient. Doucement d'abord et de plus rapidement. Son bassin frappe violemment mes fesses. Il me soulève légèrement pour que nous puissions nous embrasser à pleine bouche.
Son baiser délicieusement violent m'électrise, me fait perdre pied. Son poids sur moi, son baiser, et sa queue qui m'envahit, m'ouvre, me pénètre, va au plus profond, me tétanise littéralement. La jouissance monte, impérieuse, grandiose. Je jouis du cul comme jamais tandis que mon sperme jaillit impérieux de ma bite sensible. Mon amant me retourne, soulève d'une main mes jambes, pose mes chevilles sur ses épaules et me pénètre à nouveau. Il est insatiable !!!
Je viens d'être sodomisé, enculé au plus profond de moi. J'ai reçu dans mes entrailles un zob long et large. Il a joui en moi, son sperme dégouline de mon anus distendu, ouvert, qui porte la marque évasée de la puissante queue qui vient de me défoncer divinement. Je suis heureux, épuisé, pantelant, allongé à plat ventre sur le matelas, les cuisses écartées, le cul bien ouvert. Et ce sperme qui coule sur mes couilles, poursuit sa course pour s'étaler en flaque blanche sur les draps. Je suis offert au regard de mon amant et j'en suis conscient.
Je suis offert à mon amant et j'aime ça. Je veux qu'il me pénètre à nouveau. Qu'il m'encule encore et encore. Je veux sentir son sperme, son foutre chaud gicler dans mes entrailles. Je me découvre totalement passif dans les bras d'un homme.
Il me découvre tel qu'il m'a laissé, cuisses écartées, cul offert, l'anus gluant de sperme. Il ne peut pas résister à cette vision d'un jeune minou qui n'aspire qu'à une seule chose à cet instant présent : se faire prendre. Je le sens, il s'approche, il se place à genoux. Je pressens son sexe à quelques centimètres de mon trou, ouvert, je ressasse en moi cette vision de mon cul, « my hole » comme disent les Américains. J'en frémis de désir. La sodomie, l'enculage est affaire de psychologie pour celui qui se fait mettre. Il y a le plaisir de la pénétration, bien entendu, évidente, mais aussi de la pose, de l'enculé attitude : Etre là, cuisses ouvertes, cul offert, anus évasé par la queue qui l'a pénétré, dégoulinant de foutre blanc et gluant, dans l'attente d'être repris.
Bien à plat sur les draps, épousant bien le matelas ou à quatre pattes, en levrette ou la tête enfouie dans les oreillers, le cul relevé, bien cambré, pour une enculade qui devra être puissante, une montée à crue, croupe enserrée dans les cuisses de l'amant, chevauché rudement, sailli avec bonheur. Je découvre ce plaisir d'être offert, prêt à être sodomisé. Il se place sur moi, bras arqués autour de mes épaules, son sexe s'approche, rentre en moi, glisse jusqu'à la garde, bien lubrifié par le jus qui me graisse mon délicieux conduit anal. Je me contracte pour mieux le sentir, l'appréhender.
Mes muqueuses le massent, sa bite m'électrise, il s'écroule sur moi, lourdement. Il m'embrasse la nuque, ses baisers me procurent d'étonnants frissons, j'adore cette position où je me sens écrasé, où je ressens toute sa force. Sa queue entre et ressort totalement avant de replonger au plus profond de moi. Il accélère le rythme, sa queue grossit, élargit encore plus le fourreau anal, je me contracte de plaisir, mes spasmes le fusillent, l'enserrent dans des crispations bienfaisantes, il ne peut plus se retenir, son sperme gicle en moi, à jets puissants.
Dieu que c'est bon, ce foutre qui envahit mes intestins. J'éjacule longuement, sans me toucher, un autre plaisir m'envahit, je jouis du cul, je suis en transe, le cul ondulant, trémoussant, aspirant cette queue encore en moi, tendue, pour aspirer ses dernières gouttes de foutre. Il reste en moi, allongé sur mon corps, durant de longues minutes. Il reprend vie, je contracte les muscles pour mieux l'enserrer. Il grossit en moi, distend mes chairs et reprend son va-et-vient. Doucement d'abord et de plus rapidement. Son bassin frappe violemment mes fesses. Il me soulève légèrement pour que nous puissions nous embrasser à pleine bouche.
Son baiser délicieusement violent m'électrise, me fait perdre pied. Son poids sur moi, son baiser, et sa queue qui m'envahit, m'ouvre, me pénètre, va au plus profond, me tétanise littéralement. La jouissance monte, impérieuse, grandiose. Je jouis du cul comme jamais tandis que mon sperme jaillit impérieux de ma bite sensible. Mon amant me retourne, soulève d'une main mes jambes, pose mes chevilles sur ses épaules et me pénètre à nouveau. Il est insatiable !!!
lailatvx - le 25/10/2010 à 13h34