Le blog de Katiatrav26

 

Sam 8 sep 2012 6 commentaires
En voila deux qui ont de la chance !
Savannah - le 08/09/2012 à 11h30

Ca on peut le dire

Katiatrav26
je veux prendre leur place.....
paulbi51000 - le 08/09/2012 à 11h38

Katiatrav26
bonjour et oui en effet en voilas deux qui ont de la chance , mais cela dépend de quel coté nous nous positionnons et pour ma part les deux mon sieurs ont de la chances. très belle vidéo. bise david91 biandswitch@free.fr
david91 - le 08/09/2012 à 12h57

Bises à toi aussi l'ami

Katiatrav26
Pour contacter l'auteur : sandratvtg@yahoo.fr

Je suis chez Sandra qui aime prendre l’initiative lors de nos jeux érotiques. Elle m’entraîne dans sa chambre et s’approche de moi en souriant :
- Aujourd’hui je veux que tu fasses la fille, me dit-t-elle avec un sourire enjôleur.
- J’inverse les rôles pour te faire découvrir le plaisir au féminin, rajoute-t-elle en me lançant un regard équivoque.
Elle choisit dans sa garde robe la lingerie qu’elle veut me voir porter.
- Essaye ces ravissantes petites choses, me susurre-t-elle à l’oreille en me tendant un ensemble de dessous vaporeux.
Puis, elle m’agrafe une guêpière ornée de quatre paires de jarretelles. Elle garnit ensuite mes bonnets 105/C de somptueuses prothèses en silicone.
Leurs poids et leurs volumes me donnent d’agréables sensations à chacun de mes pas. Ma taille élancée me permet de supporter aisément cette poitrine de rêve qui me transforme physiquement et mentalement en femme. Elle m’aide aussi à enfiler mes bas.
- Ces quatre paires de jarretelles tiendront tes bas à couture bien alignés, m’assure-t-elle en souriant.
Enfin, elle remonte lentement deux jarretières affriolantes le long de mes cuisses en me provoquant une superbe érection.
Heureuse de m’avoir excitée, Sandra ne résiste pas à l’envie de me caresser le sexe.
- Ton gros clito m’impressionne ma belle, je meurs d’envie de le faire couler, me dit-t-elle en me pressant tendrement les bourses.
Me voyant succomber à ses caresses, elle en profite pour glisser sur mes hanches un adorable slip en satin ouvert qui met ma queue en valeur en dégageant l’accès à ma grotte.
Une longue robe de nuit fendue jusqu’à la taille et des escarpins achèvent ma métamorphose.
- Je vais maintenant t’assouplir l’oeillet, me dit-t-elle d’un air mutin.
Sans me laisser le temps de réagir, elle soulève mon déshabillé en me plantant un plug dans les fesses.
- Ce n’est qu’un début, rajoute-t-elle d’un ton prometteur.
Assise devant le miroir de la coiffeuse, je retrousse ma robe de nuit et contemple ma queue qui sort de mes dessous en se dressant fièrement contre ma guêpière.
- Ton jouet me fait de l’effet, lui dis-je en souriant.
Je contracte mes muscles intimes sur le plug en frottant mes cuisses l’une contre l’autre pour amplifier le désir qui monte dans mes reins.
Pendant ce temps, Sandra me maquille les yeux avec du mascara et du fard à paupières en jetant des regards brûlants sur mon sexe en érection.
Puis, elle souligne mes lèvres d’un rouge intense et me coiffe d’une perruque blonde, bouclée très glamour.
Je fais quelques pas perchée sur mes talons aiguilles. Ils amplifient ma sensualité et me cambrent les reins en entretenant un savant balancement de ma croupe. Le miroir me renvoie l’image d’une fille glamour, affublée de tous les symboles de la féminité.
J’admire ma taille prise dans cette ravissante guêpière et c’est avec émotion que j’ajuste mes jarretelles en remontant mes bas sur mes cuisses. Mon regard s’attarde sur le galbe parfait de mes jambes mis en valeur par mes escarpins pendant que mes mains caressent avec volupté le nylon de mes bas.
- C’est un résultat magnifique Sandra, mais suis-je à ton goût ?
- Oui, tu me fais craquer ma belle et je vais te le prouver à l’instant, me dit-t-elle en m’obligeant à m’asseoir.
Elle s’agenouille entre mes cuisses en posant mes jambes sur ses épaules. Puis, plongeant sa tête dans mes dessous, elle tiraille avec ses dents le plug qu’elle m’a planté dans l’oeillet. Elle le mordille doucement en le faisant coulisser dans mes fesses.
Un moment plus tard, son attention est attirée par les quelques gouttes de sève qui transpercent le satin de mon slip.
- On dirait que je te fais de l’effet, ma chérie !
En souriant, elle me retire le jouet et m’entraîne alors sans résistance dans sa chambre. Avec un regard lourd, elle me culbute sur le lit.
Puis, elle retrousse mon déshabillé sur mes hanches pour saisir ma queue qui jaillit de mon slip ouvert.
Elle me masturbe lentement jusqu’à ce qu’elle soit gonflée de désir.
- Ne bouge pas, je reviens dans un instant, me dit-t-elle.
Je la vois réapparaître tenant à la main une curieuse ceinture hérissée d’un triple gode.
- Nous allons prendre du plaisir entre femmes, m’assure-t-elle en brandissant cet étonnant jouet devant mes yeux. Elle retire sa culotte en dentelle et retrousse sa jupe en me dévoilant sa croupe. Puis, elle plonge le premier gode lubrifié dans sa chatte en étouffant un gémissement de plaisir. Prenant son temps, elle place le second contre sa rosette et l’enfonce lentement dans ses reins en me jetant un regard trouble. Elle poursuit en ajustant soigneusement les harnais sur ses hanches. Provocante, les seins dressés dans un corset rose et noir et la taille serrée dans sa minijupe de cuir ultra courte, elle me fait face :
- Regarde ma belle, je t’ai réservé le plus gros.
Incrédule, j’aperçois alors l’énorme gode qu’elle me destine et qui retombe sur ses genoux.
- Je suis sûre que tu n’as jamais pris un tel calibre, s’exclame-t-elle en enlevant sa jupe.
Me défiant du regard, cambrée sur ses talons aiguilles, elle le caresse avec une rare perversité. Allongée sur le lit, mon cœur bat la chamade lorsque je vois cette envoûtante femme phallique s’approcher de moi. Mon regard est rivé sur ce long sexe noir qui bat lourdement contre ses cuisses au
rythme de ses pas. Son diamètre croissant atteint neuf centimètres à sa base et je distingue nettement les grosses veines saillantes courant sur sa hampe. Je reste tétanisée à la pensée d’être prise par ce monstre.
Sanglée dans son corset, Sandra redresse le gode à deux mains en basculant son bassin d’avant en arrière. Elle donne de puissants coups de reins dans le vide pour mimer ce qui m’attend.
- Je vais bientôt le planter dans tes reins, me dit-t-elle en pressant les bourses de ce sexe hors norme. Avec surprise, je vois un jet fluide sortir du gland et arroser mes bas d’épaisses coulées blanchâtres. Puis, Sandra me retourne sur le ventre et explore avec son doigt les renflements caractéristiques de mon anneau qui se sont formés lors de mes nombreuses expériences anales.
- Eh bien ma petite cochonne, je vois que tu n’es plus vierge depuis longtemps, me dit-t-elle d’une voix excitée.
Elle titille ma rosette avec la pointe de sa langue et la plonge dans ma grotte en me faisant gémir de plaisir. Quelques instants plus tard, elle me met à genoux sur le lit en se plaçant derrière moi. J’essaye d’échapper à son étreinte lorsque je sens le gode se presser contre mon anneau. Excitée par ma résistance, elle s’agrippe à ma taille, décidée plus que jamais à forcer mon passage. Déçue par des échecs successifs, elle détache le gode de sa fixation pour le lubrifier.
- Tu ne perds rien pour attendre ma belle, me dit-t-elle en me jetant un regard enflammé.
Puis, j’entends un bruit sec qui me fait frissonner lorsqu’elle l’emboîte à nouveau sur son socle.
- Maintenant, je vais t’enfiler sans problème, m’assure-t-elle.
Elle écarte la fente de mon slip et me donne un puissant coup de rein qui me fait vaciller sur mes genoux. Cette fois ci, je l’aide en poussant de mon mieux.
Dilatée à l’extrême, ma rondelle cède à son assaut et je crie de douleur quand mes chairs s’écartent sous la pression du pal.
Sandra prend un plaisir sadique à regarder les trente centimètres du gode disparaître dans mes fesses. Lorsqu’elle commence ses va et vient, j’entends son bassin claquer sur ma croupe, m’indiquant qu’elle m’a empalée sur toute sa longueur. Cette pensée me fait frissonner de plaisir. Puis, elle me masturbe en me murmurant à l’oreille :
- C’est bien ma chérie, laisse moi te fouiller le ventre.
Soudée à moi, elle s’active de plus belle jusqu’à ce que le gode bute contre un obstacle. Je le guide alors de la main pour l’aider à passer un repli sinueux de ma muqueuse. Sandra peut poursuivre de plus belle en sentant les deux godes lui pilonner le ventre. Au bout d’un moment, elle se retire de mon fourreau en me demandant :
- Veux-tu faire une pause ?
- Sodome and go more, lui dis-je en cambrant les reins pour toute réponse.
Stimulée par cette vision, elle s’agite de plus belle jusqu’à ce que je sente un liquide tiède m’inonder le ventre.
- Je lubrifie ta chatte, me dit-t-elle avec excitation.
Puis, elle continue à violer mes reins en ne pensant plus qu’à son plaisir. Parfois, elle sort de ma croupe attendant que mon oeillet se referme pour me transpercer à nouveau. Un moment plus tard, elle gratte lentement mon frein avec son ongle pour m’achever. C’est irrésistible et mon sperme gicle en coulées épaisses sur ses doigts. - Donne moi toute ta sève, me dit-t-elle d’une voix torride. Je jouis, le corps secoué de nombreux spasmes pendant qu’elle presse longuement mon périnée et ma verge pour extraire mes dernières forces. Satisfaite, elle se lève et détache les sangles de son gode ceinture en me disant avec impatience.
- Maintenant, à toi de me baiser.
Je l’allonge sur le dos et lui murmure à l’oreille ce que je vais lui faire. Ses yeux brillent de désir en découvrant le plug vibrant que je tiens à la main.
Elle laisse échapper un cri quand j’ouvre ses fesses avec ce gros calibre qui lui dilate fortement les chairs. Son vagin comprimé par cette intrusion anale va lui permettre de
lailatvx - le 09/09/2012 à 02h57
très belle vidéo et très joli récit
matazard - le 09/09/2012 à 08h20
Un jour, j'étais sur la route pour me rendre à une formation dans le sud de la France.
Pour je ne sais quelle raison, mon patron a préféré que je loue une voiture plutôt que je prenne le train. Il ne se rend pas compte à quel point ça peut être fatigant de faire 900 bornes et de devoir partir la veille. Mais bon, si j'avais du prendre le train, cette histoire ne me serai jamais arrivé et finalement je l'en remercie grandement.
Nous sommes donc dimanche, vers 14h quand je décide de m'arrêter pour faire une pause.
Je prends la première aire de repos et sors de la voiture pour me dégourdir les jambes. C'est le genre d'aire avec juste des toilettes, quelques tables et un petit bois derrière. Détestant les toilettes publiques pour leur manque d'entretien et ayant une envie pressante, je me dirige donc vers le bois pour me soulager. Je ne suis pas du genre pudique mais je fais attention que personne ne me voie (il y avait pas mal de voitures) car j'ai pris l'habitude de porter des culottes de femme en dentelle et de me raser la queue. On ne sait jamais sur qui on peut tomber et je ne pratique que rarement le sexe avec un parfait inconnu.
Une fois fini, j’entends des gémissements un peu plus loin et, très curieux de nature, je décide d'aller voir. Et là, surprise, je vois un mec à poil en train d'en enculer un autre, lui aussi à poil. Je les regarde un instant avant de regarder autour de moi au cas ou quelqu'un me verrait jouer les voyeurs. Autre surprise, il y a en fait pleins de "couples" en train de faire la même chose. C'est à ce moment là que je sens quelqu'un me prendre par la taille. Il me tient comme on tiendrait une femme et me souffle à l'oreille:
- alors chéri, on se rince l'œil ?
- je ...
- allez, ne sois pas timide et viens jouer avec nous!
Je n'eus pas le temps de protester que je me retrouvais au milieu des couples avec l'homme qui commençait à se déshabiller. Il me fit signe d'en faire autant mais je refusais d'un signe de tête. Imaginez sa réaction s'il me voyait en petite culotte! Je serai leur risée et dieu sait ce qui m'arriverait. L'homme était nu et il s'approchait de moi doucement. Sa bite était déjà dure et d'un joli calibre. Je n'arrivais pas à reculer et étais fasciné par son membre si désirable. Il s'est aperçu de mon regard et, une fois à ma hauteur, m'a embrassé limite de force. Vu que je résistais à peine, il m'a fait mettre à genou et a placé sa queue devant ma bouche. Elle était si belle que je ne pus résister. J'ai alors ouvert la bouche et je l'ai sucé comme un mort de faim.
J'étais tellement pris par cette sucette fabuleuse, que j'ai à peine senti les mains me dégrafer mon pantalon et me le baisser. Et là, ce fut le drame. Le mec derrière moi a appelé ses copains et a dit bruyamment:" Eh les gars, on a touché le jackpot, regardez cette salope en petite culotte!!"
Il y eu de grands éclats de rire et des applaudissements. Je voulais protester mais j'avais une bite enfoncée au fond de la gorge. Mon pantalon me fut complètement enlevé et ma culotte a été arrachée. C'est là que j'ai senti une bite se présenter à l'entrée de mon cul. L'inconnu n'a pas hésité et m'a enculé fortement d'un coup et, surtout, sans douceur.
La douleur fut vite remplacée par du plaisir et je sentais que la bite dans ma bouche allait exploser. J'eus juste le temps de la sortir pour qu’elle me crache au visage. Je fus traité de bonne salope et une autre bite se présenta devant ma bouche. J'avais tellement faim de cul maintenant que je l'ai avalée sans discussion. Le mec dans mon
cul m'a déchargé sur les fesses et il fut vite remplacé par un autre. Je pris quelques instants pour regarder autour de moi et je voyais qu'il y avait 2 files: une devant ma bouche et une devant mon cul. En tout, ça faisait une dizaine d'hommes prêts à me traiter en grosse salope.
Le manège a duré une heure et à la fin, je me suis retrouvé seul sur le dos, recouvert de sperme et excité comme pas permis. En effet, j'ai tellement pris de bites que j'en avais oublié de jouir moi même. Le premier homme que j'ai sucé est revenu me voir, il était toujours à poil et sa bite avait perdu de sa vigueur. Il m'a remercié pour mon "show" et m'a demandé si j'avais aimé. Je lui dis que oui en me branlant doucement. Sans un mot, il s'agenouilla devant moi et me prit en bouche. J'étais tellement excité qu'il n'eut pas à me sucer longtemps. J'ai explosé par surprise dans sa bouche et, loin d'être choqué, il avala tout avec un grand sourire. Il m'embrassa et partit. Je suis resté sur le dos quelques instants puis je me suis rhabillé et je suis parti. J'avais la tête ailleurs, durant toute la route et n'avais qu'une envie: recommencer!!
lailatvx - le 10/09/2012 à 06h45