Le blog de Katiatrav26
Partie 2
" A genoux, pédale ! Et baisse mon pantalon immédiatement ! Sinon, je sens que je vais m'énerver ! Bouge toi ! Ecarte l'élastique du pantalon de sur vêtement !
Quelle conne vraiment ! "
Le type commençait visiblement à s'énerver. Je pris l'élastique et la tirais vers moi pour l'écarter du plus que je pouvais. Finalement la ceinture du pantalon
passa l'obstacle et glissa facilement jusqu'à mi cuisses, dévoilant un slip kangourou complètement déformé par une énorme bosse qui pointait en avant au point d'entrouvrir l'échancrure de la face
avant du slip, montrant un aperçu de ses énormes boules. Le slip, à l'origine devait être blanc. Ce n'étais plus le cas aujourd'hui !
Je tombais à genoux devant cet énorme type. Il devait mesurer au moins 1m90 et peser dans les 200 kilos. Il était capable de me réduire en bouillie si je
n'obéissais pas. De près sont odeur était encore plus puissante, elle irradiait par tous les pores de sa peau. A deux mains j'empoignais l'élastique de son pantalon de jogging et commençais à le
faire descendre de son ventre. La ceinture glissa facilement jusqu'au moment ou elle arriva au niveau de son érection qui déformait le haut du pantalon. Je marquais un temps d'arrêt, hésitant sur
la suite, ma respiration s'accéléra emplissant mes poumons des effluves particulièrement musquées que dégageaient cette partie de son anatomie.
" Elle est vraiment timide cette pétasse, il va falloir la délurer un peu " dit l'homme que je déshabillais. " C'est le moment de commencer à t'habituer aux odeurs
des noirs, qui te trouble tant ! " Et de sa paume puissante il plaqua mon nez et ma bouche sous la protubérance, juste au niveau de ses énormes couilles. " Respire bien à fond, je veux que tout
le monde ici t'entende haleter comme une chienne. Et frotte ton nez de salope contre mon slip. Profite bien de l'odeur, ce slip ne me quitte jamais, je le porte jour et nuit pour bien le marquer
de mon odeur de mâle noir. Tu as de la chance d'en profiter !"
J'essayais de respirer le plus bruyamment possible tout en frottant mon nez tout au long de la protubérance. Tout le slip était jauni, rêche, durci par de
nombreuses éjaculations qui avaient séchées. L'odeur était particulièrement forte, on aurait dit du musc de bouc, au point de me faire quasiment tourner la tête. Malgré moi je commençais à
ressentir une sorte d'excitation sexuelle, mais mon sexe conservait toujours sa flaccidité.
" Elle semble manquer d'enthousiasme pour quelqu'un qui voit enfin ses plus beaux rêves réalisés, ou presque " dit Emma. " Et tu devrais remercier ce Monsieur "
ajouta Magalie.
Comme en transe sous l'action des intenses phéromones dont je respirais les effluves, je n'entendis pas la demande de Magalie et continuais mes inhalations
bruyantes. Dans ma position j'étais quasiment à quatre pattes et dévoilait mon postérieur bien encadré par la fente ornée de dentelle de la culotte ouverte.
"Pas de remerciements ! Quelle insolence ! Je crois qu'une bonne fessée s'impose pour réparer cet affront " commenta Magalie. " Salem va s'en charger, car c'est lui
qui a été offensé lorsque cette sale tapette à montré de l'hésitation à renifler son slip ! A toi de jouer Salem ! "
" Viens ici ma chérie... Viens dans mes bras, viens poser ta tête sur ma poitrine et place toi entre mes cuisses. Voilà... comme cela... Je vais coincer ta tête
sous mon aisselle gauche et la maintenir bien serrée contre moi en passant mon bras gauche sous ton épaule. "
Je me mis en position comme il me l'indiquait. Quand il souleva son bras gauche pour emprisonner ma tête, j'avais le visage enfoui sus son aisselle, le nez
chatouillé par ses poils drus de black. Mais l'odeur ! Oh mon Dieu quelle odeur ! C'était au delà de tout ce que j'avais pu imaginer ! J'étais aux premières loges, à la source même de ses
senteurs corporelles. C'était tellement âcre et acide que je crus que j'allais m'évanouir !
Pendant que je me demandais comment j'allais pouvoir respirer dans la chaleur brûlante et moite de son aisselle, de son autre main il baissa lentement ma culotte
ouverte en bas de mes fesses, révélant mon cul crispé dans l'attente des coups que, dans ma position, je ne pourrais pas voir venir. Il pris le temps de caresser mes fesses en tout sens, de les
palper, de les tapoter avec de petites claques comme pour les échauffer, ce qui était plutôt agréable. Les vibrations qu'il imprimait à mes fesses se communiquèrent à mon clitoris, je sentis une
chaleur dans mon bas ventre, et je me concentrais une fois de plus pour éviter d'avoir une érection qui serait une source de douleur supplémentaire.
J'avais finalement le moyen de contrôler ces érections inopportunes. Il fallait que j'oublie que j'avais un pénis, en me concentrant le plus possible sur d'autres
parties de mon corps, comme mes fesses ou mes seins. Je me concentrais donc sur la sensations de mes seins écrasés contre sa poitrine poilue, moelleuse et flasque, trempée de transpiration, et
aussi surtout sur les sensations que me procuraient ses douces caresses sur mes fesses. Je réussi ainsi à éviter une érection fatale.
Malheureusement ce doux plaisir trouble ne dura pas longtemps. Il empoigna une de mes fesses de sa forte poigne une dernière fois, écarta sa main, et sans que je
fusse prévenu de quelque manière que ce soit, la rabattit vigoureusement sur mon postérieur me donnant une claque vigoureuse.
Clac ! Elle était bien sonore celle là.
Je sursautais de douleur en poussant un petit cri. Je n'avais plus besoin de me concentrer sur mes fesses, la cuisante claque m'épargnait cet effort. Par réflexe
j'essayais d'inspirer une large bouffée d'air. Mais le nez collé dans les poils de son aisselle, au milieu des gouttes de sueur, j'avais du mal à respirer et son odeur lourde et épicée me fit
tourner la tête.
Clac ! Une autre. Plus forte encore et sur l'autre fesse. Je lâchait un gémissement.
Un temps de pause, quelques caresses sur mes fesses endolories. Ses doigts s'insinuant entre mes fesses palpant mon petit trou, puis plus bas encore, juste au
dessus de mes couilles. Je poussais un autre gémissement mais de plaisir cette fois. Il continuait ses caresses, frôlant mes petites couilles lisses cette fois. Ce salaud m'excitait et voulait me
faire bander ! Il continuait, remontait à mon entre fesse et redescendait à mes couilles en un mouvement continu. Ce ne fut pas long à venir, je commençais à bander. Mon membre se tendit et durci
dans la cage, faisant immédiatement s'enfoncer les pointes dans sa chair tendre. Je poussais un cri de douleur.
" Cette salope se met à bander ! Qui t'y a autorisé ? " dit-il.
Et sur ce, il recommença les claques, qui se succédaient, rapides et sonores sur mon fessier, le faisant rebondir en tout sens. Je criais, mes jambes gigotaient en
tout sens, mais il raffermit son étreinte, manquant m'étouffer sous son aisselle. Les coups pleuvaient sans discontinuer... J'avais beau le supplier d'arrêter, rien n'y faisait. La douleur
irradiait mon postérieur et se communiquait à mon bas ventre, mais même si j'étais excité par cette fessée, elle ne me faisait pas bander, bien au contraire !
Puis les coups cessèrent. De nouveau les caresses sur mes fesses... Un doigt se posant sur mon petit trou, insistant, me pénétrant... je poussais un nouveau
gémissement mais de plaisir cette fois.
" Cette salope a la chatte toute brûlante... Prête à se faire mettre... " dit-il.
Il continuait à caresser ma rosette avec son doigt, tournant tout autour. S'arrêtant pour me donner quelques claques vigoureuses, puis ma caressant les globes, es
malaxant, les écartant, pour finalement revenir à ma rosette. Cette fois il humidifia son doigt de salive et le fit pénétrer... lentement... en le faisant tourner... appliquant un mouvement de va
et vient en appuyant fortement sur ma prostate en descendant... C'était un massage de la prostate en bonne et due forme. Un " milking " comme je l'apprendrais plus tard. Je sentis comme si
j'avais envie de faire une goutte de pipi... mais rien ne venais... Au bout d'une minute ou deux de ce traitement je sentis la goutte descendre le long de ma verge au repos emprisonnée dans sa
cage, et traverser mon méat urinaire. La goutte sorti et vint glisser le long de son mollet.
Ce fut Emma qui s'en aperçue la première. " Regardez ! Son clitoris coule ! Il y a son jus de tapette qui sort ! Elle souille son mollet ! Oh ! C'est vraiment
dégoûtant ! "
A ces mots, il me donna deux vigoureuses claques sur les fesses. " Salope ! Qui t'a permit ! De te laisser aller ainsi ! Tu vas lécher tes souillures ! Avec ma
sueur ! Et ensuite tu me léchera sur tout le corps ! Pouffiasse ! "
Emma, qui m'observait, avait remontée sa robe, écartée les cuisses, et après avoir baissée sa culotte se branlait frénétiquement.
" Oui ! Oui ! Qu'il le lèche ! Qu'il goûte la sueur d'un nègre ! Oh ! Je n'ai jamais rien vu de plus excitant ! Cette sale tapette à nègre qui se prétendait mon
mari ! "
Décidèment j'adore cette histoire, dommage qu'elle tire à sa fin.