Porno

Mardi 4 novembre 2 04 /11 /Nov 10:09

Chapitre 17
Les jours passent...

L'incident que je viens d'évoquer marqua profondément nos relations entre Emma et moi. De son coté, elle devint de plus en plus distante et froide. Quand à moi, j'avais l'impression que ma personnalité se transformait. Je pleurnichais pour un rien. Chaque remarque sur le service que me faisaient Emma ou Magalie me mettait les larmes aux yeux. Mon humeur changeait tout aussi brutalement dans l'autre sens. Une caresse sur mes fesses de leur part déclenchait chez moi un fou rire irrésistible et je gloussais comme une adolescente. J'étais devenue hypersensible... Je devenais plus docile, surtout mes sentiments de révolte s'estompaient peu à peu.

J'étais en train d'accepter sincèrement tout ceci. Bien sûr j'étais quelque peu dépressif devant l'attitude froide et méprisante d'Emma. J'avais tellement espéré de que cette nouvelle situation nous rapprocherait !

Mais au moins ces changements dans ma personnalité avaient leur bon côté. J'étais beaucoup plus attiré par la sensualité, les longues caresses que nous nous procurions mutuellement Emma et moi, que par l'acte lui même. Et quand elle me sodomisait finalement, pour assouvir son désir et trouver sa jouissance, je me sentais moins frustrée de ne pas avoir eu ma part d'orgasme, et trouvait presque normal d'avoir à offrir mon corps à Emma pour assouvir ses passions sexuelles.

J'avais toujours l'esprit embrumé au réveil, un peu comme un lendemain de fête. Maux de tête et état vaseux handicapaient sérieusement ma journée de service de bonne à tout faire. Difficile aussi de me concentrer intellectuellement sur une tâche. Et pour cause, mon champ visuel se réduit à vu d'oeil. Ma perception de l'espace change complètement. Je navigue dans du coton sans plus aucun repère. Je suis bien moins précis dans mes gestes.

Au bout d'une dizaine de jours, maux de tête, vertiges, fatigue, difficultés à respirer, pouls accéléré et nausées s'estompent un peu.

La conséquence en fut l'arrêt des érections nocturnes spontanées qui me réveillaient au début plusieurs fois par nuit sous la morsure de la cage. Désormais je faisait des nuits complètes et paisibles. Je continuais à m'épiler régulièrement, mais j'avais l'impression que mes poils repoussaient moins vite, même les poils de barbe. J'avais la peau plus douce et plus fine, et un sens du toucher plus développé.

Je constatais d'autres changement physiques. Mes testicules commençaient à s'atrophier. Et de même mon pénis. Je le constatais chaque fois qu'Emma m'enlevait la cage pour faire ma toilette, tous les deux ou trois jours. Mon sexe, libéré de la cage, se ramollissait à vue d'oeil, un peu comme du caoutchouc mou. Et dans ces moments là, je ne bandais plus, même quand Emma s'attardaient en de douces caresses sur mes parties génitales avec le gant de toilette. C'est vrai aussi, que les moments où la cage me faisait mal devenaient de plus en plus rares. A tel point qu'Emma avait évoqué l'idée de me faire porter une cage de chasteté plus petite.

Par contre, mon sexe coulait toujours autant. De plus en plus même, semblait-il. Je continuais donc à porter le préservatif par dessus la cage, que je devais vider chaque soir dans ma bouche, avant qu'on me mette en place le bâillon gode. Je m'endormais donc avec ce goût acide dans la bouche.

A ce propos une autre petite modification de mes habitudes, fut que désormais Emma installait toujours sa petite culotte humide du jour sur mon visage. Je pouvais ainsi profiter de ses senteurs intimes, respirant l'odeur de sa chatte à travers la fine culotte avant de m'endormir.

L'autre modification physique notable, fut que j'avais pris du poids, au moins quinze kilos et que cette graisse s'était répartie de manière inégale dans mon corps. J'avais les hanches plus larges et mes fesses s'étaient arrondies me donnant un silhouette plus féminine. Mais par dessus tout, mes seins avaient poussés. J'étais passé d'une poitrine plate à un vrai bonnet B. A tel point que je emplissait maintenant facilement les tasses du corset, et que je me sentais mal à l'aise quand je ne portait pas quelque chose pour me soutenir la poitrine. Corset ou soutien gorge.

En augmentant de taille, la sensibilité de mes seins avait aussi cru de façon exponentielle. Je frissonnais de tout mon corps chaque fois que l'on me frôlait la pointe. J'en arrivait au point de ressentir autant de plaisir aux caresses mammaires qu'à la pénétration. Et à désirer autant l'un que l'autre. Bien sûr, je n'avais toujours pas eu d'orgasme. Mais j'étais en quelque sorte quand même sexuellement satisfaite, car les séances de sodomie ou de caresses me donnaient beaucoup de plaisir. Un plaisir sans libération comme avant. Mais un plaisir beaucoup plus intense, et qui semblait ne jamais finir, du moins tant qu'Emma n'avait pas joui. Car dés qu'elle avait atteint son orgasme, elle me repoussait d'un air dégoutté.

Avec Magalie, les rapports étaient toujours les mêmes. Je devais la lécher longuement plusieurs fois par jour et elle ne m'accordait aucune caresse. Pour elle, je n'étais qu'un vulgaire objet sexuel, une langue pour lui lécher la chatte.

Coté service, je faisais absolument tout dans l'appartement. Je n'arrêtais pas de courir d'une pièce à l'autre, perché sur mes escarpins, en sautillant, avec de tous petits pas que m'autorisait la courte chaînette qui entravait mes chevilles, coudes collés au corps et mains pendantes, un sourire idiot sur mes lèvres maquillées de rouge vif.

Elles ne faisaient absolument aucun effort. Elles laissaient traîner absolument tout derrière elles, et je devais me précipiter pour ranger immédiatement. Sans oublier de faire ma révérence, bien entendu. Elles étaient d'un laisser aller et sans gène incroyable.

Non seulement elles laissaient traîner leurs petites culottes souillées, petites culottes que je devais ramasser et laver à la main, puis étendre dans ma chambre transformée en séchoir, constamment occupée par une collection de petites culottes toutes plus affriolantes les unes que les autres, suspendues à un fil tendu entre les murs, mais même quand elles allaient aux WC elles ne prenaient même plus la peine de tirer la chasse. Et en plus de mes tâches ménagères, je devais surveiller leurs mouvements et me précipiter aux toilettes quand l'une y avait séjourné, avant qu'une autre y aille à son tour, pour tirer la chasse.

Le pire était quand elles ne se contentaient pas d'uriner. Je devais alors supporter l'odeur de leur excréments, tirer la chasse et nettoyer la cuvette.

Moi je devais demander l'autorisation d'aller uriner, et je faisais assise, après avoir enlevé le préservatif fixé sur la cage.

Que le lecteur me pardonne de tous ces détails peu ragoutant, mais je lui dois la vérité complète, et cela en disait long sur le peu d'estime qu'elle me manifestaient désormais.

Mais finalement, j'étais de plus en plus amoureux d'Emma. On aurait dit que plus elle me méprisait et me rabrouait, et plus fort je l'aimais.

Il en était de même pour les fessées, qui se déroulaient toujours le soir suivant le rituel et que seule Emma me donnait. Maintenant que j'étais devenu parfaitement docile, je n'étais plus puni tous les jours. Il s'écoulait parfois deux ou trois jours entre deux fessées. Au point que celles-ci en venaient inconsciemment à me manquer. Je les interprétais comme une marque d'amour de la part d'Emma, et j'avais par dessus tout peur de son indifférence, au point de parfois la provoquer par une faute pour obtenir la punition attendue. Avec ma sensibilité exacerbée, je pleurais vite à chaudes larmes sous les premiers coups, mais cela fouettait aussi mes sens, comme si je n'arrivais plus très bien à distinguer le plaisir de la douleur.

Il faut dire aussi que je savais que mes larmes, lors de ces séances punitives, excitaient invariablement Emma, et que cela se terminait invariablement par une bonne sodomie que me faisait subir Emma, son visage aussi rouge d'excitation que mes fesses.

Quand à Magalie, elle parlait de plus en plus souvent de rentrer chez elle, que notre couple avait enfin atteint son point d'équilibre et que la tapette que j'étais devenue la dégouttait vraiment trop. Inutile de vous dire que j'attendais son départ avec impatiente pour me retrouver enfin seul avec mon Emma.

Au bout de plusieurs mois, alors que je commençais à m'habituer à mon nouveaux corps, à l'affinage de ma silhouette, mes nouvelles formes, la douceur de ma peau qui me procurait une vraie volupté quand j'enfilais mes bas, à sentir la douceur du satin contre ma peau, à mes seins qui pointaient sous les soutiens gorges que j'étais obligé de porter car ils étaient devenus si sensibles que le frottement des pointes sous les vêtement que je portais était parfois presque douloureux, je perçus un nouveau changement en moi.

J'avais fini par m'habituer à l'absence de réaction de mon sexe. Je n'avais presque plus de désirs, du moins comme avant, à travers mon pénis, et j'était désormais focalisé sur mes seins, mes fesses et l'intérieur de mon anus qui était devenu pour moi mes nouvelles sources de plaisir.

Mais cela était en train de changer... Car voyant que mon corps s'était maintenant complètement féminisé, elles arrêtèrent, toujours à mon insu, bien sûr, le traitement aux hormones, sauf pour l'application locale de la pommade sur les seins, et l'apposition régulière des pompes à seins. Ils ne se développaient pratiquement plus, mais d'après elles, cela était nécessaire pour maintenir leur fermeté.

L'arrêt des pilules d'hormones eut l'effet escompté. Ma libido de mâle revint en flèche, et je ressentis à nouveau du désir au niveau de mon pénis. Mais celui-ci était toujours prisonnier de la cage, il ne pouvait donc pas reprendre sa taille ancienne. Par contre mes couilles reprenaient leur volume habituel, comme ma production de sperme revenait à son niveau d'avant.

Le résultat fut que j'étais de nouveau très excité de les voir se pavaner à moitié nue devant moi dans l'appartement, et à chaque fois que je devais sentir ou lécher leur chatte, ou toute autre partie de leur intimité, j'avais des tentatives d'érections que je devais réfréner mentalement si je voulait éviter la punition des pointes, qui appuyaient en permanence contre mon épiderme sensible dans cette cage de chasteté devenue trop petite pour moi.

L'autre conséquence, avec cette augmentation de ma production de sperme, mon excitation et ma frustration quasi permanente, fut que mon " clitoris " se mis à couler de plus en plus. C'était une sensation bizarre. Il suffisait parfois que je fasse un mouvement, tel que me lever ou m'asseoir, ou bien tout simplement en marchant, pour que je ressente une goutte passer à travers mon canal urinaire et sortir par mon méat, puis venir lentement glisser hors de l'orifice de ma cage en un long filament. Comme je portais une culotte ouverte, et que ma tenue était toujours très courte, cela pouvait être observé aux yeux de tous. Elle ne m'obligeaient plus à porter le préservatif sur la cage pour recueillir ces écoulements involontaires. Au lieu de cela, je devais rapidement mettre ma main sous ma cage pour att****r au vol ce filament et la goutte qui en pendait, essuyer la cage avec mes doigts et porter le tout à mes lèvres. Gare à moi si je manquait ce geste, et si l'une d'elle s'en apercevait, car la punition était immédiate. Quand cela m'arrivait en leur présence, mon geste (mettre ma mains sous ce " robinet " à " jus de tapette " comme elle l'appelait, cela provoquait leur hilarité, et elles ne manquaient jamais d'avoir une parole blessante ou humiliante à mon endroit.
A suivre...

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Lundi 3 novembre 1 03 /11 /Nov 23:07

 

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Vendredi 31 octobre 5 31 /10 /Oct 11:56

 

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Mercredi 29 octobre 3 29 /10 /Oct 10:16

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Mardi 28 octobre 2 28 /10 /Oct 11:41

Je fais l'amour avec Emma

Le lendemain matin, nous étions un samedi, et ce fut Emma qui me réveilla.

J'avais de nouveau mal à la tête, l'esprit embrumé et maintenant quelques troubles de la vision. Et une terrible faim me tenaillait. Mon Dieu ces pilules semblaient avoir un puissant effet sur moi.

" Debout feignasse, tu as plein de ménage à faire ! " dit Emma.

Elle me délivra de mes liens, m'ôta le bâillon pénis, enleva les ventouses et défit mon corset. Elle examina soigneusement mes seins, les palpant, les triturant et les pinçant un peu.

" Aie ! Pardon Emma, mais j'ai l'impression que mes seins sont devenus très sensibles. "

" Ils le sont en effet. C'est un effet secondaire du traitement m'a expliquée Magalie. Comme tu n'es plus tout le temps concentré sur ton sexe, tu découvres les sensations que peuvent te donner les autres parties de ton corps. "

" Mais... Emma, j'ai l'impression qu'ils sont en train de grossir ! "

" C'est l'effet des ventouses. Mais cela va s'estomper au fil de la journée. Regardes moi bien dans les yeux, veux-tu me faire confiance ? C'est moi qui aie demandée à Magalie de venir pour m'aider à te soigner. Veux tu me décevoir encore ? "

" Non, Non ! Bien sûr que non Emma chérie! "

" Bien alors, plus de remarques à ce sujet, c'est bien compris ? "

" Oui, je te le jure l'assure, mon Amour. "

" Bien. Vas dans la salle de bain pour que je te donne ton lavement. "

" Mais... c'est humiliant pour moi Emma... Recevoir un lavement de toi surtout... J'ai honte, Emma. "

" Mais hier j'ai pris du plaisir en t'enculant. C'était bien la première fois que j'en ai avec toi, d'ailleurs. Tu as bien réalisé cela maintenant j'espère. Ton petit zizi ne m'a jamais servi à rien. Tu le sais... "

" Oui, Emma, pardonnez moi de ne pas avoir su te donner du plaisir.

" Alors, dis moi que ton petit zizi ne me sert à rien. "

" Mon petit zizi ne sert à rien, Emma "

" Et tu veux bien que j'ai du plaisir avec toi, même en t'enculant, puisque c'est la seule façon ? "

" Oui Emma, tu peux m'enculer pour ton plaisir, Emma. "

" Mais toi aussi, il me semble que tu y a pris du plaisir, avoue le. "

" Oui... oui, une sorte de plaisir, Emma. "

" Est ce que c'était moins bien que quand tu croyais me baiser ? "

" C'était plus long... Durait plus longtemps... Mais, je n'ai pas vraiment jouis. "

" Tu veux dire que tu n'as pas éjaculé ? "

" C'est donc si important pour toi d'éjaculer ? C'est pour cela que tu te masturbais si souvent ? Pour éjaculer ? Et tu te sens pleinement heureux et en harmonie avec toi et le monde quand tu t'es masturbé ? Aussi heureuse que moi quand je faisais l'amour avec mes anciens amant, ou comme, pour la première fois avec toi, hier, quand je t'ai enculé ? "

" Non, je ne me suis jamais senti heureux en me masturbant, ni après surtout. Au contraire, je me sentais vide et las, dégoutté de moi même, j'avais honte, je me disais que je ne devais plus recommencer... Mais c'était plus fort que moi. A chaque fois, j'avais envie du désir, et je recommençais. "

" Tu vois bien, c'est une mauvaise habitude, une sorte de drogue, dont tu dois te guérir. Ne te sens tu pas mieux depuis que tu ne te masturbes plus ? "

" Oui, Emma, dans un certains sens... Mais j'ai toujours du désir, envie... "

" Est ce que tu m'aimes Michel ? "

" Oh oui Emma. Je t'aimes plus que tout. Plus que jamais. "

" Est ce que tu m'aimes, là maintenant, plus que quand tu te masturbes ? "

" Infiniment plus Emma, infiniment plus mon Amour. "

" Moi aussi je t'aime, Michel. Donc tu vois c'est beaucoup mieux quand tu ne te masturbes pas. Tu m'aimes plus, et par conséquent moi aussi. Mais tu étais un drogué de la masturbation, mon chéri, c'est pour cela que la cage est nécessaire, tu veux bien la conserver comme preuve d'amour pour moi alors ? Tu veux bien ?"

" Oui. Oui, je veux bien Emma. Mais c'est dur, Emma, je suis fou de désir pour toi et n'arrête pas de penser à toi maintenant."

" Je suis heureuse que tu me dise que tu m'aimes autant Michel, merci chéri. Mais, dis-moi, quand tu te masturbais, est ce que tu pensais à moi au moins ? "

" Euh... Et bien... Emma... "

" Je sais que tu te masturbais en regardant ces grosses bites de noirs, tu pensais à quoi alors ? Tu peux tout m'avouer, car nous nous aimons, Michel.. Tu étais fasciné par leur sexes énormes ? Parce que toit tu as un tout petit sexe ?"

" Oui, c'est cela Emma. "

" Elles te font envie, dis moi ? "

" Heu, oui, en quelque sorte Emma... Mais... "

" C'est fascinant, je le reconnais. Moi aussi quand je les ai vues en photo sur ton ordinateur, j'ai été fascinée, et j'avoue que j'en ai très envie moi aussi... Tu vois, Michel, nous sommes pareils tous les deux, nous avons les mêmes envies... Ca me fait rêver, ces sexes noirs, si sauvages, en train de me défoncer... Toi aussi ? "

Et bien, pas dans ce sens là, Emma... "

" Tu n'as jamais fantasmé sur le fait de te faire enculer par une grosse bite de noir ? "

" Oh ! Non ! Jamais, Emma... Je... je ne suis pas... "

" Et bien moi oui ! Je te l'avoue, Michel, j'y penses depuis que j'ai vu tes photos... grâce à toi, je te remercie de m'avoir fait découvrir cela... Ca doit faire très mal au début, mais il paraît qu'on s'y habitue et que le plaisir devient très intense ensuite. On dit aussi qu'une fois qu'on a découvert cela, on ne peux plus s'en passer... Hum... "

J'étais sans voix. Emma venait de m'avouer qu'elle désirait se faire baiser et enculer par une grosse bite noire. Mon Dieu, si cela arrivait, elle se débarrasserai sûrement de moi au plus vite... Il fallait que je la détourne de cela, absolument...

" Hum... Rien que de parler de tout ceci m'a mis dans un drôle d'état. Touche ma culotte, Michel, vois comme elle est trempée... "

Je touchais, en effet sa culotte était toute poisseuse et collait littéralement à sa chatte, formant un plis qui était coincé entre ses lèvres gonflées.

" Tu vois, Michel, j'ai envie, dépêchons nous vite, puis que tu as envie toi aussi... Prends vite ton lavement... et fait toi belle pour moi, soit mon amante, j'ai envie de t 'enculer Michel, tu veux bien me donner du plaisir, dis-moi chéri ? "

" ... Je... Oui, je veux bien pour toi Emma... "

Moins d'une heure après, j'avais reçu un lavement de près d'un litre, que je mis du temps à évacuer. Je me sentais totalement vide à l'intérieur, et je dois aussi avouer que j'attendais avec désir cette sodomie par mon épouse. J'aurais à nouveau le plaisir de l'entendre gémir de plaisir à cause de moi, et cela valait bien quelques désagrément. Et peut être aurais je plus de plaisir que la première fois... Peut être que je parviendrais à cette jouissance que j'avais approchée de si près la première fois, peut être que j'arriverais à éjaculer à cause de cela, même dans la cage...

Ensuite Emma m'aida à me maquiller et à me remettre le corset. Je commençais à prendre l'habitude du maquillage, et cela devenait presque une sorte de routine. J'enfilais vite mes bas ma petite culotte ouverte et mes escarpins. J'aidais ensuite Emma à s'équiper avec le gode ceinture.

"Avant que nous fassions l'amour tu vas prendre tes pilules. Je vais te masser les seins avec la pommade. ‚a va te faire du bien, tu vas voir."

Emma pris le tube de pommade et m'en étala copieusement sur la poitrine puis me massa vigoureusement les mamelons. C'était une chaleur qui me pénétrait me faisant frissonner par vagues. C'était bon et j'aurais voulu que cela dure plus longtemps. Puis, rouge d'excitation, elle exposa fièrement sa bite artificielle.

"Alors, elle te plaît ma grosse bite ? Salope, tu en as envie, n'est ce pas chéri ?"

"Oui, j'avoue, j'ai envie... d'être enculé..." J'étais en effet plein de désirs et espérais atteindre la jouissance cette fois.

"Montre moi que tu en as envie chéri."

Je restais interloqué, ne sachant comment le montrer.

"Et bien, comportes toi en bonne femelle, à genoux et suce, salope !"

Visiblement Emma commençait à se prendre au jeu. Troublé, je me mettais à genoux devant le phallus artificiel. Cela ne me branchait pas du tout.

" Lèche-le, salope ! Il faut tout te dire ! Feignasse ! "

Je léchais la tête à petits coups de langues. Emma tendait le bassin en avant, un large sourire sur son beau visage.

" Suce ! Prends le en bouche ! "

Je fis entrer le gland dans ma bouche. Cela avait un goût de cyprine. Sûrement l'une d'entre elles l'avait utilisé pour baiser l'autre, ou elles s'étaient baisées toutes les deux, cette nuit, pendant que je dormais. Le goût familier donna de la vigueur à mes sucions. Je mimais l'acte de la fellation, commençant à me prendre au jeu moi aussi. Emma tendit encore plus le ventre et appuya sa main contre ma nuque, me forçant à en avaler plus. L'extrémité du gland rencontra ma glotte. J'eus un haut le coeur, me retirant vivement.

" Il va falloir que tu apprennes à faire " gorge profonde " comme toute bonne salope qui se respecte. Mais on verra plus tard, pour l'instant j'ai trop envie. Prends la seringue qui est dans la table de nuit. Elle est déjà remplie de lubrifiant, et je vais te l'injecter dans ta 'chatte' de salope. Je te veux bien mouillée pour te baiser. "

Je sortis la petite seringue munie d'un long tube rigide et la tendis à Emma, me positionnant à quatre pattes sur le lit pour faciliter l'intromission. Elle m'injecta d'un coup tout le contenu dans le rectum. C'était froid.

" Après ça, quand je t'aurais bien baisée, ta chatte va couler c'est sûr. Ainsi tu comprendras mieux ce que nous subissons, nous les femmes. Mais à propos de coulage, je ne veux pas que tu souille encore le parquet avec ton jus de nouille. Tu vas mettre ce préservatif par dessus la cage. Ainsi, il recueillera tes 'fuites '."

Pendant que je restais à quatre pattes, et que le lubrifiant se réchauffait lentement dans mon rectum, Emma lubrifia aussi abondamment son phallus artificiel et positionna l'extrémité contre ma petite rondelle. Cette fois elle n'eut pas à f***er beaucoup pour le faire pénétrer et l'intromission ne fut pas douloureuse cette fois. Je poussais un " Oh " de plaisir, tendant mes fesses vers l'engin.

" T'aimes ça salope, tu aimes te faire enculer chienne ! "

Comme l'autre fois, Emma commença par des petits allers retours lents et doux. Cela me fit gémir encore plus. Je sentais mon sexe couler dans le préservatif. Il n'y avait plus de douleur. J'allais même à la rencontre de cette pénétration en poussant mes fesses vers l'engin. Progressivement Emma augmenta la cadence et la profondeur de ses pénétrations. Je gémissais de plus en plus fort, affalée sur le lit, frottant la pointe de mes seins sur la couverture rugueuse. Cela me donna une autre source de plaisir. Une douce chaleur irradiait de mes pointes dans toute ma poitrine.

" Oh ! C'est bon Emma. C'est si bon, merci Emma. Fais moi jouir cette fois s'il te plaît Emma ! "

" C'est moi qui commande ici, c'est moi le mâle et c'est moi qui te baise, femelle ! Contentes toi de subir ma pénétration. Je jouirais quand j'en aurais envie. Et que fait un mâle quand il a jouit ? "

" Il... il... se retire.. "

" Oui... comme toi quand tu crachait ton immonde semence dans mon vagin, souviens toi. Est ce que tu pensais à un instant au plaisir que tu étais incapable de me donne ? Non, bien sûr. Alors tu vas vivre la même situation... Tiens ! Prends ça ! Prends le dans ton cul de pute ! Je te bourre à fond salope ! "

Elle accéléra, et ne fut pas longue à venir en poussant des cris perçants. Moi j'avais atteint une sorte de paroxysme de plaisir, mais sans arriver à pouvoir aller au delà. J'étais excité comme jamais, mais je n'avais pas eu à nouveau le temps de jouir quand elle se retira de mon rectum. Je restais pantelant, affalé sur le lit, tendant toujours mes fesses et frottant ma poitrine contre la couverture, alors que les vagues de plaisir commençaient à refluer.

" Encore, encore, je t'en pris Emma... "

" Moi j'ai joui, j'ai plus envie, tais toi, tu me fatigue ! "

" S'il te plaît, Emma, j'y étais presque, j'ai trop envie, continue Emma, baise moi encore, je t'en supplie. "

" Ta gueule ! Quelle tapette ! Tu me dégoutte ! Et dire que je suis mariée avec Ca ! "

" Mais Emma, nous devions faire l'amour... "

" Et bien tu as été baisée non ? Et bien baisée encore ! J'en ai encore la chatte en feu ! "

Et disant cela, elle quitta la pièce, me laissant seul avec mon désir frustré. C'était vraiment trop dur, je pensais que nous aurions pu avoir du plaisir tous les deux. Au lieu de cela, elle s'était contentée de se consacrer uniquement à son plaisir à elle, me laissant choir comme une vieille chaussette quand elle avait eu son orgasme. Aurais-je un jour à nouveau des orgasmes ? Des larmes emplirent mes yeux, mouillant la couverture sous moi, et je partis en sanglots qui secouèrent tout mon corps.

Je continuais à pleurer pendant plusieurs minutes, le visage enfoui dans la couverture, quand j'entendis un gémissement d'Emma. Je relevais mon visage baigné de larmes vers elle, et je la vis, appuyée au chambranle de la porte, empoignant le sexe postiche qui m'avait si bien baisé, le faisant aller et venir avec son poing serré, pour mieux faire bouger l'autre extrémité qui était toujours enfouie dans son vagin. Elle était revenue silencieusement en m'entendant pleurer et s'était mise à se masturber comme un homme, excitée par mes sanglots !

Elle ne dit pas un mot, ses lèvres serrées dans un visage froid, elle me jetait un regard glacé. A la vue de mon regard stupéfait et embué de larmes, elle poussa un gémissement rauque et jouit profondément, le corps parcouru de frissons.

Puis elle quitta définitivement la pièce et j'entendis qu'elle prenait une douche.

Par Katiatrav26 - Publié dans : Porno - Communauté : Soumission et appartenance
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