Le blog de Katiatrav26
Chapitre 12: lavement et maquillage
C'est à ce moment que Magalie entra dans la salle de bain, en tenant un broc à lavement muni d'un long tuyau translucide et d'une énorme canule.
" Mets toi à quatre pattes que je lave aussi ton intérieur. " ordonna-t-elle tandis qu'elle lubrifiait abondamment la gosse canule. " Ecartes bien tes fesses à deux
mains que je voie bien ton petit trou. Obéie ".
Je posais ma tête sur le tapis de bain et écartais mes fesses. Dans cette position, totalement nu, je lui dévoilais toute mon intimité. J'avais honte de m'exposer
ainsi devant une femme. D'habitude ce n'était pas dans ce genre de position que je me montrais nu. Là j'avais l'impression de me comporter comme la pire des salopes. Les rôles étaient
inversés.
Je la sentis poser l'extrémité de la canule sur mon petit trou. Elle massa l'ouverture de mon anus avec la canule, puis exerça une pression. Je sentis mon sphincter
s'élargir, et avaler quelques centimètres de l'embout. Cette intrusion n'était pas désagréable. Plaisante même. Elle me masturba doucement l'anus, faisant aller et venir la canule dans mon rectum
tout en l'enfonçant progressivement. Je me surpris à laisser un petit gémissement de plaisir.
" Tiens. On dirait que la salope aime ça. Dis le donc à ta Maîtresse, sinon je serre dans ma main la cage sur ton misérable appendice. " Et joignant le geste à la
parole elle enserra mon sexe prisonnier de la cage souple munie de ses picots, et commença à serrer un peu...
" Aie ! Oui... J'avoue... j'aime me sentir enculé par la canule, Maîtresse Magalie. "
Sans relâcher sa pression sur la cage elle demanda : " Et bien, qu'est que tu es alors, si tu aimes être enculé, salope ? "
" Je... Je suis ... un enculé, Maîtresse Magalie. "
" Comment oses-tu encore parler de toi au masculin alors que tu es toute lisse et que tu te travestie ? "
" Pardon... Maîtresse Magalie... Je suis... une enculée, Maîtresse Magalie "
" Bien... " Elle relâcha sa pression sur mon sexe. " Alors répète sans arrêt que tu es une salope qui aimes être enculée. Répète ! "
" Je... suis une salope qui aimes être enculée... Je suis une salope qui aime être enculée... "
" Voilà, continue, pédale. Je vais ouvrir la vanne maintenant et surtout ne bronche pas et continue à répéter ".
Je continuais la répétition... Soudain, un jet de liquide très chaud fusa en moi. Je sursautais mais elle avait donné une pression à la cage et cela suffit à me
faire tenir tranquille. Je subissais le jet d'eau chaude qui me rempli rapidement les entrailles. Je sentais mon ventre se remplir... Bientôt je fus pris d'une envie pressante d'aller aux
toilettes.
" Ne bouges surtout pas. Il faut laisser au lavement le temps d'agir pendant quelques minutes. "
Je grimaçais... Contractait mes sphincters autour de la canule... La pression dans mes entrailles semblait se faire de plus en plus forte... Je me crispais... Et
commençais à transpirer abondamment. Je commençais à avoir des crampes à l'estomac... Magalie maintenait toujours sa main autour de la cage en serrant un peu. Je sentais bien les pointes qui
entrait dans mon sexe flaccide, car, dans cette situation, je ne risquais pas d'avoir le plus petit début d'érection. Mais je n'oubliais pas de répéter et répéter que j'étais une salope qui aime
être enculée.
Enfin elle retira la canule et dit : " vas vite te soulager aux toilettes maintenant ! "
Je me précipitais vers la cuvette des WC, m'assis, et je me vidais enfin bruyamment. Je poussais un soupir de soulagement et en profitais pour uriner toujours
assise. Je tirai la chasse d'eau et me relevais.
" Essuie toi bien la rondelle maintenant. Et aussi le bout de ton zizi à travers la petite fente de la cage qui est prévue à cet effet. N'oublie pas qu'une femme
doit toujours s'essuyer après avoir fait pipi. Voilà, c'est bien. "
J'étais debout, toujours nu, quand elle me tendit cet horrible corset.
" Il ne faut pas perdre les bonnes habitudes " me dit-elle, " n'oublie pas que tu dois porter ce corset nuit et jour ! "
Une fois le corset mis en place par ses soins et atrocement serré, elle me tendit les bas, la même petite culotte qu'hier et les escarpins. Elle me tendit ensuite
une ultra courte robe rose pale, très décolletée, à la limite du ridicule avec ses frous frous de dentelle et le jupon foisonnant qui remontait la robe à la moitié de mes fesses.
La faim me tiraillait. Je n'avait pas mange la veille au soir et pas encore pris de petit déjeuner car Magali s'était levée tard. Aussi, quand elle me tendit mon
bol de pilules à avaler et me proposa de prendre le petit déjeuner, je ne protestais pas. J'allais enfin pouvoir me remplir l'estomac.
En fait je dus préparer son petit puis la servir au salon et c'est seulement ensuite que je pus avaler en vitesse un bol de café et quelques tartines et un jus
d'orange qui avait été préparé la veille. Ce que je ne savais pas, c'est que ce jus d'orange contenait une faible dose de la "drogue du viol" afin de me rendre plus coopératif sans m'ôter
complètement la conscience de la situation.
Quand elle eut terminé son petit déjeuner elle m'appela au salon.
"Il va falloir que nous améliorons ton apparence. Tu as une drôle d'allure ainsi. Il faut que tu ais l'air vraiment féminine. Et aussi voir ce que nous pouvons
faire de ces longs cheveux blonds. Va déjà te raser soigneusement dans la salle de bains et laves toi les cheveux. Puis reviens dans ta chambre."
Une fois fait, je revins dans la chambre et Magalie me fit signe de m'asseoir devant la table de maquillage. " Pendant que je m'occupe de ta coupe de cheveux, lit
soigneusement cette brochure, car tu vas devoir passer aux travaux pratiques tout à l'heure ! " et Magalie me tendis une mince brochure intitulée " Conseils de maquillage pour les tapettes
travesties ".
" Et appliques-toi bien " dit Magalie. " Car désormais ce sera ta routine quotidienne du matin avant de me préparer le petit déjeuner. "
Je l'ouvrais et commençais la lecture pendant que Magalie sortait des bigoudis d'un des tiroirs de la table de maquillage.
Une fois que vous vous serez rasé de très pré, il reste à masquer l'ombre de votre barbe.
Dans mon cas cela s'avérait presque inutile, car étant blond, ma pilosité faciale n'était pas très prononcée.
Pour cela, appliquez de l'anti cerne sur toute la zone où pousse votre barbe. Etalez avec votre doigt de façon à recouvrir toute la zone de barbe.
" Ouvre le tiroir central de la table de nuit, tu y trouvera tous les produits nécessaires " dit Magalie.
Passez ensuite au fond de teint. Avec une brosse (une brosse est un gros pinceau, avec une extrémité en poils souple très large) étalez le fond de teint (en poudre
de préférence) sur le front, puis les joues, puis tous le visage. N'hésitez pas sur la quantité !
Je trouvais l'anti cerne le fond de teint et la brosse dans le tiroir et je m'appliquait à suivre les indications pendant que Magalie finissait d'installer les
bigoudis dans mes cheveux. Mon visage inexpressif dans le miroir (j'étais quelque peu abruti par la drogue, et exécutais tous ces gestes dans une sorte de rêve éveillé) ressemblai à celui de ces
femmes dans un salon de beauté.
Passons au rouge à joues. Toujours avec une brosse, faite un jolie sourire dans la glace et appliquez sur la partie qui ressort sur les joues.
Quand j'hésitais sur un produit à utiliser ou sur un geste à faire, Magalie me donnait des indications d'un ton cassant.
Le plus difficile, maintenant : les yeux. Choisir un crayon de couleur noir, du mascara noir, et du far a paupière (ensemble de 2 a 3 couleurs au moins
!).
- Appliquez le crayon noir sur la partie basse intérieure de l'oeil. (évitez de fermer les yeux !) ... Mettez le crayon à l'horizontale au bout de l'oeil et frottez
en partant vers l'extérieur pour étirer l'oeil (faire la même longueur des deux cotés. Appliquez aussi le crayon sur la partie supérieure de l'oeil.
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- Far a paupière : vous avez le choix des couleurs pour un maquillage basique réussi. La partie juste sous les sourcils (ils doivent au préalable êtres épilés
correctement de manière arquée afin d'agrandir le regard) en clair et pour la paupière en sombre ou l'inverse.
- Mascara : c'est le tube noir à l'intérieur duquel se trouve une petite brosse au bout d'une tige. Tenez la brosse horizontalement et appliquez le mascara sur vos
cils inférieurs avec un petit mouvement tournant pour faire remonter les cils. Faites de même avec les cils inférieurs. Si vous en mettez sur la paupière, enlever avec un coton tige. La encore ne
vous lésinez pas sur la quantité.
Je m'en sortais à peu prés bien pour le fard à paupière et le crayon, mais par contre avec le mascara j'eus du mal à ne pas déborder. J'avais maintenant le regard
d'une jolie jeune femme.
Les sourcils. Une fois épilés, sur tracez les au crayon noir. Ne pas oublier que la limite intérieure correcte du sourcil est le prolongement du bord du nez
correspondant au sourcil. Pour l'extérieur, prolongez la courbe d'environ un demi centimètre.
Je terminais rapidement et facilement cette étape, même si ma main tremblait un peu.
Vous pouvez jouer avec les rouges et crayons à lèvres pour agrandir légèrement les lèvres en dessinant le contour avec un crayon à lèvres de couleur plus foncée que
votre rouge à lèvres, puis remplissez avec le rouge ou avec un pinceau si vous utilisez un " blush ".
Un petit truc aussi que vous pouvez constater, la femme est souvent plus souriante que l'homme. Alors n'hésitez pas à sourire de temps en temps, cela illumine
beaucoup le visage. Mais n'en faites pas trop sinon vous passerez pour une idiote !
Je souriais dans le miroir. C'était le visage d'une belle jeune femme qui me sourie. Je n'étais plus moi, mais une créature... Pendant ce temps, mes cheveux avaient
séché sur les bigoudis. Magalie vaporisa de la laque autour de ma tête, puis enleva les bigoudis. J'avais maintenant une belle coupe ondulée, mes cheveux avaient pris du volume, arrondissant et
adoucissant encore mon visage.
Surtout quand elle vont passer à la pratique avec des godes pour roder cette belle demoiselle.
J'en frémi d'avance ...
A n'en pas douter