Le blog des amoureux du troisième sexe. Choix subjectifs de photos/vidéos du web sur le sujet. Vous êtes tous les bienvenus, si vous partagez mes goûts n'hésitez pas à laisser un petit commentaire ça fait toujours plaisir. Bonne visite!
Pour me contacter en direct: katiatvfr26@gmail.com
Totalement soumise à mon Maître black depuis près de 6 mois, celui-ci me convoque 2 à 3 fois par semaine pour parfaire mon dressage ; lorsque j'ai répondu à
son annonce, je voulais satisfaire un fantasme entretenu dès que j'ai commencé à m'habiller en femme... quand il m'a appelée quelques jours plus tard, il s'est montré de suite si autoritaire et
directif que j'acceptais son rendez-vous, le soir même !!!
A l'heure convenue, je sonnais chez lui et, à genoux sur son paillasson, les mains dans le dos, j'ai attendu qu'il ouvre sa porte...
Quand il est apparu devant moi, j'ai été fascinée par son crâne rasé, son visage sévère et son imposante musculature d'autant qu'il ne portait qu'un slip
blanc ! Pendant qu'il accroche à mon cou un collier de chien, il en profite pour frotter son paquet contre mon visage et, c'est à 4 pattes, tirée par une laisse que je le suis jusqu'à son
salon.
Avant de s'installer dans son fauteuil, il retrousse ma minijupe sur le dos, pelote mes fesses et me demande le gode que j'avais bricolé (sur son ordre),
juste avant de venir. Je sors donc de mon sac un superbe phallus artificiel de couleur noire puis, il me noue un bandeau sur les yeux :
- fais-toi jouir en imaginant que je suis en train de te baiser... Si tu me fais bander, je te prends en main dès ce soir !
Alors, je me remets en mémoire les termes de son annonce « Maître black, 35 ans, TBM, cherche travesti soumise, cérébrale, aimant les mots crus et voulant
devenir femme à blacks ».
Alors, je prends le sexe en plastique et, sans la moindre difficulté, je me l'enfonce profondément :
« oh ! Comme c'est bon d'écarter les fesses pour son Maître black ! Vas-y, salaud, baise-moi, tronche-moi, nique-moi ; tu le sais que je suis accro à ton
gros zob et que tu peux me demander tout ce que tu veux... Depuis si longtemps, j'avais besoin d'être la femelle d'un noir et qu'il m'apprenne à jouir du cul comme une vraie femme ! Mes fesses,
ma bouche, mes mains et mon corps sont à toi ; tu peux en faire ce que tu veux pour toi et, même tes potes si tu le désires...
Touche mes tétons et regarde comme je suis excitée ; jamais, je ne me suis sentie aussi femelle avec un mec... Oh! Je sens tes couilles qui claquent contre
mes fesses ; tes couilles pleines de jus... Oui, jouis sur mon visage » Et je remarque que sans avoir eu d'érection, ma petite culotte de dentelles est inondée ; je tremble de partout...
J'attends sa réponse...
Il se lève, ôte mon bandeau et m'entraîne dans les toilettes :
- tiens ma bite quand je pisse... Je baisse son slip et je prends en mains son énorme zob turgescent et le dirige vers la cuvette ; pour les dernières
gouttes, j'agite lentement afin de ne rien salir et, quand il estime que "le travail est bien fait", il s'essuie dans les boucles de ma perruque !
Il me ramène au salon, me promène dans la pièce et me fait avancer avec des petits coups de laisse sur les fesses ; de temps en temps, il enfonce un peu
plus le gode. Il retourne s'asseoir et retire la fine étoffe qui emprisonne son imposante virilité ; il me cale entre ses jambes écartées et commence d'abord par me gifler les joues avec son zob
!
Puis, il me prend par le cou et force ma bouche : - allez, connasse, fais ton boulot de suceuse ! Tu veux de la bite noire : tu vas en avoir... Tu veux te
faire défoncer : tu te feras défoncer... Par moi, par mes potes, par des inconnus ! Tu deviendras vite mon esclave sexuelle et tu me supplieras à genoux ; tu seras à ma disposition la plus
complète... Compris, lopette ?
Je lève les yeux pour lui signifier mon accord d'autant qu'il vient de me faire comprendre qu'il me prend à son service... Alors, je m'applique à sucer et à
lécher ce gros sexe noir dont je commençais déjà à être folle...
- Avant que je te fasse l'honneur de te posséder, je vais t'apprendre à être une vraie suceuse ; je crois que tu peux être douée... Passe ta langue mieux
que ça, pouffiasse ! Une bite de noir, c'est au moins 25 centimètres : c'est vrai aussi que ça ne se pompe pas comme une petite queue de blanc ! Tu aimes ça, hein, petite blanche vicieuse ? Tu
vas adorer te faire défoncer la bouche par des bites noires quand tu seras MA femelle : tu es d'accord, ma pute à nègres ?
Ce dernier qualificatif nous fait exploser tous les 2 en même temps ; il se vide sur mon visage en une douzaine d'éjaculations abondantes... Aussitôt, il
prend son Polaroïd et immortalise cette première pipe, avec gros plan sur son sexe et sur les traînées de foutre blanc... Très complice, il me les montre et me dit au passage
:
- tu es prête à vivre totalement ce que tu souhaites ?
Le "OUIIIIII " de ma réponse, les yeux dans les yeux, a valeur d'accord définitif... Jusqu'au petit matin, je l'ai pompé encore 5 fois ; copieusement
insultée, injuriée, rabaissée, je prenais plaisir à être humiliée de la sorte ; chaque fois qu'il me godait, il m'arrachait mes confidences les plus secrètes, mes aveux les plus hard et ma
soumission la plus totale... Il savait que j'allais lui appartenir, que j'accepterai tout de lui, que je serai heureuse de mon rôle de femelle inférieure devant la supériorité de la race noire...
En rentrant chez moi, j'avais envie de hurler à chaque passant que j'appartenais à un Maître black et que j'allais, enfin, être la femelle de mes rêves...
Allongée sur le canapé du salon, je rêvassais les yeux fermés ; certaines images sont restées gravées dans ma mémoire, comme un film longtemps attendu... La
scène de la première fellation me fait frissonner et je ne peux résister au besoin d'aller chercher un autre gode noir, dans la salle de bains ; au passage, j'en profite pour admirer dans le
miroir le visage de cette femme épanouie et heureuse parce qu'elle a fait jouir un homme. La jambe gauche posée sur la baignoire, je m'enfile ce sexe artificiel, surprise q'il puisse entrer aussi
facilement malgré la grosseur et la longueur de l'engin ! Je suis sur le point de me laisser aller au plaisir lorsque le téléphone sonne : je refuse de répondre mais l'insistance m'oblige à
décrocher, dans un halètement que n'importe quelle personne attentive peut déceler même si je peux prétendre que j'ai couru pour prendre la communication...
- Oui, bonjour ! Silence au bout du fil...
- Oui, bonjour ; je vous écoute !
- Alors, petite salope blanche, contente de ta première nuit d'esclave ?
Le rouge me monte aux joues, je bafouille :
- Oui Maître, merci pour tout... Je voulais vous di...
Il me coupe brutalement et son ton devient plus autoritaire :
- ta gueule, connasse ; je suis certain que tu dois déjà être en train de te goder : avoue, pouffiasse, avoue !
A-t-il envie de faire l'amour par téléphone ?? Après tout, l'idée me séduit :
- oui, Maître ! Encore une fois, vous avez raison... Je suis assise dessus et je pense humblement à Vous, à votre sexe, à la façon dont vous m'avez
traitée...
Il éclate de rire :
- eh bien, ça tombe bien parce que je suis en bas de chez toi ! Laisse la porte entr'ouverte et, le temps que je prenne l'ascenseur, change-toi, mets-toi
une nuisette et attends-moi dans ton lit !! Ah, j'oubliais : garde le gode...
Docilement, après m'être changée, je me couche vêtue d'un déshabillé rouge des plus sexy ! J'ai beau me dire que je suis folle de me comporter de la sorte
mais, en même temps, je suis profondément ravie qu'un homme me prenne en mains ! Je venais à peine de poser un CD de musique classique dans le lecteur qu'il est apparu dans l'encoignure de la
porte : son regard est profond, sa chemise ouverte jusqu'au torse ; il portait un jean moulant avec un gros ceinturon et, autour du cou, la laisse qui avait servi à mon initiation. Il me fixe,
s'approche de moi et me cingle les fesses avec la lanière en cuir torsadé :
- je t'avais dit de te coucher... J'ai horreur que l'on me désobéisse...
Tête basse et penaude, je me réfugie entre les draps pendant qu'il se déshabille : le salaud, il prend son temps avant de me rejoindre ! Aussitôt, il me
tourne sur le côté et empoigne immédiatement le gode et le ressort :
- eh ben, ma salope, gourmande en plus ! Il me claque les fesses et retrousse le déshabillé :
- quel bon cul de pouffiasse ! Il faudra bien le rôder pour en faire un vrai garage à bites noires ! Dis-le, chuchote-le, hurle-le que tu veux cette vie de
femelle ! Allez, fais ce que te demande ton Maître... Et, sans la moindre préparation, il me l'enfonce au maximum :
- Oh oui, Maître ! Je suis prête à vivre cette vie d'esclave sexuelle, de me soumettre à un Black autoritaire et vicieux, qui me traitera comme la vraie
femelle blanche soumise que je suis... C'est trop bon de donner ma chatte de travesti à un vrai Homme comme vous !
Il se surélève sur les coussins et, m'attrapant par le cou, il frotte son bas-ventre sur mon visage :
- je sais que tu es déjà accro à la bite noire ! Enlève mon slip avec les dents...
Son odeur m'enivre, je suis comme une petite chienne en chaleur, en demande et en manque ; finalement, j'arrive à baisser son slip et, lui, se positionne
derrière moi : je palpite, j'ai peur mais je me laisse faire... Il positionne son gland contre l'entrée de ma chatte et, dans un coup de reins puissant, il s'enfonce en moi :
- Voila, tu es une véritable femelle, à présent !!!
Ces simples mots chuchotés à mon oreille résonnaient comme un compliment, comme la certitude d'avoir choisi le bon chemin. Chaque coup de reins me remplit
d'adrénaline et, cambrée comme je ne l'ai jamais été, je m'offre à lui sans pudeur ni retenue.
Cela faisait un moment que Karim et moi on discutait par mails ; on s’était rencontrés sur un site de rencontre entre cocufieurs et cocus, lui était dans la
catégorie « étalons baiseurs » et moi dans la catégorie « maris cocus ». On avait échangé des photos de lui et de ma femme Nadia, je lui avais fait écouter sa voix. Elle ne se doutait de rien,
mais vu qu’en 4 ans et demi de mariage, elle avait eu déjà plusieurs mecs dont deux que je connais bien, je ne m’inquiétais pas du tout sur les chances qu’avait Karim de bien tirer son coup dès
la première rencontre avec ma femme. Cela me faisait plaisir de savoir que ce macho allait bien prendre son pied au lit avec Nadia. J’ai toujours eu la vocation de la lopette qui sert
d’entremetteur entre les jolies filles (y compris mes copines et maintenant ma femme) et les queutards, et ça me fait du bien de servir à leur plaisir, et aussi de sentir leur mépris et
d’entendre leurs vannes sur moi, je ne sais pas pourquoi.
Mes potes savent que je suis cocu, ils ont tous baisé ma femme mais pas devant moi.
Ma femme Nadia fait 1m68, elle a 24 ans, mince, brune, avec de très gros seins (100 bonnet D), et c’est ça qui met tous les mecs en rut : deux seins
énormes, droits comme des obus, qu’elle met en valeur chaque fois qu’elle le peut. Elle m’aime bien aussi, elle savait avant notre mariage que je suis nul au lit, mais il y a beaucoup d’affection
entre nous, et je n’ai jamais fait la gueule quand des mecs la draguent devant moi. En général les vrais machos sentent immédiatement que la voie est libre et que je ne suis pas un obstacle
sérieux pour eux s’ils ont envie de la grimper ; ça se voit dans leur regard qu’ils le comprennent immédiatement, ça les fait toujours sourire. Et je pense que Nadia apprécie aussi mon
attitude.
J’avais pas mal hésité par rapport à Karim ; 25 ans, beau gosse, grand (1m85) et large d’épaules, sportif, gros baiseur, avec une queue de 23 cm super large
(j’avais vu les photos …) et une vraie mentalité de macho dominant, il me parlait toujours avec mépris sur le net, me disait qu’il allait niquer ma femme dans mon lit, ça m’excitait mais j’avais
peur de la réaction de Nadia si je lui présentais un mec moi-même, qu’elle se vexe et me quitte. Un jour il m’a appelé, j’étais au boulot, il m’a traité de mytho, qu’il en avait marre d’attendre,
alors j’ai craqué, je lui ai dit de venir la semaine suivante dormir chez nous, que je le présenterai comme un ami qui vient passer quelques jours. On fixe la date, et Karim me force à lui donner
le numéro de portable de ma femme, pour l’appeler au cas où j’annule au dernier moment, pour tout lui dire. En plus, je lui donne le vrai numéro, pour bien me sentir en son pouvoir. Le soir,
j’explique à Nadia que mon ami Karim vient passer une nuit à Rabat et qu’on va l’héberger. Je lui glisse que c’est un gros macho et j’invente que le surnom qu’il a dans la boîte à Yahoo c’est «
bite de cheval » ; il n’en faut pas plus pour qu’elle se mette à fantasmer en douce …
Karim arrive le jour convenu, en début de soirée. Je lui avais dit que je cherchais à être cocu et surtout à me faire humilier, à ce qu’enfin un vrai mec me
rabaisse comme je le mérite, et à ce que ma situation de cocu soit enfin connue d’un maximum de personnes. Karim m’avait répondu que ça n’est pas à moi de fixer les conditions, que je dois fermer
ma gueule, mais qu’il avait lui aussi super envie aussi de m’humilier en public.
On arrive à l’appart, je présente Karim à mon épouse Nadia, il sourit de toutes ses dents, apparemment elle lui plaît à mort. Elle aussi a l’air émoustillée
devant ce beau mâle (même si elle ne sait pas que je l’ai invité dans un but précis), et visiblement elle sent tout de suite que c’est un homme à femmes. Elle est habillée normalement, jupe
mi-cuisses et tee-shirt clair, et Karim est en jean et en tee-shirt (un tee-shirt qui laisse bien voir qu’il a un super torse de sportif et des épaules larges, pas comme moi). D’entrée de jeu,
Karim fait comme s’il était chez lui, il s’installe sur le canapé sans attendre que je l’y invite, il a l’air hyper à l’aise, il ne quitte pas ma femme des yeux, il la caresse du regard, ses
seins, ses jambes, ses cuisses, tout y passe, et il n’arrête pas de lui sourire. Je lui sers un verre, on s’assied, et on commence à discuter, il me répond à peine, il parle surtout avec elle,
lui pose des questions sur son boulot, ce qu’elle aime etc … A plusieurs reprises, il m’envoie des petites vannes, il laisse entendre qu’il me trouve un peu nul, à un moment il me traite de
maladroit parce que je fais tomber un verre.
Puis on passe à table et pendant le repas, ça continue, je parle à peine, lui fait comme si je n’étais pas là, il la drague ouvertement devant moi. Alors
que penser de cette situation qui, avant, était excitante pour moi, en fait la vivre en vrai est très humiliant, et j’ai presque envie de tout arrêter, mais c’est trop tard, de toute façon il me
tient. A chaque fois que ma femme se lève pour aller à la cuisine, Karim la suit pour l’aider ; la troisième fois qu’il la suit, ils restent un moment (5 à 10 minutes) tous les deux dans la
cuisine, et je n’entends aucune parole (Karim m’a raconté ensuite que c’est à ce moment-là qu’il l’a embrassée et caressée, et qu’elle s’est laissée faire après s’être très mollement défendue).
Quand ils reviennent dans le salon, Karim a compris qu’il allait se taper ma femme sans problème.
Après le dessert, on reste un moment sur le canapé, il continue de la draguer devant moi, à un moment il lui dit même « tu me plais vraiment, tu sais »,
elle sourit, je ferme ma gueule, de temps en temps il me lance des regards à la fois méprisants et narquois, mon attitude le fait bien marrer. Moi je fais un peu la gueule, quand même, bien que
tout ça soit organisé avec moi au départ. Puis, voulant les laisser seuls, je leur dis que je suis fatigué, même s’il n’est que 21 heures, que je vais me coucher. Karim me dit bonsoir avec un
grand sourire aux lèvres, Nadia me dit bonsoir aussi. J’en oublie de dire à Karim que je lui ai préparé un lit dans la chambre d’amis. Après m’être mis au lit, je me mets à gamberger, en me
disant que je suis en train de faire une très grosse connerie, j’ai l’impression de ne plus arriver à réfléchir, je perds un peu la tête. Au bout d’un quart d’heure, je me relève et je reviens
doucement vers le salon, pieds nus, le cœur battant, espérant que Karim n’arrive pas à ses fins. Bien sûr, la porte est poussée, et par l’entrebâillement je vois Karim en jean, torse nu, et ma
femme déjà à califourchon sur ses genoux, elle n’a plus sa jupe. Il lui caresse les cuisses en lui souriant, il regarde son tee-shirt au niveau de ses seins, et tout d’un coup elle enlève son
tee-shirt, il se retrouve avec ses deux seins dans le soutien-gorge sous ses yeux, il crie « putain, t’es bonne !! » il lui arrache presque son soutien-gorge et saisit un sein dans une main et se
met à lécher l’autre sein, à le dévorer presque, puis il passe sur l’autre sein, il est vraiment en rut. Après quelques minutes, il dit « j’en peux plus, y’a ma grosse queue qui me fait mal ! »
et il l’attrape par la taille, la couche sur le canapé, lui écarte les cuisses, relève sa jupe et lui vire sa culotte, le tout en quelques secondes, et il plonge sa tête entre ses cuisses et il
sort sa langue et se met à lui lécher la chatte. En même temps, elle se met à se malaxer ses gros seins et lui, pour ne pas manquer ce spectacle, lève les yeux sur ses seins tout en lui broutant
le minou. C’est à ce moment-là qu’il m’aperçoit dans l’entrebâillement de la porte ; il continue alors à lui laper la chatte, tout en posant ses yeux alternativement sur ses deux seins qu’elle
caresse, et sur moi. Quand il me regarde, je le vois sourire. A un moment, ma femme gémit « il ne faut pas faire trop de bruit pour pas réveiller mon mari… » Et là ça fait franchement rigoler
Karim, il lui dit « t’inquiète pas, ma belle » en me regardant et il se remet à lui bouffer la chatte comme un affamé, en lui malaxant les cuisses et les fesses.
Tout d’un coup, il arrête de la lécher, il se met à genoux sur le canapé, entre les cuisses de ma femme, et il commence à ouvrir son jean qui dissimule mal
une énorme bosse sous la toile tendue à craquer ; Nadia pousse un petit gémissement, devinant ce qu’il va lui arriver. Karim sort une bite monstrueuse, il regarde ma femme dans les yeux, il me
regarde ; elle n’a toujours pas compris que je suis derrière elle. Il s’installe bien entre ses cuisses, prend sa grosse queue dans sa main et la pose entre les lèvres de la chatte de ma femme ;
puis il commence à la pénétrer, assez fermement, pendant qu’elle se remet à gémir, sentant ce gourdin qui lui entre dans le vagin. Il lui dit « elle est bonne, ta chatte, salope », et il relève
de nouveau la tête pour me regarder en souriant. Il a l’air très fier de lui, ce jeune salaud, et il continue à la limer, en donnant de grands coups de reins entre ses cuisses. Il se couche sur
elle, je vois son cul qui monte et qui descend. Il a un visage très concentré, il la pilonne, il fait son boulot de queutard qui lime une chatte de femme mariée.
Laila
Florilège.
K.
Cette jeune pouliche
Montée par un noir cavalier
Pousse de petites plaintes
Signe d'une jouissance exaltée.
Bienvenue à toi belle Laîla
Tu as maintenant l'honneur
De travailler avec la divine Katia
Pour notre plus grand bonheur.
Une semaine qui commence bien
A regarder ces jolis popotins
Qui attisent le désir
Pour notre plus grand plaisir.
Quelle magnifique chevauchée
Effectue cette blonde amazone
Sur son noir destrier
Qu'à volupté elle enfourche.
Que voilà de la belle lingerie
Qui ne cachent rien
Et qui nous donnent envie
De leur faire un câlin.
Elle est tout exitée
Cette transexuelle
De s'autosodomiser
Sans aucune honte.
Laila souhaiterais en savoir plus à votre sujet.
Les réponses ne sont pas obligatoires mais cela permet de savoir à qui on a à faire
K.
1-pays :
2-prénom:
3-âge:
4-profession:
5-taille:
6-poids :
7-situation familiale :
8-fruits préférés :
9-ce que tu aimes manger :
10-ce que tu n’aimes pas manger :
11-ce que tu aimes voir à la télé :
12-ce que tu détestes voir à la télé :
13-genre de films que tu aimes :
14-chanteurs et chanteuses préférés :
15-acteurs et actrices préférés :
16-les pratiques sexuelles que tu adores :
17-es-tu soumise ou dominante :
18-préfères-tu le sexe avec les femmes, les hommes ou les deux :
19-la 1ère chose que tu fais quand tu rentres chez toi :
20-ton fantasme le plus inavoué :
21-ta voiture préférée :
22-le ou les pays où tu voudrais vivre :
23-combien de fois fais-tu l’amour par mois :
24-ce que tu aimes qu’une femme te fasse au lit :
25-ce que tu refuses qu’elle te fasse au lit :
26-ce que tu aimes qu’un homme te fasse au lit :
27-ce que tu refuses qu’il te fasse au lit :
28-tes loisirs :
29-tes qualités :
30-tes défauts :
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