Le blog de Katiatrav26
Chapitre 1 - Impuissance
En fait cela faisait longtemps que j'avais envie de tenir mon journal intime... Mais le temps me manquait... Plus maintenant, j'ai tout mon temps désormais, car je viens d'être licencié pour
raisons économiques. Je passe donc mon temps à regarder la télévision, à surfer sur Internet pour me régaler de sites pornos. Surtout ceux où l'on peut admirer des énormes bites de black en train
de baiser des blondes. J'ai toujours été fasciné par leurs engins, qui écartèlent leurs chattes ou tiennent à peine dans leurs bouches. Et leurs éjaculations semblent si abondantes, à tel point
que je me demande souvent si cela n'est pas truqué. Mais dans certaines scènes cela se passe sans changement de plan, et l'on voit de près de longs jets crémeux jaillir de leurs glands énormes et
puissants.
Il faut dire que je ne tiens pas du tout la comparaison avec eux. Mon sexe est plutôt petit, il atteint au mieux les 10 cm de longs en érection, et le diamètre ne dépasse pas 3,5 cm. Quand à mes
éjaculations, elles ne sont pas aussi puissantes, 2 ou trois gouttes sortent de mon méat, et c'est tout. Et quand ça gicle, cela ne va pas bien loin.
Mais il faut que je me présente un peu plus. Je me prénomme Michel, je suis marié depuis trois ans à Emma. J'ai 24 ans, j'ai le corps plutôt frêle, avec un début d'embonpoint, et je suis blond
moi aussi avec des cheveux longs qui me descendent aux épaules, retenus en arrière par une queue de cheval.
Autant dire qu'à cause de mon sexe, je ne pense pas être un "bon coup" au lit. Pourtant, avec ma femme, Emma, nous nous aimons. Elle m'a souvent dit qu'elle préférait un homme doux, caressant,
plutôt qu'un mâle brutal. C'est pour cela qu'elle s'est mariée avec moi. C'est vrai que notre vie sexuelle n'est pas extraordinaire. Emma, est très belle, avec une poitrine magnifique, des
hanches bien marquées, et une chatte blonde très douce. C'est une vraie chance pour moi d'avoir une femme si attirante, qui fait tourner les regards des hommes partout où nous allons. Je sais que
j'ai bien de la chance d'être avec elle.
Cela ne m'empêche pas d'être un masturbateur compulsif, surtout depuis que je suis condamné à rester à la maison, à ne rien faire, trop démoralisé pour chercher un nouveau travail. Hier je me
suis masturbé 4 fois. Enfin, je devrais plutôt dire 3, car la dernière fois je ne suis pas arrivé à éjaculer. Je n'arrive plus à penser à rien d'autre qu'au sexe.
Je dois avouer que ces masturbations répétées on commencées depuis quelques temps déjà à interférer sérieusement avec la sexualité de notre couple. Je m'explique. J'ai honte de l'écrire, mais je
reconnais que je suis un éjaculateur précoce. C'est ce qu'Emma à toujours dit. A chaque fois elle se plaint qu'elle n'a pas eu le temps de jouir.
Aussi, au début, ces masturbations n'avaient pas d'autres but que de me "vider" un peu préalablement pour que le soir je tienne un peu plus longtemps. Mais voilà, il me fallait bien quelque chose
sur lequel fantasmer pour me masturber. C'est pour cela que je suis tombé la première fois sur ces sites montrant des étalons noirs en action. Cela m'a fasciné dés le début et ne cesse pas de me
fasciner. Au point d'y revenir plusieurs fois par jour. Et d'avoir sans arrêt ces images de gros sexes noirs écartelant des chattes brutalement dans ma tête, que je ne pouvais chasser à cause de
ma complète oisiveté. Cela m'excitait et me donnait envie de me masturber encore et encore. Malheureusement le résultat ne s'est pas fait attendre. Le soir, avec Emma, j'ai du mal à bander. Et
c'est à peine si ma bite arrive à prendre un peu de rigidité pour écarter ses lèvres et la pénétrer. Emma est de plus en plus déçue et de plus en plus agressive avec moi. Aussi j'ai décidé de
faire quelques efforts envers elle.
Hier au soir, quand Emma est rentrée du travail j'ai été très câlin avec elle. Pour lui montrer ma bonne volonté, j'ai dressé la table, et après le repas j'ai débarrassé et fait la vaisselle,
pendant qu'Emma sirotait un whisky, étendue sur le canapé en déshabillé. Elle était très sexy... Je me suis alors approché d'elle et je l'ai embrassé et caressé, lui demandant si nous pouvions
faire l'amour. Elle était distante et froide. Finalement elle a cédée en me disant : "Alors dépêche-toi ! Fais vite ta petite affaire, j'ai envie d'aller me coucher de bonne heure."
Ce n'était pas très engageant. J'avais du mal à obtenir une érection. J'avais beau me frotter contre elle, rien n'y faisait. Mon pénis avait certes grossit un peu mais il restait toujours aussi
mou. Emma s'impatientait. "Alors, ça vient ? Mon pauvre ami, tu es pitoyable ! Quel Mari ! On peu dire que je suis bien tombé ! Un bon à rien impuissant voilà ce que tu es devenu ! Tu n'as
qu'à t'astiquer la nouille. Mais je te donne au plus 3 minutes, pas plus. Après j'irais me coucher, minable !"
Ses paroles me blessèrent profondément. C'est vrai qu'Emma avait l'habitude d'être dure avec moi, mais jamais à ce point et jamais de manière aussi blessante. Je me sentis profondément humilié.
Je me mis donc à m'astiquer à genoux sur le sol, devant elle, fixant ses cuisses ouvertes. J'étais stressé, je devais absolument arriver à bander pour lui prouver que j'étais toujours son mari.
Je m'activais sur mon sexe toujours aussi mou.
"Ah... Ah... c'est comique ! Si tu te voyais ! Accélère minable, plus que deux minutes 30." En disant cela elle regardait la trotteuse de sa montre qu'elle avait gardée au poignet.
"Je parie que tu ne vas pas y arriver."
De plus en plus stressé, j'accélérais ma cadence. Mais au lien de sentir un frémissement, je sentais au contraire ma bite se détendre. Je commençais à transpirer...
"Plus que deux minutes ! Grouille toi, sinon tu iras dormir sur le canapé du salon !"
Je transpirais de plus en plus... Ma bite était complètement rétrécie et semblait ne plus vouloir se mettre en érection.
"Trois minutes ! C'est fini ! Ouste, dégage ! Tu me dégouttes, minable, bon à rien. Et dire que tu croyais me donner satisfaction ! Ta saucisse est toujours trop molle, c'est à peine si je la
sens ! Et les trois petites gouttes qui en sortent quand tu as fini de t'agiter et de transpirer sur moi je ne les sens pas plus ! Quand j'étais étudiante j'avais un amant, un athlète noir avec
un sexe énorme et Des boules énormes aussi qui tenaient juste dans mes deux mains quand je le suçais. Son gland était tellement épais que j'avais du mal à le mettre dans ma bouche. Et il était
capable d'éjaculer des litres de spermes chaud et bien gluant ! Il me remplissait le vagin ! Je sentais chacun de ses jets jusqu'au fond de ma matrice !"
Ce discours de ma belle Emma, eu un effet paradoxal sur moi. Frappé de stupeur, j'arrêtais de m'astiquer la nouille. Le rouge envahit mon visage. Et des larmes envahirent mes yeux. Je la
suppliais... "Pitié, Emma, arrête de me raconter tout cela, je... j'imagine des scènes avec tout ce que tu me racontes... Pourquoi est ce que tu es si blessante envers moi ?" J'étais sur
le point d'éclater en sanglot quand je vis Emma grimacer de dégoût et m'envoyer un coup de pied dans la poitrine qui me fit basculer en arrière sur le sol. Eberlué je me relevais, les deux pieds
sur le tapis, près d'Emma, qui pointait le doigt vers mon bas ventre en éclatant de rire. Je baissais les yeux dans la direction où pointait son doigt et je découvris avec effroi qu'en quelques
secondes j'étais arrivé à une pleine érection ! Dans un éclair je compris que son discours avait éveillé en moi des images... celles que j'avais l'habitude de voir sur ces sites pornos "BBC"
devant lesquels je n'avais pas arrêté de me masturber toute la journée ! J'étais confus, je balbutiais, tentais de me justifier.
"Mais c'est toi Emma, qui est si belle, qui m'a excité !"
"Menteur ! Pitoyable menteur. En trois minutes tu n'es pas capable d'avoir la moindre érection en reluquant la chatte de ta femme qui est prête à te faire l'amour, mais dès que je te parle de mon
amant noir, et de son énorme queue, tu te mets tout de suite à bander ! On dirait que tu es pédé ma parole !"
"Je t'en supplie Emma, je suis prêt maintenant... Nous pouvons faire l'amour..."
"Ah non ! pas question ! Tu me dégouttes ! Il me faut un vrai homme, pas une tapette comme toi !"
"Pitié Emma, ne sois pas en colère je t'en prie, ce n'est pas ce que tu crois..."
"Menteur ! Ta bite parle pour toi. Dégage maintenant. Et pas question de dormir près de moi. Je ne veux plus sentir ta peau contre moi ! Dégage et vas dormir sur le canapé du salon. Et on en
reparlera demain matin crois moi !"
Dépité, et à nouveau complètement flaccide maintenant, je m'installais pour dormir sur le canapé, choqué de tout ce que m'avait dit Emma, tout cela tournait dans ma tête. Elle allait me quitter
c'est sûr. Et j'étais profondément déprimé. Je l'aimais c'est sûr, et j'avais trop besoin d'elle. Sans compter que l'appartement lui appartenait, je n'avais nul endroit où aller, aucun de mes
vagues amis ne m'accueillerait sachant que je n'avais actuellement aucune rentrée financière. Je me voyais déjà finir en clochard. Il fallait absolument que je ramène Emma à la raison demain.
Agité par ces horribles pensées, je trouvais finalement le sommeil.
A suivre...
Sur tes inspirations avouons le